Existe-t-il une méthode pour devenir millionnaire ? Découvrez nos conseils pour savoir comment devenir riche en actionnant des leviers réalistes.

Comment devenir riche ? Le guide pour faire fortune !

Comment devenir riche ? Cette question, tout le monde se l’est posée au moins une fois dans sa vie… et certains se la posent tous les jours, jusqu’à en faire un objectif personnel 🤑

Or, à moins de compter sur le hasard – gagner aux jeux d’argent ou aux paris sportifs, hériter d’un gros montant, etc. – il n’existe pas de recette miracle pour devenir fortuné du jour au lendemain.

En revanche, il est possible d’actionner des leviers concrets permettant de maximiser les chances de disposer, dans l’avenir, d’un gros patrimoine.

Autrement dit, devenir riche n’est pas qu’une ambition de conte de fées : il existe des moyens sérieux pour s’enrichir, des stratégies réalistes qui supposent toutefois de faire preuve d’un engagement véritable et d’une volonté inébranlable. 

Il faut aussi – et c’est très important – adopter le bon état d’esprit pour y parvenir.

Alors, comment devenir riche ? C’est ce que nous allons voir.

À la question « comment devenir riche ? », il n’existe pas qu’une seule réponse.

D’abord, il s’agit de définir la notion de « richesse » : est-ce disposer d’une somme à 7 chiffres sur son compte en banque ? Gagner confortablement sa vie ? Vivre une vie luxueuse au bord d’une piscine sous un soleil brûlant ? Ne plus jamais avoir besoin de travailler ? Il est vrai que la richesse s’incarne différemment pour chacun(e).

Dans cet article, nous partirons de l’idée que, devenir riche, c’est obtenir une somme d’argent suffisante pour vivre sans s’inquiéter de l’aspect financier du quotidien.

Ensuite, il faut comprendre une chose fondamentale : il ne s’agit pas seulement de savoir comment devenir riche… mais aussi d’apprendre à le rester !

Pensez à ces gagnants du Loto qui, après avoir remporté plusieurs millions d’euros, finissent par tout perdre et doivent retourner à leur vie d’avant.

Comportement de flambeur, placements trop risqués, entourage véreux… Les chanceux de la Française des Jeux se retrouvent pleins aux as d’un jour sur l’autre et tendent à perdre les pédales.

Or, gérer son argent, cela s’apprend !

En effet, il est presque aussi difficile de rester fortuné que de le devenir.

Comment devenir riche, c’est donc, aussi, une affaire de stabilité, de régularité… et de compétences.

Il faut parvenir à créer de la valeur en continu, à faire fructifier l’argent gagné, à prendre les rênes d’un patrimoine qui ne peut pas se gérer seul.

Il faut devenir compétent dans le domaine des finances, développer ses connaissances personnelles et professionnelles, progresser, apprendre chaque jour quelque chose de nouveau afin d’aller dans la bonne direction.

D’une certaine manière, devenir riche, ça se mérite. Cela suppose de faire preuve de discipline et de consentir à des sacrifices.

D’être suffisamment ouvert d’esprit pour intégrer les codes d’un univers nouveau – celui de l’abondance. Et de bien administrer son argent, une fois qu’on en dispose.

Cela veut dire, également, que la réponse à la question de savoir comment devenir riche ne peut pas se résumer à une recette miracle et instantanée.

Le modèle de réussite rapide – le fameux « overnight success » – qui fait les beaux jours de la littérature et du cinéma, doit être mis au rancart, remplacé par un processus plus long, fastidieux et complexe, mais aussi plus réaliste.

La richesse est un état que l’on atteint sur le temps long, par le biais d’efforts conscients… et en ayant une connaissance aiguë des mécanismes qui contribuent à générer de l’argent.

Comment devenir riche ? La dimension financière : épargne, modération et investissement

Se demander comment devenir riche, c’est, le plus souvent, tenir compte de la dimension spécifiquement financière de la question.

Cela en revient à s’interroger sur comment gagner de l’argent, ou comment faire en sorte de diversifier ses sources de revenus pour ne pas se reposer exclusivement sur un salaire.

Néanmoins, l’aspect financier ne se limite pas aux leviers permettant de générer de l’argent : il s’agit aussi, plus globalement, d’apprendre à bien gérer ses ressources, en commençant par dépenser moins.

Voici comment devenir riche… en devenant, d’abord, un bon gestionnaire financier !

Ne rien laisser au hasard (financièrement parlant)

C’est sans doute la leçon la plus importante à retenir, avant même d’entrer dans le concret et de découvrir comment devenir riche : en matière d’argent, il n’y a pas de hasard.

La prospérité ne s’obtient pas par accident, et certainement pas à la suite d’un héritage venu de nulle part (ce grand-oncle richissime dont vous n’aviez jamais entendu parler avant).

Quant aux jeux d’argent, voici un chiffre pour vous aider à relativiser : vous avez une chance sur 20 millions de gagner le jackpot au Loto.

En pratique, la probabilité est plus grande de mourir dans un accident d’avion, d’être touché par un astéroïde, d’être frappé par la foudre… ou de naître avec six doigts à une main.

Sur le plan financier, le hasard est une impasse dans laquelle beaucoup de gens choisissent volontairement de s’engager, sans comprendre qu’elle ne mène nulle part.

Concrètement, la seule manière de devenir riche avec des jeux d’argent, c’est d’être propriétaire d’un casino… et surtout pas parmi les joueurs !

Tout cela pour dire que la fortune n’est pas une affaire d’accident ou de coïncidence, mais une construction logique et pérenne.

Si vous voulez savoir comment devenir riche pour de vrai, c’est donc du côté de l’épargne et de l’investissement qu’il faut regarder… plutôt que du côté des jeux à gratter.

L’argent que vous épargnez chaque mois constitue un premier pas vers la richesse. Le meilleur conseil possible est aussi le plus simple : à chaque fois que vous touchez votre salaire, mettez de côté au moins 10 % de la somme, et idéalement 20 %.

Peu importe si, au final, ces 10 ou 20 % correspondent à 50, 100 ou 1 000 € : ce qui compte, ici, c’est de transformer ce geste en une habitude inébranlable, un réflexe que rien ne pourra remettre en cause.

Pas même l’envie de partir en vacances ou le désir d’acheter un article à la mode.

Si vous demandez à des personnes fortunées de vous expliquer comment devenir riche, elles ont toutes les chances de vous répondre « par l’épargne ».

Mais pas n’importe quelle épargne : celle-ci doit s’aligner sur des objectifs financiers précis que vous vous fixez à l’avance.

Les supports sont nombreux : compte épargne réglementé, plan d’épargne retraite, assurance-vie, plan d’épargne en actions… L’idée, c’est de commencer le plus tôt possible, de façon à tirer parti de l’effet exponentiel associé aux intérêts.

En effet, si 3 % de 1 000 € donnent 30 €, il ne faut pas oublier que 3 % de 100 000 € donnent 3 000 €… En somme, plus vous épargnez, et plus vous gagnez d’argent sur les intérêts, même si le taux est faible.

Un autre aspect essentiel à prendre en compte pour savoir comment devenir riche a trait à la gestion financière quotidienne.

Les hommes et les femmes qui parviennent à faire fortune ont en commun de gérer efficacement leur argent : cela s’applique à leurs investissements, bien entendu, mais aussi à leurs dépenses journalières.

Car un budget, ça se contrôle. Éviter de trop dépenser, et de jeter l’argent par les fenêtres, ça s’apprend.

