Existe-t-il une méthode pour devenir millionnaire ? Découvrez nos conseils pour savoir comment devenir riche en actionnant des leviers réalistes.

Comment devenir riche ? Le guide pour faire fortune !

Comment devenir riche ? Cette question, tout le monde se l’est posée au moins une fois dans sa vie… et certains se la posent tous les jours, jusqu’à en faire un objectif personnel 🤑

Or, à moins de compter sur le hasard – gagner aux jeux d’argent ou aux paris sportifs, hériter d’un gros montant, etc. – il n’existe pas de recette miracle pour devenir fortuné du jour au lendemain.

En revanche, il est possible d’actionner des leviers concrets permettant de maximiser les chances de disposer, dans l’avenir, d’un gros patrimoine.

Autrement dit, devenir riche n’est pas qu’une ambition de conte de fées : il existe des moyens sérieux pour s’enrichir, des stratégies réalistes qui supposent toutefois de faire preuve d’un engagement véritable et d’une volonté inébranlable. 

Il faut aussi – et c’est très important – adopter le bon état d’esprit pour y parvenir.

Alors, comment devenir riche ? C’est ce que nous allons voir.

À la question « comment devenir riche ? », il n’existe pas qu’une seule réponse.

D’abord, il s’agit de définir la notion de « richesse » : est-ce disposer d’une somme à 7 chiffres sur son compte en banque ? Gagner confortablement sa vie ? Vivre une vie luxueuse au bord d’une piscine sous un soleil brûlant ? Ne plus jamais avoir besoin de travailler ? Il est vrai que la richesse s’incarne différemment pour chacun(e).

Dans cet article, nous partirons de l’idée que, devenir riche, c’est obtenir une somme d’argent suffisante pour vivre sans s’inquiéter de l’aspect financier du quotidien.

Ensuite, il faut comprendre une chose fondamentale : il ne s’agit pas seulement de savoir comment devenir riche… mais aussi d’apprendre à le rester !

Pensez à ces gagnants du Loto qui, après avoir remporté plusieurs millions d’euros, finissent par tout perdre et doivent retourner à leur vie d’avant.

Comportement de flambeur, placements trop risqués, entourage véreux… Les chanceux de la Française des Jeux se retrouvent pleins aux as d’un jour sur l’autre et tendent à perdre les pédales.

Or, gérer son argent, cela s’apprend !

En effet, il est presque aussi difficile de rester fortuné que de le devenir.

Comment devenir riche, c’est donc, aussi, une affaire de stabilité, de régularité… et de compétences.

Il faut parvenir à créer de la valeur en continu, à faire fructifier l’argent gagné, à prendre les rênes d’un patrimoine qui ne peut pas se gérer seul.

Il faut devenir compétent dans le domaine des finances, développer ses connaissances personnelles et professionnelles, progresser, apprendre chaque jour quelque chose de nouveau afin d’aller dans la bonne direction.

D’une certaine manière, devenir riche, ça se mérite. Cela suppose de faire preuve de discipline et de consentir à des sacrifices.

D’être suffisamment ouvert d’esprit pour intégrer les codes d’un univers nouveau – celui de l’abondance. Et de bien administrer son argent, une fois qu’on en dispose.

Cela veut dire, également, que la réponse à la question de savoir comment devenir riche ne peut pas se résumer à une recette miracle et instantanée.

Le modèle de réussite rapide – le fameux « overnight success » – qui fait les beaux jours de la littérature et du cinéma, doit être mis au rancart, remplacé par un processus plus long, fastidieux et complexe, mais aussi plus réaliste.

La richesse est un état que l’on atteint sur le temps long, par le biais d’efforts conscients… et en ayant une connaissance aiguë des mécanismes qui contribuent à générer de l’argent.

Comment devenir riche ? La dimension financière : épargne, modération et investissement

Se demander comment devenir riche, c’est, le plus souvent, tenir compte de la dimension spécifiquement financière de la question.

Cela en revient à s’interroger sur comment gagner de l’argent, ou comment faire en sorte de diversifier ses sources de revenus pour ne pas se reposer exclusivement sur un salaire.

Néanmoins, l’aspect financier ne se limite pas aux leviers permettant de générer de l’argent : il s’agit aussi, plus globalement, d’apprendre à bien gérer ses ressources, en commençant par dépenser moins.

Voici comment devenir riche… en devenant, d’abord, un bon gestionnaire financier !

Ne rien laisser au hasard (financièrement parlant)

C’est sans doute la leçon la plus importante à retenir, avant même d’entrer dans le concret et de découvrir comment devenir riche : en matière d’argent, il n’y a pas de hasard.

La prospérité ne s’obtient pas par accident, et certainement pas à la suite d’un héritage venu de nulle part (ce grand-oncle richissime dont vous n’aviez jamais entendu parler avant).

Quant aux jeux d’argent, voici un chiffre pour vous aider à relativiser : vous avez une chance sur 20 millions de gagner le jackpot au Loto.

En pratique, la probabilité est plus grande de mourir dans un accident d’avion, d’être touché par un astéroïde, d’être frappé par la foudre… ou de naître avec six doigts à une main.

Sur le plan financier, le hasard est une impasse dans laquelle beaucoup de gens choisissent volontairement de s’engager, sans comprendre qu’elle ne mène nulle part.