Quelques exemples de bonnes pratiques pour mieux gérer vos dépenses (et vous mettre sur la voie pour devenir riche) :

Avant chaque achat, demandez-vous si vous avez réellement besoin de l’article concerné, ou si vous pouvez vous en passer. De la même façon, interrogez-vous toujours à propos de l’impact de cette transaction sur vos objectifs financiers.

Évitez à tout prix les achats impulsifs : vaut mieux laisser filer une bonne opportunité plutôt que de regretter par la suite, parce qu’elle n’aurait pas été suffisamment réfléchie.

Identifiez tous vos paiements automatisés (abonnements à des services de streaming, salle de sport, carte illimitée pour le cinéma…), et interrogez-vous sur leur utilité.

Adoptez la méthode du « cash stuffing » : celle-ci consiste à prévoir des enveloppes d’espèces en début de mois, avec un budget alloué à chaque poste de dépense (loyer, alimentation, santé, transport, loisirs…). Pourquoi ? Parce qu’il est plus facile de suivre ses dépenses lorsqu’elles sont payées en cash, tandis que la carte bancaire rend les paiements indolores.

Abstenez-vous de vous endetter (dans la mesure du possible). Car le levier numéro un pour gagner de l’argent, c’est… de ne pas en perdre ! Malheureusement, le moindre prêt s’accompagne d’intérêts qui finiront par revenir plus cher que le montant initialement emprunté. Dans la plupart des cas (hors achat d’une résidence principale), il est recommandé d’attendre de disposer des fonds pour un paiement comptant, plutôt que d’emprunter.

Gagner – et économiser – de l’argent, c’est une excellente chose. Mais cela ne nous dit pas comment devenir riche.

Car il y a un monde entre le salaire perçu chaque mois et le « seuil de richesse » que l’on peut envisager d’atteindre (au minimum, le montant nécessaire pour vivre confortablement sans devoir travailler) : un emploi stable n’a jamais rendu personne riche, sauf à être le patron d’un énorme groupe et toucher une rémunération à 7 chiffres.

Une position qui, vous le reconnaîtrez, ne s’obtient pas en claquant des doigts.

L’argent gagné et épargné, il faut donc le faire fructifier. L’utiliser pour faire des petits. En un mot : l’investir.

C’est là que réside la richesse – dans des placements rentables, qui aident à accroître son patrimoine (ce qui exclut les livrets réglementés, dont la rémunération est trop faible). Il y a différents moyens pour y parvenir :

Développer un portefeuille de cryptomonnaies.

Le principe de l’investissement est aussi élémentaire que brillant : il s’agit d’utiliser son argent pour générer des revenus supplémentaires, en le plaçant dans des supports rémunérateurs, puis en le laissant travailler de son côté.

Néanmoins, il peut s’avérer difficile de se lancer là-dedans lorsqu’on n’y connaît rien.

Cela s’apprend, bien entendu ; mais, dans l’intervalle, vous avez tout intérêt à travailler avec des professionnels de la gestion de patrimoine, qui sauront identifier les placements adéquats et vous donner des conseils pertinents en tenant compte de vos objectifs patrimoniaux.

Ils ne vous diront pas comment devenir riche, mais vous assisteront dans la longue marche qui mène à la fortune personnelle.

Nous en parlions plus haut : un emploi stable offre une belle sécurité financière, mais ne permet pas d’atteindre l’opulence. Il s’agit donc de trouver une autre solution.

Et tous ceux qui savent comment devenir riche vous le diront : il faut diversifier ses revenus.

Ce qui en revient à tirer de l’argent non pas d’une source unique (l’emploi salarié ou l’entrepreneuriat), mais de plusieurs sources complémentaires ou indépendantes.

Par exemple :

Les loyers issus des biens immobiliers que vous mettez en location.

Les intérêts générés par vos placements sur les marchés.

Le fruit de la vente de vos parts dans les entreprises.

Les bénéfices issus d’une activité indépendante complémentaire à votre emploi salarié.

Les revenus passifs tirés d’activités automatisées : vente en ligne, affiliation, droits d’auteur…

C’est d’autant plus important qu’une unique source de revenus vous rend totalement dépendant(e) financièrement.

Ainsi, en tant que salarié(e), vous pouvez vous retrouver au chômage à tout moment, avec des conséquences sur votre situation financière.

Alors qu’avec 3 ou 4 sources différentes de revenus, vous n’aurez pas à vous inquiéter dans l’immédiat… et pourrez continuer à vivre normalement, tout en poursuivant votre effort d’épargne.

Comment devenir riche ? La dimension professionnelle : créer un business et apprendre en continu

Si vous avez déjà lu un article de conseils ou regardé une vidéo sur « comment devenir riche », il ne vous aura pas échappé que l’aspect purement financier n’est qu’une partie du problème.

Dans les faits, même une épargne précoce et d’excellents placements vous permettront difficilement d’atteindre des objectifs de richesse, sauf à pouvoir mettre beaucoup d’argent de côté et à parier sur le nouveau Bitcoin (mais la probabilité pour que cela arrive reste faible).

L’idée, c’est donc d’apprendre comment générer des revenus avec votre travail, et pour cela, de vous lancer dans l’aventure entrepreneuriale.

C’est l’objet de cette seconde partie de nos recommandations pour savoir comment devenir riche.

Les personnes devenues riches « à partir de rien » sont généralement des entrepreneurs.

C’est vrai pour Bill Gates, Steve Jobs, Richard Branson, Elon Musk ou George Soros, mais aussi (dans un autre genre) J.K. Rowling ou Oprah Winfrey. Ces différentes personnalités ont en commun d’avoir tout investi dans leur activité et travaillé dur pour atteindre le sommet.

On dit souvent qu’être son propre patron permet de mieux gagner sa vie, et même de s’enrichir. C’est vrai, et la courte liste citée au paragraphe ci-dessus tend à le démontrer.

Néanmoins, celui ou celle qui se demande comment devenir riche en créant son propre business doit tenir compte d’une chose : tous les entrepreneurs ne font pas fortune, mais tous ceux qui parviennent au rang de millionnaire le doivent à leur acharnement, à leur travail et à leur investissement personnel (en temps, en argent, en énergie).

Les grands patrons à succès n’arrivent jamais là par hasard, car leur réussite est toujours un accomplissement, le résultat d’une vie dédiée à leur activité.

Alors, comment devenir riche dans les affaires ? La première chose à faire, c’est de trouver une idée qui fonctionne, associée à un marché actif et à une demande pérenne.

Contrairement à une idée reçue, on ne vend pas de la glace aux esquimaux : à l’inverse, on doit chercher à répondre à un besoin prégnant qui est celui d’une partie de la population (les futurs clients).

La seconde, c’est de bien s’entourer : choisir les bons associés, construire un réseau professionnel cohérent, et surtout, se faire accompagner par des experts – des gens qui, parce qu’ils sont passés par là avant vous, savent précisément ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Créer une entreprise, ce n’est jamais une garantie de réussite. Mais c’est pourtant une étape incontournable pour qui veut atteindre les sommets.

La connaissance est l’un des piliers de la réussite professionnelle et financière.

La liste des professions qui comptent le plus de millionnaires – ingénieurs, avocats, médecins, entrepreneurs, etc. – montre que le succès repose, en grande partie, sur les compétences et le savoir-faire.

Car c’est ce qui permet de créer de la valeur par le biais du travail. Ce faisant, il est préférable de se demander « comment développer ses compétences dans son domaine » plutôt que de s’interroger sur « comment devenir riche » à proprement parler.

Concrètement, il est important de gagner en compétences, d’accroître ses connaissances professionnelles, et de chercher à se former en continu.

Le but ? Atteindre ce niveau où l’on devient un(e) expert(e) dans son domaine, une voix qui compte dans son écosystème.

L’idéal étant, bien sûr, de se focaliser sur des compétences rémunératrices et, en parallèle, de se doter d’une éducation financière approfondie – afin, on l’a dit, d’apprendre à gérer son argent une fois qu’on l’a généré.

Écouter les experts (et se faire accompagner par ceux qui savent)

Enfin, dernier point déterminant, trop souvent ignoré par ceux et celles qui veulent savoir comment devenir riche : faire confiance aux experts.

Avoir suffisamment d’humilité pour reconnaître que l’on ne sait pas grand-chose lorsqu’on démarre, que d’autres en savent plus que nous, et accepter de suivre les conseils donnés par des personnes qui ont l’expérience, l’expertise, et assez de pédagogie pour guider les autres.

Ce point est intimement lié à un autre : la mentalité. Pour devenir riche, il faut avant tout se mettre en situation d’atteindre cet objectif.

Il s’agit, pour cela, d’avoir l’esprit ouvert afin de comprendre ce qu’ont fait les riches pour le devenir, et ainsi répéter leurs actions.

Gardez en tête que les personnes ayant réussi à faire fortune, au-delà de leurs compétences et des efforts réalisés, ont ce que l’on appelle une « intelligence financière » : un talent naturel pour faire de l’argent.

Et puisque c’est une discipline que l’on n’apprend pas à l’école, c’est bien auprès des experts qu’il faut s’informer.

À ce titre, il y a deux manières de procéder :

Suivre un enseignement « officiel » en prenant des cours et/ou en obtenant un diplôme. L’école ne vous apprend pas comment devenir riche, mais elle vous donne les outils pour développer vos compétences et construire votre carrière, par le biais d’enseignants qui connaissent leur sujet et disposent des moyens pour transmettre efficacement leur savoir.

Jouer les autodidactes et apprendre par vos propres moyens, notamment en consultant un maximum de contenus : podcasts dédiés à l’entrepreneuriat (comme LITTLE BIG THINGS), vidéos sur YouTube, ouvrages, sessions d’e-learning… Ce qui en revient à recueillir la parole (précieuse) des gens qui ont réussi, et qui choisissent de partager leur expérience, leurs succès et leurs échecs. Une simple recherche du type « comment devenir riche » sur les moteurs de recherche et/ou sur les marketplaces vous donnera accès à quantité de ressources sur le sujet.

Ajoutons un conseil qui va dans le même sens : entourez-vous de personnes talentueuses qui partagent votre vision des choses et qui sauront vous motiver et/ou créer une émulation positive.

Ce qu’Andrew Carnegie a nommé le « Master Mind », le fait d’être au contact de personnes qui ont réussi et qui, par leur seule présence, nous aident à élargir notre horizon.

Devenir riche : les caractéristiques communes aux millionnaires

Concluons cette longue réponse à la question « comment devenir riche ? » en nous tournant vers ceux et celles qui ont atteint leurs objectifs.

Quelles sont les caractéristiques communes aux personnalités ayant fait fortune ? Quels points communs retrouve-t-on systématiquement parmi eux ? On peut en citer plusieurs :

La patience. L’investissement est une stratégie à long terme : sauf à disposer d’une grosse somme d’argent et à pratiquer le scalping (terme de trading qui désigne le fait d’ouvrir puis de fermer une position dans un intervalle de temps très court), ce qui n’est pas donné à tout le monde, il faut nécessairement patienter de longues années pour pouvoir profiter d’un bon retour sur investissement.

La connaissance. Les gens qui réussissent sont ceux qui donnent à la connaissance plus de valeur encore qu’à l’argent.

La persévérance. Le chemin qui mène à la réussite financière est long et semé d’embûches. Comprendre comment devenir riche, c’est aussi se préparer à une course de fond exigeante dans laquelle tous les participants n’arrivent pas au bout.

Les sacrifices. La richesse découle de choix drastiques au quotidien : il est nécessaire d’arbitrer en permanence entre ce que l’on peut faire et ce que l’on ne devrait pas faire. C’est un processus complexe qui suppose de consentir à des sacrifices.

La capacité à saisir les opportunités. Ce n’est certes pas le point le plus important du lot, mais les personnes devenues riches sont aussi celles qui parviennent à identifier et à saisir les opportunités lorsqu’elles se présentent. Celles qui sont perpétuellement à l’affût d’un levier à actionner pour accélérer le processus qui les mène au sommet.

En somme, il y a tout un état d’esprit à adopter pour parvenir au succès financier.

Tous ceux qui se lancent ne franchiront pas la ligne d’arrivée, bien sûr ; mais une chose est certaine, c’est que tous ceux qui l’ont franchie, cette ligne, ont d’abord dû se lancer dans l’aventure.

Parfois, la question n’est donc pas de savoir comment devenir riche, mais de déterminer si l’on est prêt(e) à faire ce qu’il faut pour y parvenir…



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Comment devenir riche ? Les clés pour construire sa fortune (avec des conseils réalistes)

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Comme nous avons pu le voir dans notre Top 10 des meilleures agences Tiktok, chaque spécialiste a ses forces et compétences qu'il convient de considérer pour trouver celle qui correspond à vos besoins.

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Leur mission ? Décrypter les énigmes des algorithmes pour vous positionner là où les regards se posent.

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Notre classement des 10 des meilleures agences SEO


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Vous avez tout à gagner à faire appel à la meilleure agence SEO, alors pourquoi vous en priver ?


Une agence SEO est une entreprise qui se donne pour mission d’augmenter la visibilité de ses clients sur les moteurs de recherche (Google, Bing, etc.), en tâchant de positionner leurs pages web dans les premiers résultats qui remontent sur des requêtes spécifiques.

Dans cette optique, elle actionne un grand nombre de leviers permettant d’optimiser un site sur ses composantes internes (contenus et améliorations techniques) comme externes (notamment la popularité via l’obtention de liens entrants).

Dans un second temps, elle analyse les résultats afin d’ajuster la stratégie en temps réel, en fonction des objectifs fixés en collaboration avec le client.

La particularité d’une agence SEO réside dans l’utilisation de leviers exclusivement organiques, c’est-à-dire indépendants des stratégies publicitaires. On parle à cet égard de référencement naturel, en opposition au référencement payant (SEA).

Quelles prestations propose une agence SEO ?

Les professionnels du référencement naturel proposent une batterie de prestations qui couvrent tout le champ des techniques employées pour augmenter la visibilité des pages web sur les moteurs de recherche. Ainsi, votre agence SEO peut…

Réaliser un audit SEO afin d’évaluer l’état actuel de votre site web et de produire des recommandations adaptées à vos besoins réels.

Identifier les mots-clés à travailler en fonction de la nature du site, de l’audience ciblée et du secteur d’activité, puis choisir les plus pertinents.

Optimiser les aspects techniques relatifs au site web, comme la vitesse de chargement des pages, l’indexation par les robots des moteurs de recherche, ou encore la compatibilité mobile.

Concevoir des contenus optimisés qui intègrent les mots-clés appropriés, et sont capables de répondre aux problématiques des internautes en leur apportant de la valeur.

Améliorer la popularité du site en générant des liens entrants (backlinks), en jouant sur la preuve sociale (publication d’avis clients) et en tissant des partenariats avec d’autres acteurs du web, comme des influenceurs.

Suivre les performances du site, notamment l’évolution des positions des pages sur les moteurs de recherche, et générer des rapports à transmettre au client.

Au-delà de ces prestations de base, l’agence SEO peut également prendre en charge la création des contenus, proposer des formations en référencement naturel, gérer les comptes sociaux de ses clients, et même établir des stratégies publicitaires complémentaires des leviers organiques.