Concrètement, la seule manière de devenir riche avec des jeux d’argent, c’est d’être propriétaire d’un casino… et surtout pas parmi les joueurs !

Tout cela pour dire que la fortune n’est pas une affaire d’accident ou de coïncidence, mais une construction logique et pérenne.

Si vous voulez savoir comment devenir riche pour de vrai, c’est donc du côté de l’épargne et de l’investissement qu’il faut regarder… plutôt que du côté des jeux à gratter.

L’argent que vous épargnez chaque mois constitue un premier pas vers la richesse. Le meilleur conseil possible est aussi le plus simple : à chaque fois que vous touchez votre salaire, mettez de côté au moins 10 % de la somme, et idéalement 20 %.

Peu importe si, au final, ces 10 ou 20 % correspondent à 50, 100 ou 1 000 € : ce qui compte, ici, c’est de transformer ce geste en une habitude inébranlable, un réflexe que rien ne pourra remettre en cause.

Pas même l’envie de partir en vacances ou le désir d’acheter un article à la mode.

Si vous demandez à des personnes fortunées de vous expliquer comment devenir riche, elles ont toutes les chances de vous répondre « par l’épargne ».

Mais pas n’importe quelle épargne : celle-ci doit s’aligner sur des objectifs financiers précis que vous vous fixez à l’avance.

Les supports sont nombreux : compte épargne réglementé, plan d’épargne retraite, assurance-vie, plan d’épargne en actions… L’idée, c’est de commencer le plus tôt possible, de façon à tirer parti de l’effet exponentiel associé aux intérêts.

En effet, si 3 % de 1 000 € donnent 30 €, il ne faut pas oublier que 3 % de 100 000 € donnent 3 000 €… En somme, plus vous épargnez, et plus vous gagnez d’argent sur les intérêts, même si le taux est faible.

Un autre aspect essentiel à prendre en compte pour savoir comment devenir riche a trait à la gestion financière quotidienne.

Les hommes et les femmes qui parviennent à faire fortune ont en commun de gérer efficacement leur argent : cela s’applique à leurs investissements, bien entendu, mais aussi à leurs dépenses journalières.

Car un budget, ça se contrôle. Éviter de trop dépenser, et de jeter l’argent par les fenêtres, ça s’apprend.

Quelques exemples de bonnes pratiques pour mieux gérer vos dépenses (et vous mettre sur la voie pour devenir riche) :

Avant chaque achat, demandez-vous si vous avez réellement besoin de l’article concerné, ou si vous pouvez vous en passer. De la même façon, interrogez-vous toujours à propos de l’impact de cette transaction sur vos objectifs financiers.

Évitez à tout prix les achats impulsifs : vaut mieux laisser filer une bonne opportunité plutôt que de regretter par la suite, parce qu’elle n’aurait pas été suffisamment réfléchie.

Identifiez tous vos paiements automatisés (abonnements à des services de streaming, salle de sport, carte illimitée pour le cinéma…), et interrogez-vous sur leur utilité.

Adoptez la méthode du « cash stuffing » : celle-ci consiste à prévoir des enveloppes d’espèces en début de mois, avec un budget alloué à chaque poste de dépense (loyer, alimentation, santé, transport, loisirs…). Pourquoi ? Parce qu’il est plus facile de suivre ses dépenses lorsqu’elles sont payées en cash, tandis que la carte bancaire rend les paiements indolores.

Abstenez-vous de vous endetter (dans la mesure du possible). Car le levier numéro un pour gagner de l’argent, c’est… de ne pas en perdre ! Malheureusement, le moindre prêt s’accompagne d’intérêts qui finiront par revenir plus cher que le montant initialement emprunté. Dans la plupart des cas (hors achat d’une résidence principale), il est recommandé d’attendre de disposer des fonds pour un paiement comptant, plutôt que d’emprunter.

Gagner – et économiser – de l’argent, c’est une excellente chose. Mais cela ne nous dit pas comment devenir riche.

Car il y a un monde entre le salaire perçu chaque mois et le « seuil de richesse » que l’on peut envisager d’atteindre (au minimum, le montant nécessaire pour vivre confortablement sans devoir travailler) : un emploi stable n’a jamais rendu personne riche, sauf à être le patron d’un énorme groupe et toucher une rémunération à 7 chiffres.

Une position qui, vous le reconnaîtrez, ne s’obtient pas en claquant des doigts.

L’argent gagné et épargné, il faut donc le faire fructifier. L’utiliser pour faire des petits. En un mot : l’investir.

C’est là que réside la richesse – dans des placements rentables, qui aident à accroître son patrimoine (ce qui exclut les livrets réglementés, dont la rémunération est trop faible). Il y a différents moyens pour y parvenir :

Développer un portefeuille de cryptomonnaies.

Le principe de l’investissement est aussi élémentaire que brillant : il s’agit d’utiliser son argent pour générer des revenus supplémentaires, en le plaçant dans des supports rémunérateurs, puis en le laissant travailler de son côté.

Néanmoins, il peut s’avérer difficile de se lancer là-dedans lorsqu’on n’y connaît rien.

Cela s’apprend, bien entendu ; mais, dans l’intervalle, vous avez tout intérêt à travailler avec des professionnels de la gestion de patrimoine, qui sauront identifier les placements adéquats et vous donner des conseils pertinents en tenant compte de vos objectifs patrimoniaux.

Ils ne vous diront pas comment devenir riche, mais vous assisteront dans la longue marche qui mène à la fortune personnelle.

Nous en parlions plus haut : un emploi stable offre une belle sécurité financière, mais ne permet pas d’atteindre l’opulence. Il s’agit donc de trouver une autre solution.

Et tous ceux qui savent comment devenir riche vous le diront : il faut diversifier ses revenus.

Ce qui en revient à tirer de l’argent non pas d’une source unique (l’emploi salarié ou l’entrepreneuriat), mais de plusieurs sources complémentaires ou indépendantes.

Par exemple :

Les loyers issus des biens immobiliers que vous mettez en location.

Les intérêts générés par vos placements sur les marchés.

Le fruit de la vente de vos parts dans les entreprises.

Les bénéfices issus d’une activité indépendante complémentaire à votre emploi salarié.

Les revenus passifs tirés d’activités automatisées : vente en ligne, affiliation, droits d’auteur…

C’est d’autant plus important qu’une unique source de revenus vous rend totalement dépendant(e) financièrement.

Ainsi, en tant que salarié(e), vous pouvez vous retrouver au chômage à tout moment, avec des conséquences sur votre situation financière.

Alors qu’avec 3 ou 4 sources différentes de revenus, vous n’aurez pas à vous inquiéter dans l’immédiat… et pourrez continuer à vivre normalement, tout en poursuivant votre effort d’épargne.

Comment devenir riche ? La dimension professionnelle : créer un business et apprendre en continu

Si vous avez déjà lu un article de conseils ou regardé une vidéo sur « comment devenir riche », il ne vous aura pas échappé que l’aspect purement financier n’est qu’une partie du problème.

Dans les faits, même une épargne précoce et d’excellents placements vous permettront difficilement d’atteindre des objectifs de richesse, sauf à pouvoir mettre beaucoup d’argent de côté et à parier sur le nouveau Bitcoin (mais la probabilité pour que cela arrive reste faible).

L’idée, c’est donc d’apprendre comment générer des revenus avec votre travail, et pour cela, de vous lancer dans l’aventure entrepreneuriale.

C’est l’objet de cette seconde partie de nos recommandations pour savoir comment devenir riche.

Les personnes devenues riches « à partir de rien » sont généralement des entrepreneurs.

C’est vrai pour Bill Gates, Steve Jobs, Richard Branson, Elon Musk ou George Soros, mais aussi (dans un autre genre) J.K. Rowling ou Oprah Winfrey. Ces différentes personnalités ont en commun d’avoir tout investi dans leur activité et travaillé dur pour atteindre le sommet.

On dit souvent qu’être son propre patron permet de mieux gagner sa vie, et même de s’enrichir. C’est vrai, et la courte liste citée au paragraphe ci-dessus tend à le démontrer.

Néanmoins, celui ou celle qui se demande comment devenir riche en créant son propre business doit tenir compte d’une chose : tous les entrepreneurs ne font pas fortune, mais tous ceux qui parviennent au rang de millionnaire le doivent à leur acharnement, à leur travail et à leur investissement personnel (en temps, en argent, en énergie).

Les grands patrons à succès n’arrivent jamais là par hasard, car leur réussite est toujours un accomplissement, le résultat d’une vie dédiée à leur activité.

Alors, comment devenir riche dans les affaires ? La première chose à faire, c’est de trouver une idée qui fonctionne, associée à un marché actif et à une demande pérenne.

Contrairement à une idée reçue, on ne vend pas de la glace aux esquimaux : à l’inverse, on doit chercher à répondre à un besoin prégnant qui est celui d’une partie de la population (les futurs clients).

La seconde, c’est de bien s’entourer : choisir les bons associés, construire un réseau professionnel cohérent, et surtout, se faire accompagner par des experts – des gens qui, parce qu’ils sont passés par là avant vous, savent précisément ce qu’il faut faire et ne pas faire.

Créer une entreprise, ce n’est jamais une garantie de réussite. Mais c’est pourtant une étape incontournable pour qui veut atteindre les sommets.

La connaissance est l’un des piliers de la réussite professionnelle et financière.

La liste des professions qui comptent le plus de millionnaires – ingénieurs, avocats, médecins, entrepreneurs, etc. – montre que le succès repose, en grande partie, sur les compétences et le savoir-faire.

Car c’est ce qui permet de créer de la valeur par le biais du travail. Ce faisant, il est préférable de se demander « comment développer ses compétences dans son domaine » plutôt que de s’interroger sur « comment devenir riche » à proprement parler.

Concrètement, il est important de gagner en compétences, d’accroître ses connaissances professionnelles, et de chercher à se former en continu.

Le but ? Atteindre ce niveau où l’on devient un(e) expert(e) dans son domaine, une voix qui compte dans son écosystème.

L’idéal étant, bien sûr, de se focaliser sur des compétences rémunératrices et, en parallèle, de se doter d’une éducation financière approfondie – afin, on l’a dit, d’apprendre à gérer son argent une fois qu’on l’a généré.

Écouter les experts (et se faire accompagner par ceux qui savent)

Enfin, dernier point déterminant, trop souvent ignoré par ceux et celles qui veulent savoir comment devenir riche : faire confiance aux experts.