Pourquoi confier sa stratégie à une agence SEO ?

Vous vous demandez pourquoi faire appel à une agence SEO pour optimiser vos pages web ?

Une bonne stratégie de référencement naturel est la clé pour gagner en visibilité sur le canal Search (plus de 50 % du trafic web global proviennent des recherches organiques), pour générer plus de trafic qualifié, pour développer votre notoriété, et pour favoriser la conversion des internautes en leads.

Autant de composantes incontournables pour faire grandir votre activité. Mais une telle stratégie ne peut pas s’improviser : elle doit être conçue et déployée par des professionnels du référencement naturel.

En collaborant avec une agence SEO, vous allez ainsi bénéficier…

Des compétences avancées d’une équipe d’experts : des consultants expérimentés et formés aux dernières méthodes SEO en date.

D’une solide expérience cumulée en matière d’optimisation, acquise au gré des prestations réalisées pour de nombreux clients (y compris dans votre secteur d’activité). Cette expérience garantit la mise en place d’une stratégie réellement adaptée à vos problématiques.

De meilleures performances, avec des résultats concrets en termes de positionnement des pages dans les résultats des moteurs de recherche. À ce titre, une agence SEO dispose à la fois des ressources et des outils nécessaires pour mener une analyse approfondie de votre site et du marché, afin de concevoir une stratégie pertinente.

D’un précieux gain de temps : externaliser votre référencement vous permet de vous focaliser sur votre cœur de métier, sur ce que vous savez faire de mieux.

De rapports réguliers sur les performances de vos pages, afin d’avoir une vision claire et complète de l’impact du référencement organique sur votre activité. Ces rapports témoignent également d’une volonté de transparence de la part de votre agence SEO.

De coûts réduits, puisque vous n’avez pas besoin de créer une équipe dédiée en interne et d’embaucher des experts à demeure sur le long terme.

En somme, vous avez tout intérêt à travailler avec une agence SEO : c’est la condition sine qua non pour maximiser votre visibilité en ligne et atteindre vos objectifs.

Combien coûtent les services d’une agence SEO ?

Le coût d’une stratégie prise en charge par une agence SEO est susceptible de varier en fonction de plusieurs paramètres :

La taille du site web et sa complexité. Plus le site est volumineux, et plus il nécessitera de travail : la stratégie à mettre en place ne sera pas la même pour une plateforme e-commerce comprenant plusieurs milliers de pages et pour un site vitrine de 4 ou 5 pages. De la même façon, la complexité du travail à effectuer va jouer sur la tarification, selon qu’il est nécessaire de produire des contenus techniques, d’intégrer des traductions en plusieurs langues, de développer des applications spécifiques, etc.

La nature des prestations. Par exemple : un audit SEO complet, une simple optimisation technique, un important volume de contenu à produire, une stratégie de netlinking, etc. Ou bien un package couvrant tous ces services, pour des résultats optimaux.

La concurrence sur le marché. Dans certains secteurs fortement concurrentiels, le positionnement des pages sur des mots-clés populaires peut s’avérer très complexe : cela a aussi un coût.

Le budget du client. Certaines agences tiennent compte des contraintes budgétaires de l’entreprise pour proposer une stratégie adaptée sur le plan financier.

La politique tarifaire propre à l’agence SEO. Celle-ci est fixée en fonction de nombreux facteurs, comme l’expérience de l’agence, sa réputation sur le marché, sa méthodologie de travail, la qualité des outils utilisés, ou encore son emplacement géographique.

Ainsi, le coût d’un accompagnement SEO peut aller de quelques milliers d’euros à plusieurs dizaines de milliers d’euros par an.

Avant de contacter une agence SEO, il est donc essentiel de définir clairement vos objectifs, d’établir une liste des caractéristiques de votre site web, de comparer les services et les tarifs, et de demander des devis auprès de plusieurs acteurs du marché.

Quels délais avant d’obtenir des résultats avec une agence SEO ?

Le référencement naturel est une stratégie de visibilité qui s’inscrit sur le temps long.

On estime qu’il faut un minimum de 6 mois pour commencer à observer les premiers résultats significatifs, à condition de fournir des efforts ininterrompus.

C’est pourquoi la plupart des agences font signer à leurs clients des devis d’une durée d’1 an au moins.

Il s’agit donc de faire preuve de patience et d’octroyer votre confiance à votre agence SEO, qui travaille dans les coulisses à créer une structure optimisée et pérenne pour votre site web.

Pour autant, cette durée moyenne est susceptible de varier considérablement en fonction des missions et de la concurrence sur le secteur.

Il faut aussi avoir en tête qu’une stratégie de référencement doit être ajustée en permanence, car l’écosystème évolue en continu : les algorithmes des moteurs changent, tout comme les comportements des internautes. Il n’y a donc pas réellement de fin à une prestation SEO.

Comment mesurer le ROI d’une campagne SEO ?

La notion de retour sur investissement (ROI) est essentielle en SEO, car elle permet de mesurer les performances d’une stratégie et d’évaluer l’efficacité du travail réalisé par l’agence SEO en charge.

Le calcul du ROI vise à faire le rapport entre les sommes investies et les profits générés en vertu de la stratégie mise en place, à l’aide la formule suivante : (valeur des conversions – coût de l’investissement) / coût de l’investissement.

Pour cela, on tient compte de différents indicateurs, sélectionnés en fonction des objectifs ciblés : en particulier, le volume de trafic généré sur une période donnée, le taux de clics sur les liens organiques affichés dans la page des résultats, et le taux de conversion.

Afin de mesurer le ROI aussi précisément que possible, votre agence SEO utilise divers outils de contrôle comme la Google Search Console, Google Analytics, Semrush, etc.

Elle vous remet ensuite des reportings réguliers, qui vous donnent une vision synthétique des résultats.

Une agence SEO peut-elle booster mon référencement local ?

La réponse est oui : votre visibilité locale peut être optimisée par une agence SEO.

Le référencement local désigne un type particulier de SEO qui vise à cibler les utilisateurs dans une zone géographique donnée.

Cette démarche est spécifiquement adaptée aux enseignes dont la clientèle est majoritairement locale ou qui proposent leurs produits/services dans des régions bien délimitées.

Pour l’agence, il s’agit alors de travailler des mots-clés localisés qui incluent l’emplacement de l’entreprise et les services proposés, par exemple en intégrant la ville, le département ou la région.

Le but ? Toucher des consommateurs de proximité qui effectuent des recherches localisées ou qui ont activé la géolocalisation sur leur téléphone.

La question est essentielle : au moment de choisir votre agence SEO, comment vous assurer de trouver le bon interlocuteur ? Voici une liste des critères à prendre en considération.

L’expérience de l’agence SEO : préférez une enseigne ayant une solide expérience en matière de référencement et, dans l’idéal, qui dispose de compétences propres à votre secteur d’activité.

La réputation de l’agence SEO : lisez les avis publiés par les clients sur le web et demandez à voir des références, et même à lire des cas clients. Une bonne façon de jauger une agence consiste aussi à taper son nom sur Google pour voir quels résultats s’affichent, et quelles positions sont occupées par ses pages : si elle se positionne sur des mots-clés liés à son activité, c’est plutôt bon signe.

La méthodologie de travail : assurez-vous que l’agence SEO contactée utilise des techniques de référencement licites et éthiques (on parle de « White Hat SEO », en opposition au « Black Hat SEO »).

La personnalisation : il est important que votre agence SEO vous propose un accompagnement personnalisé, avec des prestations adaptées à vos besoins et à vos contraintes.