Avoir suffisamment d’humilité pour reconnaître que l’on ne sait pas grand-chose lorsqu’on démarre, que d’autres en savent plus que nous, et accepter de suivre les conseils donnés par des personnes qui ont l’expérience, l’expertise, et assez de pédagogie pour guider les autres.

Ce point est intimement lié à un autre : la mentalité. Pour devenir riche, il faut avant tout se mettre en situation d’atteindre cet objectif.

Il s’agit, pour cela, d’avoir l’esprit ouvert afin de comprendre ce qu’ont fait les riches pour le devenir, et ainsi répéter leurs actions.

Gardez en tête que les personnes ayant réussi à faire fortune, au-delà de leurs compétences et des efforts réalisés, ont ce que l’on appelle une « intelligence financière » : un talent naturel pour faire de l’argent.

Et puisque c’est une discipline que l’on n’apprend pas à l’école, c’est bien auprès des experts qu’il faut s’informer.

À ce titre, il y a deux manières de procéder :

Suivre un enseignement « officiel » en prenant des cours et/ou en obtenant un diplôme. L’école ne vous apprend pas comment devenir riche, mais elle vous donne les outils pour développer vos compétences et construire votre carrière, par le biais d’enseignants qui connaissent leur sujet et disposent des moyens pour transmettre efficacement leur savoir.

Jouer les autodidactes et apprendre par vos propres moyens, notamment en consultant un maximum de contenus : podcasts dédiés à l’entrepreneuriat (comme LITTLE BIG THINGS), vidéos sur YouTube, ouvrages, sessions d’e-learning… Ce qui en revient à recueillir la parole (précieuse) des gens qui ont réussi, et qui choisissent de partager leur expérience, leurs succès et leurs échecs. Une simple recherche du type « comment devenir riche » sur les moteurs de recherche et/ou sur les marketplaces vous donnera accès à quantité de ressources sur le sujet.

Ajoutons un conseil qui va dans le même sens : entourez-vous de personnes talentueuses qui partagent votre vision des choses et qui sauront vous motiver et/ou créer une émulation positive.

Ce qu’Andrew Carnegie a nommé le « Master Mind », le fait d’être au contact de personnes qui ont réussi et qui, par leur seule présence, nous aident à élargir notre horizon.

Devenir riche : les caractéristiques communes aux millionnaires

Concluons cette longue réponse à la question « comment devenir riche ? » en nous tournant vers ceux et celles qui ont atteint leurs objectifs.

Quelles sont les caractéristiques communes aux personnalités ayant fait fortune ? Quels points communs retrouve-t-on systématiquement parmi eux ? On peut en citer plusieurs :

La patience. L’investissement est une stratégie à long terme : sauf à disposer d’une grosse somme d’argent et à pratiquer le scalping (terme de trading qui désigne le fait d’ouvrir puis de fermer une position dans un intervalle de temps très court), ce qui n’est pas donné à tout le monde, il faut nécessairement patienter de longues années pour pouvoir profiter d’un bon retour sur investissement.

La connaissance. Les gens qui réussissent sont ceux qui donnent à la connaissance plus de valeur encore qu’à l’argent.

La persévérance. Le chemin qui mène à la réussite financière est long et semé d’embûches. Comprendre comment devenir riche, c’est aussi se préparer à une course de fond exigeante dans laquelle tous les participants n’arrivent pas au bout.

Les sacrifices. La richesse découle de choix drastiques au quotidien : il est nécessaire d’arbitrer en permanence entre ce que l’on peut faire et ce que l’on ne devrait pas faire. C’est un processus complexe qui suppose de consentir à des sacrifices.

La capacité à saisir les opportunités. Ce n’est certes pas le point le plus important du lot, mais les personnes devenues riches sont aussi celles qui parviennent à identifier et à saisir les opportunités lorsqu’elles se présentent. Celles qui sont perpétuellement à l’affût d’un levier à actionner pour accélérer le processus qui les mène au sommet.

En somme, il y a tout un état d’esprit à adopter pour parvenir au succès financier.

Tous ceux qui se lancent ne franchiront pas la ligne d’arrivée, bien sûr ; mais une chose est certaine, c’est que tous ceux qui l’ont franchie, cette ligne, ont d’abord dû se lancer dans l’aventure.

Parfois, la question n’est donc pas de savoir comment devenir riche, mais de déterminer si l’on est prêt(e) à faire ce qu’il faut pour y parvenir…



Recevez mes derniers podcasts directement dans votre boîte mail.

Comment devenir riche ? Les clés pour construire sa fortune (avec des conseils réalistes)

Vous lancez votre entreprise ? Découvrez comment faire une bonne étude de marché et préparer avec soin le terrain pour votre produit/service.

Comment faire une bonne étude de marché ? Le guide !

Vous avez la fibre entrepreneuriale ? Vous souhaitez lancer un produit/service sur le marché ?

La réalisation d’une étude de marché constitue une étape clé pour tout projet de création ou de reprise d’une entreprise : c’est l’indispensable boussole qui vous indique la direction à suivre.

Mais sa complexité la rend trop souvent intimidante, et explique pourquoi nombre d’entrepreneur·es préfèrent s’en passer, ou y consacrer un minimum de temps et d’efforts – alors qu’en réalité, c’est avant tout une affaire de méthode et de structuration.

Dans cet article, vous allez découvrir comment faire une bonne étude de marché, à savoir : quels ingrédients incontournables doivent entrer dans sa composition afin de donner à votre business toutes les chances de réussite.

Réaliser une étude de marché, pourquoi est-ce incontournable ?

Créer une entreprise, c’est comme se lancer dans un pari sportif : une bonne intuition seule ne suffit pas, il faut savoir précisément ce que l’on fait, et pourquoi on le fait.

L’entrepreneur·e doit connaître son environnement et ses acteurs, compulser l’historique des produits/services équivalents, savoir à qui il va se mesurer, comprendre qui sont ses clients et ce qu’ils attendent d’un vendeur ou d’un prestataire.

Le porteur de projet ne doit surtout pas oublier qu’une nouvelle entreprise doit pouvoir s’implanter sur un secteur, s’épanouir, puis grandir afin de générer des profits et d’assurer sa rentabilité.

Pour cela, il est indispensable de maîtriser son marché – le point spécifique où se croisent l’offre et la demande – et d’en tirer les leçons qui s’imposent.

Avant de comprendre comment faire une bonne étude de marché, il faut ainsi en saisir toute l’importance.

Parmi les nombreuses étapes de la création d’une entreprise, cette étude est la toute première brique à mettre en place, parce qu’elle permet d’évaluer le potentiel d’un projet en tenant compte de toutes ses caractéristiques :

Consommateurs, clients et/ou utilisateurs.

L’objectif ? Vous aider à mieux connaître votre marché et vos prospects cibles. À tester en amont votre idée, afin d’en identifier les points forts et les points faibles. À cerner les forces en présence.

À réduire les risques d’échec en vous permettant de prendre les mesures adaptées. À favoriser l’implantation durable de votre entreprise, en anticipant les évolutions et les changements potentiels du marché.

Et à vous donner une vision sur le long terme de votre projet.

Autre point essentiel : une étude de marché vous aide à convaincre les établissements financiers et/ou les investisseurs de vous prêter des fonds.

Elle fonctionne comme une démonstration, par le menu, du potentiel de votre idée, et de sa capacité à générer des revenus dans des délais raisonnables.

D’une certaine manière, elle montre que vous avez raison de vous lancer, que votre intuition est la bonne, et que vos partenaires ont tout intérêt à vous suivre.

Concrètement, ce document peut donc faire toute la différence entre une entreprise qui réussit et une autre qui échoue.

C’est pourquoi il est fondamental d’utiliser la méthodologie pertinente, de choisir des échantillons parlants, et d’intégrer exclusivement les informations les plus fiables.

Étude de marché, business plan, business model : quelles différences ?

Étude de marché : analyse du marché sur lequel l’entreprise souhaite se lancer, à travers un grand nombre de critères « environnementaux ». On s’intéresse aux futurs clients, aux concurrents, ainsi qu’aux produits/services existants, afin d’évaluer la viabilité du projet.

Business plan : étude financière basée sur l’étude de marché. Ce document décrit la stratégie financière et commerciale du projet entrepreneurial.

Business model : méthodologie par laquelle l’entreprise entend générer des profits, elle-même intégrée au business plan.

Mais attention : même en sachant comment faire une bonne étude de marché, il est crucial de prendre en compte les limites de cet exercice.

De fait, il ne s’agit pas d’une tentative pour prévoir l’avenir ou anticiper l’ensemble des obstacles susceptibles de se trouver sur le chemin de la réussite.

L’étude de marché est une façon de débroussailler une route inconnue et de valider la faisabilité d’un projet.

Ce qui signifie qu’elle doit être suivie immédiatement par la mise en place d’un plan d’action adapté aux enjeux commerciaux, et par l’élaboration d’une stratégie opérationnelle cohérente.

Comment faire une bonne étude de marché ?

Passons à la question essentielle : comment faire une bonne étude de marché ? Autrement dit, quelle est la méthodologie pertinente à adopter pour parvenir à bien « lire » le marché avant de lancer son business ? 

La recette est toujours la même : il faut récolter un maximum d’informations (en fonction de votre projet de création ou de reprise d’entreprise), puis suivre une démarche ordonnée et structurée de façon à pouvoir analyser ces données avec pertinence.

Voici ce qu’il faut savoir, étape par étape.

La première étape pour savoir comment faire une bonne étude de marché consiste à prendre du recul : il faut avant tout pouvoir définir le marché en question, en faire une photographie générale qui nous permettra de mieux le comprendre, de suivre ses évolutions, et d’identifier ses tendances.

Cela suppose de répondre à quatre questions fondamentales, afin de développer une connaissance aiguë du marché ciblé :

Sur quel marché souhaitez-vous vous positionner ? Cela concerne aussi bien le secteur d’activité que son étendue géographique, ou que la nature des clients/utilisateurs que vous ciblez.

Quel est l’état de santé du marché et comment évolue-t-il dans le temps ? (Marché naissant ou mature ; en augmentation, en déclin ou en stagnation ; volumes des ventes et chiffres d’affaires réalisés, etc.).

Qui sont vos concurrents directs (entreprises, institutions…) et indirects (produits/services susceptibles de remplacer les vôtres) ?

Quels sont les grands acteurs du marché ? Cela englobe les clients et/ou les utilisateurs, mais aussi les concurrents, les prescripteurs, les fournisseurs, etc.

L’idée, vous l’aurez compris, est de délimiter efficacement votre marché, de tracer ses contours et d’en mieux comprendre l’historique et les évolutions – donc, aussi, les perspectives futures.