Les tarifs appliqués : faites établir un devis sur mesure et ignorez les agences qui proposent des forfaits universels, car dans le milieu, l’on sait bien que chaque client est différent et qu’il mérite un traitement spécifique. Dans l’absolu, méfiez-vous des promesses trop belles pour être vraies et des prix étrangement bas : un bon travail sur le SEO (avec des résultats tangibles à la clé) prend du temps et nécessite des investissements notables.

La transparence : les agences dignes de confiance sont celles qui communiquent de façon transparente sur leurs méthodes, leurs actions, et leurs résultats.

Le feeling : l’expertise est certes essentielle, mais le feeling joue également un rôle majeur dans le choix d’un prestataire. Il est préférable de travailler avec un partenaire qui vous inspire, avec lequel la communication est fluide, qui est à l’écoute de vos besoins et qui répond à vos inquiétudes. La qualité de la relation est d’autant plus importante que vous risquez de travailler longtemps avec cette agence SEO.

Dites-vous que le choix de la bonne agence de référencement naturel va conditionner la réussite de votre stratégie.

Alors, prenez le temps de bien vous renseigner, de comparer les offres, et de sélectionner l’interlocuteur qui vous convient le mieux.



Quelles sont les étapes incontournables pour développer un site web efficient ? Découvrez comment créer un site internet professionnel parfait.

Comment créer un site internet ? Le guide complet !

Le site internet est en train de devenir incontournable. En 2022, 77 % des entreprises en détenaient un et, parmi les 23 % restantes, plus de la moitié prévoyaient de créer leur propre site à moyen terme (chiffres France Num).

De fait, le site web est désormais la clé de la visibilité d’une entité en ligne et une composante essentielle de sa communication.

Créer un site web permet de disposer à la fois d’un levier d’acquisition, d’un outil de différenciation et d’un générateur de valeur pour les prospects et clients.

Si vous faites partie des 13 % d’organisations qui n’en ont pas encore, ou si vous envisagez de refondre votre plateforme existante, découvrez dans cet article comment créer un site internet qui répond à tous vos besoins.

Comment créer un site internet ? Le guide pratique avec toutes les étapes à suivre

Le développement d’un site web n’est plus une niche digitale réservée aux entreprises disposant de gros moyens financiers ou aux petits génies du langage informatique.

Toutes les organisations, et de toutes les tailles, y ont désormais droit : TPE/PME, grand groupe, freelance, association, institution, artisan, professionnel libéral, commerçant… Aujourd’hui, il suffit d’utiliser un CMS (type WordPress) pour créer un site web et pour mettre en ligne des pages en quelques clics.

Néanmoins, si vous voulez faire les choses bien, il est indispensable de maîtriser les grandes étapes à suivre.

Voici comment créer un site internet dans les règles de l’art.

1. Choisissez le type de site web dont vous avez besoin

Pour comprendre comment créer un site internet, il faut d’abord identifier le type de plateforme souhaité. Celui-ci dépend essentiellement de vos besoins.

Vous souhaitez disposer d’une carte de visite digitale, constituée de quelques pages pour présenter votre structure (ou vous présenter vous-même) et mettre en avant vos services ? Vous avez alors besoin de créer un site vitrine. Celui-ci peut être simplifié à l’extrême et prendre la forme d’un site « one page » (une page unique pour une présence minimale en ligne) ou se contenter d’afficher des créations visuelles (un portfolio).

Vous ambitionnez de diffuser du contenu et d’apporter de la valeur aux internautes, en publiant aussi bien des articles que des livres blancs ou des études de cas ? Il vous suffira de créer un site web tout simple (de quelques pages), à condition d’y associer un blog.

Vous voulez vendre des produits ou des services ? Ce qu’il vous faut, c’est créer un site web de vente en ligne. Celui-ci se caractérise par une architecture spécifique (catégories et sous-catégories, fiches produits…) et par des fonctionnalités indispensables relatives aux modes de paiement, à la gestion des stocks ou à la sécurité des transactions.

Vous envisagez de proposer des contenus informatifs à destination du plus grand nombre ou d’un public de niche ? Vous avez besoin de créer un site média incluant des fonctionnalités comme une section actualités, des téléchargements de documents, des invitations à des événements, etc.

Ces différents sites répondent à des présupposés très différents.

Par exemple, un site vitrine sera très simple esthétiquement et techniquement, avec peu de pages, tandis qu’une plateforme e-commerce nécessitera un grand nombre de pages et des fonctionnalités bien particulières.

La réponse à « comment créer un site internet » sera donc influencée par la nature de vos besoins.

Quelques questions à vous poser pour identifier le type de site qui vous convient :

Quels objectifs cet outil doit-il vous aider à atteindre ?

Avez-vous l’intention de vendre des produits ou des services en ligne ? De proposer des contenus ?

Qui sont les internautes ciblés et quelles sont leurs attentes ?

De quelles fonctionnalités avez-vous absolument besoin ?

2. Préparez les éléments nécessaires pour créer votre site web

Comment créer un site internet en pratique ?

C’est à cette interrogation que nous allons commencer à répondre, en trois points : l’achat du nom de domaine, la sélection d’un hébergeur, et le choix d’un outil de création.

Le nom de domaine fait partie de l’adresse URL d’un site internet, sous cette forme : www.nomdusite.fr ou .com.

Il doit être choisi avec beaucoup de soin, afin que les internautes identifient facilement votre entreprise, votre marque, ou qui vous êtes.

Dans les faits, il est courant de reprendre le nom commercial de l’entité ou de la marque, ou simplement d’utiliser vos nom et prénom s’il s’agit d’un site dédié à votre personne.

En tous les cas, il est important de se rappeler que ce nom de domaine s’inscrit dans une stratégie à part entière : il doit être court et impactant, de manière à faciliter l’accès et la mémorisation.

Attention : un nom de domaine n’est pas une marque déposée à l’INPI. Techniquement, n’importe qui est susceptible d’acheter le domaine qui vous intéresse ou, du moins, d’en réserver certaines extensions. Si cela est dans vos moyens, nous vous recommandons d’acheter l’ensemble des formulations possibles de votre nom, ainsi que les extensions les plus courantes.

Par exemple, si votre site s’appelle www.atlas-societe.com, pensez à réserver la même chose en .fr et .net, ainsi que les variations comme www.altas-societe ou www.attlas-societe.

Même si vous savez comment créer un site internet par vous-même, sans faire appel à qui que ce soit, vous devrez tout de même choisir un hébergeur.

Ce terme désigne un prestataire qui met à la disposition de ses clients des serveurs informatiques pour l’hébergement des données.

Plusieurs solutions d’hébergement existent, que ce soit sur un serveur physique ou sur un Cloud (hébergement mutualisé).

La première solution est plus coûteuse, mais elle correspond aux besoins d’un site qui génère un fort trafic, jusqu’à plusieurs millions de visites par jour.

La seconde est plus « démocratique » et plus facilement accessible, mais les ressources y sont limitées, avec des performances qui varient en fonction de la consommation des autres clients.

C’est la solution la plus simple pour créer un site web de taille moyenne, sans devoir dépenser des sommes considérables dans l’hébergement.

Choisissez votre outil de création de site web

Un outil de création est une application permettant de concevoir, de paramétrer, de personnaliser et de gérer un site sans coder.

Grâce à ce type d’outil, tout le monde sait comment créer un site internet ou, du moins, tout le monde peut apprendre à le faire en quelques heures.

De fait, recourir à une solution de ce genre est préférable – l’alternative étant de coder entièrement à la main. Or, créer un site de cette manière est à la fois plus compliqué, plus long et plus onéreux.

Avec un CMS (un « système de gestion de contenu »), vous pouvez créer un site de votre choix en concevant directement les pages qui vous conviennent.