Vous devez devenir un(e) expert(e) de votre environnement commercial et des acteurs qui s’y déploient.

2. Analyser l’état de la demande sur ce marché

L’existence même d’un marché est intimement liée à l’équilibre délicat qui existe entre l’offre et la demande.

Comment faire une bonne étude de marché, c’est donc, également, évaluer cet équilibre – en commençant par se focaliser sur la demande.

Une approche qui consiste à vous intéresser de près à vos futurs clients, c’est-à-dire aux acheteurs et aux consommateurs qui sont amenés à verser de l’argent pour obtenir vos produits ou profiter de vos services.

Quelle est votre audience cible ? (Entreprises ou particuliers, institutions ou acteurs privés, etc.)

Quels sont les besoins de votre audience ?

Quel est le profil de votre client type ? (Localisation géographique, catégorie socioprofessionnelle, tranche d’âge, revenus, centres d’intérêt…)

Quel est le comportement d’achat de votre client type ? (Produits/services recherchés, fréquence d’achat, objectifs de l’achat, canaux d’information et d’acquisition privilégiés…)

Quel est le contexte de son parcours d’achat ? (Ses motivations, ses freins, les obstacles rencontrés… tout ce qui vous permet de trouver des solutions pour fluidifier le parcours et simplifier la vie de votre client.)

Quel est son niveau de satisfaction au regard de l’offre actuelle ?

Quels paramètres peuvent influer sur l’achat ou sur l’utilisation du produit/service ?

Avec les informations obtenues, il s’agit ensuite de segmenter la demande. Autrement dit, de créer des catégories spécifiques pour chaque profil de client à cibler.

Par exemple, en B2C : par zone géographique, par tranche d’âge, par niveaux d’études… Et en B2B : par secteur d’activité, par effectif, par implantation, par volume de chiffre d’affaires…

3. Analyser l’état de l’offre sur ce marché

Après la demande, il faut regarder du côté de l’offre et de son évolution globale.

Par « offre, on entend : les produits/services équivalents à ceux que vous souhaitez lancer sur le marché, c’est-à-dire qui répondent aux mêmes besoins et attentes, ainsi que les acteurs qui les commercialisent.

À ce stade, vous devez considérer deux grands facteurs :

Les caractéristiques de l’offre : produits/services proposés par la concurrence, prix pratiqués sur le marché, résultats financiers, clientèle ciblée, etc.

Ø  Sur quel(s) secteur(s) géographique(s) évoluent-ils ?

Ø  Quel est leur positionnement ? (Notamment en ce qui concerne la gamme de leurs produits/services.)

Ø  Quelles sont leurs parts de marché ? Quel est leur chiffre d’affaires ? Quel taux de croissance enregistrent-ils sur les dernières années ?

Ø  Quelles sont leurs stratégies de vente ? Leurs modes de communication ? Leurs avantages concurrentiels ? Leurs leviers de différenciation ?

Ø  Quel est le niveau de satisfaction des clients/utilisateurs ?

Une connaissance aiguë de la concurrence et de son rôle vous permettra de savoir à qui vous vous confrontez, mais aussi de déterminer quels pans du marché proposent des opportunités.

Par exemple : aucun concurrent positionné sur le haut de gamme dans cette catégorie de produit, ou bien une zone géographique laissée de côté.

Cela peut vous aider à trouver un créneau – une niche de marché – et à augmenter vos chances de réussite.

4. Analyser l’environnement autour du projet

La quatrième et dernière étape pour savoir comment faire une bonne étude de marché en revient à identifier l’environnement autour de votre projet entrepreneurial.

Concrètement, il s’agit de mieux comprendre dans quel écosystème vous vous lancez, et de déterminer s’il existe des opportunités de développement à court, moyen et long terme.

Voici les questions à vous poser à ce stade de l’analyse :

Quelles sont les contraintes du marché, ses menaces ? (Elles peuvent être d’ordre économique, financier, politico-juridique, technologique, légal, social, climatique…)

Quelles sont les opportunités à saisir ?

Quelles sont les compétences à détenir ou à acquérir pour percer sur ce marché ?

Quelles sont les innovations technologiques possibles ?

Quel est le cadre réglementaire et législatif ? (Les diplômes à posséder, les autorisations à obtenir, les normes à respecter, etc.)

Comment se dessine l’environnement économique, social et politique ?

Quels sont les enjeux environnementaux sur ce marché ?

En particulier, l’analyse stratégique des facteurs externes passe par un processus que l’on appelle « modèle PESTEL » : un outil qui permet d’identifier et d’évaluer les composantes de l’environnement de marché susceptibles d’avoir un impact sur l’activité et sur le développement futur.

Ces composantes sont :

La Politique (les décisions gouvernementales, la stabilité/l’instabilité politique…).

L’Économie (les facteurs qui influent sur le pouvoir d’achat et sur le comportement des consommateurs, comme le revenu disponible, les taux d’intérêt ou le taux de chômage).

Le Social (les caractéristiques sociales : démographie, niveau d’éducation, répartition des revenus, mobilité sociale…).

La Technologie (les innovations qui pourraient perturber le marché, le niveau des dépenses publiques pour la recherche et le développement, les découvertes récentes ou à venir…).