Quant aux fonctionnalités de gestion et de sécurité, elles sont prises en charge par l’outil ou nécessitent simplement d’installer les extensions adéquates.

Il existe une grande variété de CMS, le plus courant étant WordPress. Mais certains sont spécialisés : c’est le cas de Prestashop ou de Magento pour créer un site e-commerce.

Vous avez également la possibilité d’utiliser un outil clé en main de type Wix, mais compte tenu du nombre réduit de paramétrages possibles, ce type d’option ne vaut que pour créer un site vitrine simplifié à l’extrême.

En faisant votre choix, veillez aussi à disposer d’une large gamme d’application tierces à intégrer (les fameuses extensions), et prêtez attention à la qualité de la maintenance et du support.

Une fois le CMS installé, vous devez le connecter à votre hébergement. Dans la plupart des cas, la marche à suivre est expliquée par l’hébergeur.

3. Définissez l’architecture de votre site internet

Vous savez désormais comment créer un site internet sur le plan technique. Il faut ensuite passer au gros morceau : la conception de votre support, et plus particulièrement de son architecture.

Il s’agit de définir les plans de votre site web, de la même façon que l’on dessine les plans d’une maison à construire : nombre de pages, nature de chaque page, interconnexion entre elles, leviers de navigation sur le site, etc.

Voici quelques éléments de réflexion à avoir en tête pour créer votre site web sur la base d’une architecture adaptée :

Le nombre de pages nécessaire dépend du type de site. Une simple vitrine n’aura besoin que de quelques pages, typiquement : homepage, services, contact, « à propos ». En revanche, une plateforme e-commerce se caractérise par sa densité : il faut créer des catégories et des sous-catégories afin de permettre aux internautes de trouver rapidement les articles recherchés. Pensez à créer un sitemap – une sorte de plan global de votre site, avec toutes les URLs disponibles – et à le soumettre aux moteurs de recherche pour qu’ils puissent indexer vos pages.

La navigation est le point clé de tout site web : les utilisateurs doivent pouvoir aisément passer d’une page à l’autre et trouver ce qu’ils sont venus chercher, qu’il s’agisse d’informations ou de services. C’est plus important encore que l’esthétique ! Au moment de créer un site internet, il faut donc prévoir des éléments de navigation comme un menu principal (sous la forme d’une barre horizontale ou verticale, avec des liens vers les différentes pages), un footer avec des liens stratégiques, et des boutons d’appel à l’action pour orienter les internautes.

Les fonctionnalités dépendent de la nature de votre site et de vos besoins. Les plus complexes sont attachées à une boutique en ligne : vous devez prévoir une fonctionnalité de panier, plusieurs modes de paiement sécurisés, un système de création de compte client, etc.

Vient ensuite le moment de concevoir les maquettes de votre site, ce qui en revient à mettre en forme les différentes pages, avec la place dédiée aux visuels, aux textes, aux boutons CTA et autres éléments graphiques.

En d’autres termes : il s’agit d’imaginer le design de la plateforme.

La bonne nouvelle, c’est que vous n’avez pas besoin de créer votre site web de toutes pièces : les CMS proposent des templates que vous pouvez reprendre à l’identique ou modifier à votre convenance, à condition de connaître un minimum de code… ou de vous faire assister par un développeur.

4. Créez le contenu des différentes pages de votre site

Vous avez l’hébergement, l’architecture, le design. Vous savez à quoi vont ressembler vos pages, et quoi mettre dans chacune d’elles.

Mais le plus dur reste à faire : créer le site tel qu’il sera consulté par les internautes. En pratique, vous disposez maintenant d’une coquille vide qu’il faudra remplir avec du contenu de qualité et pertinent.

C’est là que la question de savoir comment créer un site internet se transforme en une interrogation toute différente : que doit-on mettre dans un site web ?

Dans les faits, vous devez…

Rédiger les contenus en vous adaptant à la nature de la page concernée. Par exemple, la « home » (accueil) est utilisée pour présenter l’entreprise, la marque ou la personne, avec des éléments informatifs très génériques et des liens vers les différentes URLs. Tandis que la page « contact » doit donner toutes les informations nécessaires pour échanger avec vous : téléphone, adresse postale, adresse email, réseaux sociaux, etc. Les choses se compliquent pour une boutique en ligne : idéalement, chaque produit doit bénéficier de sa propre fiche dédiée. Heureusement, les CMS spécialisés proposent des templates adaptés ; quant aux informations à apporter, vous pouvez vous inspirer de ce que font les marketplaces populaires comme Amazon.

Sélectionner les visuels qui viendront illustrer les pages. Prenez garde à choisir des images libres de droits ou à signer un contrat de cession de droits d’auteur. Si les photos ont été prises en interne, pensez à demander le consentement des personnes éventuellement représentées.

Mailler les pages entre elles en intégrant des liens internes, afin de faciliter la navigation sur l’ensemble du site. C’est aussi par le biais des liens hypertextes que les robots des moteurs de recherche sont capables d’explorer la totalité d’une plateforme et d’en indexer les pages. Pensez à inclure des boutons d’appel à l’action lorsqu’il s’agit de renvoyer les internautes vers des pages spécifiques, notamment vers la page de contact ou vers un formulaire à remplir.

Optimiser les pages pour le référencement naturel, afin de faciliter le travail des moteurs de recherche qui vont les indexer et les positionner dans leurs résultats. La plupart des CMS disposent d’outils SEO gratuits (comme Yoast pour WordPress) qui permettent de faire les premiers pas en matière de référencement ; mais pour aller plus loin, il faudra faire appel à une agence spécialisée.

Cette étape peut sembler anodine, et d’une certaine manière, elle l’est si vous vous contentez de créer un site web « one page » avec un minimum de contenu dessus (largement suffisant pour un petit artisan dont la clientèle est essentiellement locale).

Mais dans 99 % des cas, la création et l’optimisation du contenu suppose de travailler avec des experts : rédacteurs et copywriters pour les contenus, graphistes pour les visuels, référenceurs pour le SEO et le maillage interne, etc.

Des professionnels qui savent comment créer un site internet dans tous ses aspects.

5. Intégrez les mentions réglementaires et garantissez la sécurité des données

Dès lors qu’il revêt une dimension commerciale, tout support digital doit intégrer des informations légales. Toute personne qui s’attache à créer un site web est dans l’obligation de respecter la réglementation en ce sens. Florilège :

Les mentions légales sont obligatoires pour toute structure professionnelle, qu’il s’agisse d’une micro-entreprise ou d’une société. Ces mentions intègrent, entre autres choses, le nom de la structure ou de l’entrepreneur individuel, la forme juridique, l’adresse du siège social, ou encore l’immatriculation. De nombreux sites proposent d’éditer gratuitement ce contenu : vous n’avez qu’à remplir les cases dédiées à vos informations personnelles.

Les conditions générales de vente sont essentielles pour toute plateforme marchande. Ces CGV incluent des informations relatives aux prix, aux frais de livraison, aux modalités de paiement, et aux délais de rétractation.

La politique relative aux cookies doit être affichée dès l’entrée sur le site, via une fenêtre pop-up. Ce contenu sert à informer les internautes quant à la finalité de l’utilisation des cookies tiers, et à leur proposer des options pour les refuser ou modifier les paramètres de confidentialité. C’est une obligation pour être en conformité avec le RGPD.

Mais ce n’est pas tout. Autre point important pour savoir comment créer un site internet : la question de la sécurité.

En tant que webmaster ou propriétaire du site, vous devez garantir aux internautes la sécurité de leurs données personnelles pendant toute la durée de leur navigation.