L’Environnement (les facteurs environnementaux et écologiques, les enjeux de développement durable.)

La Législation (les lois qui encadrent l’activité, le rôle des pouvoirs publics ou des organisations professionnelles, etc.).

Enfin, vous devez vous interroger sur la viabilité de votre projet sur ce marché spécifique.

Ce projet a-t-il vraiment sa place ? Quelle valeur ajoutée allez-vous apporter à vos clients/utilisateurs, par rapport à la concurrence ? Vos produits/services couvrent-ils les besoins de votre audience cible ?

Pour conclure : tirez les enseignements de votre étude de marché

Savoir comment faire une bonne étude de marché ne suffit pas : il est nécessaire d’apprendre à en tirer les enseignements pertinents.

À partir des données collectées, classées et analysées, vous devrez rédiger un business plan cohérent, puis mettre au point une stratégie marketing adaptée à vos problématiques.

Autrement dit, après l’étude de marché théorique vient le moment de produire des éléments pratiques pour mettre votre entreprise sur les rails. Voici ce que vous devez faire :

Fixer une hypothèse de chiffre d’affaires (sur trois niveaux : hypothèse basse, moyenne et forte) afin d’alimenter un prévisionnel financier.

Définir une stratégie à mettre en place pour atteindre ces hypothèses de chiffre d’affaires : le fil conducteur à suivre tout au long de votre développement.

Déterminer un mix-marketing cohérent (une composition précise et pertinente de l’offre à proposer sur le marché : caractéristiques du produit/service, prix, communication et distribution).

Établir un budget prévisionnel concret, en chiffrant le coût des actions à mettre en œuvre (coûts de fabrication ou de production, de commercialisation, de communication…).

Vous savez désormais comment faire une bonne étude de marché.

C’est une étape de votre projet entrepreneurial à ne surtout pas prendre à la légère : octroyez-vous le temps nécessaire à la réalisation d’une étude circonstanciée, complète et riche en informations pertinentes, afin d’offrir toutes les chances à votre entreprise de se placer sur la route du succès.



Comment réaliser une bonne étude de marché ? Tous nos conseils !

Vous vous demandez quelle banque professionnelle choisir pour votre entreprise ? Découvrez le Top 20 des meilleures banques professionnelles.

TOP 20 des meilleures banques professionnelles !

Vous êtes entrepreneur indépendant ? Président ou dirigeant d’une société ?

En toute logique, vous devez en passer par la case « ouverture d’un compte bancaire professionnel ».

Ce compte servira à gérer les finances de votre structure et à séparer les opérations réalisées dans le cadre de votre activité de celles que vous effectuez dans votre vie personnelle.

D’ailleurs, cette étape constitue une obligation pour la plupart des statuts juridiques.

Dans cette optique, il faut donc vous adresser à une banque professionnelle.

Ou, plus exactement : une banque généraliste qui propose des services dédiés aux entreprises, aux sociétés, aux commerçants, aux artisans et/ou aux indépendants. 

Mais compte tenu de la variété des enseignes et des offres, comment choisir votre interlocuteur ? Pour vous aider, nous avons mis sur pied un Top 20 des meilleures banques professionnelles actuellement sur le marché.

Qu’est-ce qu’une banque professionnelle ?

Une banque professionnelle peut désigner à la fois un compte utilisé par un professionnel dans le cadre de son activité et un établissement qui propose des comptes spécifiquement conçus pour les entreprises.

Dans le premier cas, il peut s’agir d’un simple compte courant réservé exclusivement aux transactions professionnelles.

Dans le second cas, l’expression se réfère au caractère professionnel d’un compte qui le distingue d’un compte courant traditionnel (parce qu’adapté aux entreprises).

Notez que le compte bancaire professionnel sert de support à l’enregistrement des opérations réalisées dans le cadre de l’activité de l’entreprise.

Il permet d’enregistrer les règlements de factures fournisseurs, les encaissements de factures clients, les paiements d’impôts et de charges sociales, les versements de rémunérations aux dirigeants, et toutes les autres opérations professionnelles (comme l’octroi et le remboursement de prêts, par exemple).

Dans les deux cas, le principe est le même : il s’agit, pour un professionnel, d’ouvrir un compte dédié à son activité et de bénéficier de services et/ou de fonctionnalités réservés aux entreprises, comme l’accès à un logiciel de comptabilité, la possibilité de louer un terminal de paiement, un découvert plus important, ou l’automatisation des déclarations fiscales ou sociales.

Très souvent, il est également possible d’y déposer le capital social – étape indispensable au démarrage de l’activité d’une société commerciale.

Quels services sont proposés par les banques professionnelles ?

En pratique, quels services propose une banque professionnelle ?

On retrouve dans cette liste, évidemment, la plupart des services dont bénéficient déjà les particuliers lorsqu’ils s’adressent à un établissement bancaire : ouverture d’un compte, édition d’une carte de paiement, dépôt d’espèces et de chèques, réalisation de virements, édition de cartes virtuelles pour des achats en ligne, etc.

Néanmoins, un compte ouvert au sein d’une banque professionnelle (ou un compte professionnel) se distingue par ses fonctionnalités adaptées aux besoins des entreprises, en fonction de l’activité exercée. Parmi les plus courantes :

Le dépôt du capital social en numéraire.

Un découvert plus généreux, afin de gérer plus efficacement les périodes sans rentrées d’argent.