Cela implique de respecter les exigences du RGPD et d’implémenter des fonctionnalités de sécurité dans votre plateforme, notamment en activant le protocole HTTPS via l’obtention d’un certificat SSL. Une démarche à effectuer, si possible, dès la création du site.

6. Lancez des tests avant la mise en production de votre support

Vous avez suivi toutes les étapes et savez comment créer un site internet. Vous entrez désormais dans la dernière ligne droite de votre projet : la mise en production. Mais avant d’en arriver là, il faut en passer par une batterie de tests.

Le but étant de vous assurer que votre site fonctionne parfaitement et qu’il est prêt à recevoir ses premiers visiteurs.

Première chose à faire : testez vous-même votre site web flambant neuf en vous mettant à la place d’un utilisateur lambda – à ceci près que vous gardez à portée de main un tableau Excel pour y reporter tous les problèmes rencontrés.

Vérifiez que les pages s’affichent correctement et dans des délais raisonnables, sur tous les types d’appareils ; que les liens et les boutons CTA fonctionnent ; que les éléments importants apparaissent, comme les visuels ou les formulaires ; que le cadenas de sécurité s’affiche bien dans l’URL ; etc.

Un conseil : utilisez plusieurs navigateurs (Chrome, Edge, Safari…) pour vous assurer que votre site fonctionne dans tous les cas de figure.

Dans un deuxième temps, employez des outils pour effectuer des vérifications plus poussées sur le plan technique.

Vous en trouverez beaucoup de gratuits sur le web, comme l’extension Lighthouse pour Google Chrome (qui permet de vérifier les performances et l’accessibilité d’un site) ou PageSpeed Insights (pour mesurer la vitesse de chargement des URLs).

Aussi, prenez le temps de relire l’ensemble des contenus de votre site. Oui, la totalité : il faut absolument corriger toute erreur ou coquille qui aurait pu se glisser dans le texte, mais aussi veiller à ce que les informations communiquées soient exactes sur le fond.

Enfin, vérifiez la bonne optimisation de vos pages grâce à des outils comme la Google Search Console ou Google Analytics. Vous devez vous assurer que votre site est prêt à être indexé par les moteurs de recherche : c’est la condition sine qua non pour qu’il soit trouvé par les internautes.

7. Mettez votre site web en ligne et maintenez-le à jour

Le fait de créer un site internet ne se limite pas à sa formalisation : il faut aussi le rendre visible.

Une fois votre site web finalisé et testé, il ne vous reste plus qu’à le mettre en ligne pour de bon – et à communiquer sur cet événement auprès de toutes les parties concernées (prospects et clients, partenaires commerciaux, fournisseurs, etc.).

Parlez-en sur votre blog, dans votre newsletter, ou sur vos réseaux sociaux.

Néanmoins, le travail ne s’arrête pas à la publication. Il ne suffit pas de savoir comment créer un site internet : il faut aussi comprendre comment le maintenir en bonne santé ET dans les premières places des résultats des moteurs de recherche.

Dans ce but, vous devez monitoriser ses performances en permanence, lancer les mises à jour nécessaires dès qu’elles vous sont proposées (celles du CMS comme celles des extensions installées), et publier régulièrement du contenu.

Aussi, pensez à tester votre site au moins une fois par mois : affichage des pages, fonctionnement des liens et des formulaires, etc. Vous ne voudriez pas rater une opportunité commerciale à cause d’un lien mort…

Vous savez désormais comment créer un site internet pour votre structure et/ou pour mettre en avant vos activités.

En pratique, créer un site est à la portée de tous et toutes. Ce travail peut donc être réalisé par vos soins… ou confié à un professionnel – agence web ou développeur freelance – en fonction de la nature du site, de vos besoins, de vos contraintes et de votre budget.

Mais gardez bien en tête que votre plateforme digitale est une extension de votre entité, en même temps qu’un levier de croissance : vous devez donc créer le site le plus pertinent et le plus performant possible !

Découvrez sans plus attendre le Top 10 des meilleures agences de création de site internet !



Comment créer un site internet ? Les 7 étapes pour développer la plateforme idéale !

Le personal branding est l’art de communiquer sur sa personne avec les leviers du marketing. Comment créer une marque personnelle forte ?

Personal Branding : comment créer sa marque personnelle ?

Et si chacun(e) devenait sa propre marque ? 😇

Dans l’écosystème professionnel de ce début de XXIe siècle, l’image que l’on renvoie a des répercussions majeures sur son succès auprès du public, des prospects, des partenaires ou des recruteurs.

Il ne s’agit plus seulement de maîtriser sa réputation en ligne ou de modérer ses propos sur les réseaux sociaux, mais bel et bien de s’appuyer sur son image personnelle pour se distinguer de la masse.

C’est ce que l’on appelle le personal branding : se mettre en avant en tant que personne, parler de soi, et savoir « se vendre ». 

À travers le branding personnel, vous devenez votre meilleur atout pour gagner en visibilité et en notoriété, et pour trouver plus facilement des clients, des followers, ou un emploi – un avantage indéniable à l’ère du tout-digital. 

Mais comment ça marche ? Quelles sont les clés pour créer une marque personnelle forte, séduisante et mémorable ?

C’est quoi, le personal branding ? Une définition simple


Le personal branding désigne le fait de travailler son image de marque personnelle.

Il s’agit d’une pratique marketing dont l’objet est de communiquer sur sa personne et toutes ses composantes (savoir-faire et savoir-être, qualités humaines, expériences, centres d’intérêt, talents et compétences) en employant les mêmes leviers que l’on utilise habituellement pour parler d’un produit, d’un service ou d’une entreprise.

Dans le personal branding, c’est donc l’individu qui est mis en valeur, et non une personne morale, une équipe ou une communauté – Steve Jobs plutôt que Apple, Elon Musk plutôt que Tesla, Cristiano Ronaldo plutôt que le club de football au sein duquel il évolue.

Par le biais de cette pratique, on s’attache à gérer sa notoriété et sa réputation personnelles en véhiculant une identité authentique et distinctive, dans le but d’influer sur l’image perçue par les tiers et de se faire (re)connaître.

Pour le dire en quelques mots, le personnel branding, c’est : l’humain avant la marque.

Le branding pour tous et toutes, ou l’évolution rapide de l’image personnelle en ligne


Peu de temps en arrière, le branding personnel était la chasse gardée des personnalités publiques, dont la notoriété a toujours été un argument de vente en soi : artistes, sportifs, politiques, capitaines d’industrie, etc.

Néanmoins, ces dernières années, l’usage de cette forme de communication s’est étendu à tous et toutes, ainsi qu’à tous les domaines professionnels, de manière concomitante à l’émergence et au développement du web 2.0 (l’Internet de l’interactivité entre les personnes et de la production participative).

En pratique, chacun(e) est en position de valoriser sa personnalité et de devenir sa propre marque.

D’une certaine façon, le personal branding est devenu l’un des éléments essentiels d’une carrière réussie.

La propagation du chômage de masse, la disparition de nombreux métiers manuels, la mondialisation et ses conséquences (délocalisation et inégalités salariales) sont également en cause dans la démocratisation du branding : celui-ci devient un levier de différenciation dans un environnement du travail où la concurrence est toujours plus féroce.

Aujourd’hui, ce type de branding est utilisé avec beaucoup de succès par trois profils de personnes :

Les entrepreneurs qui s’appuient sur leur notoriété pour valoriser leur(s) entreprise(s).

Les demandeurs d’emploi qui cherchent à se démarquer afin de décrocher un meilleur poste, ou les salariés qui ambitionnent d’obtenir de nouvelles missions ou plus de responsabilités au sein de leur entreprise.

Les freelances qui entendent développer leur visibilité et donner un coup de boost à leur business.


En somme, le but est de se démarquer, alors que les récepteurs potentiels (prospects ou clients, partenaires, internautes, recruteurs…) sont saturés d’informations au point de ne plus savoir où donner de la tête. Or, l’attention étant une ressource précieuse, il est crucial de parvenir à la capter et à la retenir. Cela, grâce à sa marque personnelle.

Ainsi, dans le cadre du personal branding, on va chercher à…

Se distinguer dans un marché compétitif (cela vaut pour tous les cas de figure : se différencier des autres candidats à un poste attractif, des autres créateurs de contenu sur le web, des autres personnalités publiques cherchant à convaincre la même audience, etc.).

Se positionner en tant qu’expert dans son domaine de prédilection.

Valoriser son expertise, son savoir-faire, ses compétences.

Booster sa notoriété personnelle et se construire une réputation positive (afin de générer plus de trafic, d’engagement ou de conversion ; ou simplement pour vendre plus).

Développer son réseau professionnel et/ou faire grandir sa communauté digitale.

Communiquer efficacement sur la marque ou l’entreprise que l’on représente, sur des produits ou des services que l’on cherche à vendre.

Gagner en confiance en soi, améliorer son leadership, affiner ses soft skills.

Mais attention, car le personal branding est d’abord un outil. Et comme tout outil, il est nécessaire d’apprendre à s’en servir à bon escient afin de l’employer dans les bonnes conditions et d’en tirer le meilleur parti. C’est ce que nous allons voir maintenant.

Comment construire sa marque personnelle grâce au personal branding ?


Pour utiliser sa marque personnelle, il faut avant tout la construire. À ce titre, il est indispensable de regarder le personal branding comme une démarche marketing à part entière, qui nécessite de bâtir une stratégie exhaustive.

Voici les 8 grandes étapes à suivre pour faire de votre personne une marque forte et incontournable.

1. Définissez votre identité (qu’est-ce qui vous rend unique ?)


Avant de créer et de partager du contenu en votre nom, commencez par définir qui vous êtes et ce qui vous différencie des autres. Pour cela, vous devez identifier vos caractéristiques, vos points forts et faibles, et votre valeur ajoutée. Ce tour d’horizon introspectif peut prendre la forme d’un questionnaire :

Comment vous décrire en quelques mots ?

Que pouvez-vous apporter à votre audience ?

Quelles sont vos forces et vos faiblesses ?

Quelles personnes publiques admirez-vous (et pourquoi) ?

Demandez à vos proches, à tous ceux qui vous connaissent bien, de répondre aux mêmes questions en toute honnêteté. Cela vous aidera à délimiter plus facilement votre profil. Il ne vous restera plus qu’à construire votre « personnage médiatique » sur cette base, en tenant compte de tout ce qui fait que vous êtes vous.


Toutefois, prudence : personal branding ou non, votre image de marque doit rester authentique, vraie et franche. L’authenticité doit prendre le pas sur la cohérence du branding, et même sur l’aspect positif de votre identité : ne cherchez surtout pas à être quelqu’un d’autre, à dissimuler vos défauts ou à vous donner des airs qui ne vous correspondent pas.

Le branding personnel n’est pas un concours de beauté, il n’est pas question de vouloir plaire à tout le monde ou de chercher à répondre aux attentes d’un public large. Ce qui compte, c’est votre audience cible et la connexion que vous parvenez à créer avec elle.

Or, la perfection n’est pas attirante : nous apprécions davantage les personnes réelles, avec leurs insuffisances et leurs manquements, que celles qui se dissimulent derrière des apparences fausses.


Un bon personal branding repose en partie sur la valeur ajoutée que vous allez apporter à votre audience. Cette valeur est la réponse à la question : pourquoi choisirait-on de vous suivre, vous plutôt qu’un(e) autre ? C’est ce qui permet de vous différencier du lot commun et de valoriser votre singularité, à travers tout le bien que vous êtes susceptible d’apporter à votre public. Quelques exemples de valeur ajoutée :

Une expertise dans un domaine particulier.

Une niche spécifique (commerciale, culturelle, intellectuelle, sportive…).

En somme, tout dépend de votre spécialité, de ce que vous cherchez à communiquer et de l’audience à laquelle vous vous adressez. Ce qui nous amène directement au sujet des objectifs.

4. Définissez les objectifs de votre branding


Nous le disions plus haut : il faut considérer le personal branding comme une stratégie marketing en soi. Comme pour toute démarche marketing, il est donc nécessaire de se fixer des objectifs à atteindre.

Ceux-ci doivent être SMART : Spécifiques, Mesurables, Atteignables, Réalistes et Temporellement définis. Il peut s’agir de trouver un emploi, d’obtenir un nombré donné d’abonnés sur un réseau social, de générer X leads par trimestre, etc.

Pourquoi est-ce indispensable ? Pour deux raisons :

D’une part, vous devez savoir où vous allez. C’est à partir des objectifs fixés que vous pourrez déterminer la marche à suivre pour les atteindre : contenus à créer, canaux de communication à exploiter, messages à faire passer.

D’autre part, c’est en disposant d’objectifs clairs que vous serez en mesure de mesurer votre progression (à l’aide des KPIs pertinents), de comprendre où vous en êtes, et d’estimer le chemin qu’il vous reste à parcourir.

5. Délimitez clairement votre audience cible


À qui voulez-vous parler par le biais de votre personnel branding ? Les cibles d’une campagne marketing peuvent entrer dans différentes catégories : prospects ou clients, recruteurs, partenaires, futurs associés, lectorat, auditoire, etc.

À vous de dresser le portrait de votre audience idéale. Cela vous aidera à définir les actions de communication à mettre en place pour attirer son attention, mais aussi à choisir les canaux pertinents pour parler avec elle – emailing ou publicités en ligne ? Instagram ou TikTok ?

N’essayez pas de vous adresser à tout le monde à la fois : vous risquez d’être inaudible ! Mieux vaut être tranché(e) et sélectionner une cible de niche, avec un fort potentiel de conversion.

N’ayez pas peur d’être polarisant(e) ou, pour reprendre l’excellente analogie de Michaël Aguilar, d’être « glace à la pistache » (détestée par beaucoup, adorée passionnément par certains) plutôt que « glace à vanille » (aimée modérément par tout le monde, donc choisie par défaut et non par conviction).

6. Choisissez vos formats de contenu et vos supports de communication


Le personal branding désigne à la fois la construction d’une identité forte et la diffusion efficiente de cette image sur le web. Il s’agit donc d’identifier les formats de contenu qui vous conviennent aussi bien que les supports grâce auxquels vous allez pouvoir communiquer avec votre audience.

Ici, il est fondamental de capitaliser sur vos forces, sur ce que vous savez (et aimez) faire. Vous n’avez aucune appétence pour la vidéo ? Préférez le texte, la photographie ou le podcast. Vous n’êtes pas doué(e) pour l’écriture ? Lancez-vous sur YouTube.

Bien sûr, ce sont seulement des exemples caricaturaux : vous pouvez savoir/aimer tout faire, mais privilégier un format plutôt qu’un autre, parce qu’il correspond plus aux attentes de votre public ou parce qu’il s’accorde mieux au message à faire passer.

Les supports de communication sont tout aussi important. Cela englobe plusieurs choses :

Les plateformes digitales que vous allez utiliser (site web, blog, réseaux sociaux…).

Votre identité visuelle à décliner partout (logo, couleurs, typographie…).

Vos outils marketing (publicités en ligne, cartes de visite, flyers, publications sponsorisées, référencement naturel…).

7. Racontez votre histoire (les bénéfices du storytelling)

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