Le placement des excédents de trésorerie.

La possibilité d’éditer des cartes adaptées aux différents besoins : physiques, virtuelles, éphémères, pour faire des virements instantanés, etc.

L’accès à des outils professionnels pour la facturation ou la comptabilité (un gage de sécurité au regard des nombreuses normes légales à respecter).

La souscription d’assurances professionnelles adaptées à l’activité et aux obligations du dirigeant.

La possibilité de louer un terminal électronique pour encaisser les paiements par carte bancaire.

L’accès à des solutions de financement (prêts bancaires professionnels).

Notez que cette liste n’est pas exhaustive : les services proposés sont susceptibles de varier d’une banque professionnelle à l’autre.

Il est donc indispensable de bien vous renseigner en amont afin de sélectionner l’interlocuteur capable de couvrir l’ensemble de vos besoins financiers et bancaires.

Pourquoi recourir à une banque professionnelle ?

Nous disions plus haut qu’il est possible d’ouvrir un compte professionnel au sein de n’importe quel établissement bancaire qui le propose.

Néanmoins, il est recommandé de s’adresser à une banque professionnelle, c’est-à-dire de travailler avec un organisme qui propose des services dédiés aux entreprises. Parce que cette collaboration apporte au moins trois avantages majeurs :

Une simplification de la gestion financière et de la comptabilité. Avec, à la clé, une transparence et une efficacité accrue pour l’enregistrement des flux financiers.

Un accompagnement personnalisé, prodigué par un conseiller spécialisé dans la prise en charge des besoins professionnels. Cet accompagnement ne se limite pas à un suivi des flux au quotidien et à la validation des demandes de paiement : le conseiller vous vient en aide dans les phases de croissance ou d’incertitude, et lorsqu’il s’agit de prendre des décisions importantes pour votre entreprise ou d’obtenir un soutien stratégique.

L’accès à des outils réservés aux professionnels qui embarquent des fonctionnalités avancées, comme le suivi de la facturation, le calcul des cotisations sociales, l’édition des devis et des factures, la gestion des notes de frais, etc.

Quelles sont les meilleures banques professionnelles ? Le Top 20 !

Alors, quelle banque professionnelle choisir ? Pour vous aider dans votre processus de sélection, nous avons mis au point un Top 20 des meilleures banques professionnelles sur le marché français.

Le leader européen des services bancaires et financiers (fort d’une présence dans plus d’une soixantaine de pays) se distingue par un modèle diversifié et intégré, dont l’un des trois pôles opérationnels se concentre sur les besoins des entreprises (Corporate & Institutional Banking).

Au sommet de ce classement des meilleures banques professionnelles, BNP Paribas propose une large gamme de services adaptés aux différentes structures, à l’image de son offre BNP Pro pour la gestion quotidienne des comptes et la mise en place de solutions d’encaissement.

L’établissement propose également des options de financement pertinentes et un accompagnement personnalisé, ainsi que de puissants outils de gestion en ligne.

En contrepartie, les tarifs de cette banque professionnelle peuvent paraître élevés, surtout aux yeux des PME et des indépendants.

Banque en ligne du groupe Boursorama, BoursoBank est un établissement destiné aux indépendants (professions libérales, commerçants, artisans et freelances) en entreprise individuelle ou en société unipersonnelle, dont le représentant légal est titulaire d’un compte personnel.

Avec Bourso Business, BoursoBank a lancé la première offre bancaire gratuite pour les clients professionnels et 100 % mobile.

Celle-ci comprend les virements/prélèvements illimités, les virements instantanés jusqu’à 5 000 € par jour, les virements internationaux dans 32 devises, une carte Visa business premium, et la possibilité d’ouvrir jusqu’à 3 comptes distincts afin de séparer les postes de dépenses.

Par ailleurs, BoursoBank a été désignée comme la moins chère parmi les meilleures banques professionnelles du marché.

Enseigne internationale présente dans près de 70 pays, HSBC met en avant une gamme complète de prestations bancaires dédiées aux professionnels, avec un focus sur les TPE/PME et les grands groupes.

La banque professionnelle HSBC propose ainsi différents types de comptes adaptés aux besoins des entités (notamment un compte courant Kinetic pour les indépendants et les PME, et un compte corporatif pour les grandes entreprises), des services de tenue de compte et de banque à distance, et des solutions de financement, de trésorerie et de factoring.

En outre, les clients bénéficient d’un conseiller dédié et d’un audit complet.

La solidité du groupe et sa présence mondiale sont à la fois un gage de sécurité et un levier pour faciliter les transactions internationales, au profit des entreprises qui souhaitent se projeter vers l’étranger.

Mais elles revêtent aussi un inconvénient : compte tenu de sa notoriété, HSBC applique des tarifs et des frais bancaires élevés. Il faut aussi noter l’absence d’offre spécifique pour les micro-entrepreneurs.

Plus qu’une banque professionnelle, Anytime est une plateforme de services financiers innovante conçue spécifiquement pour les petites entreprises, les indépendants et les commerçants.

Elle se donne pour mission de simplifier la gestion financière quotidienne de ses clients, à travers une batterie de services efficients : compte bancaire dédié, fonctionnalités de gestion en ligne et mobile (via l’application), outils de gestion et de suivi des flux financiers, solutions de paiement (transactions en ligne, dépôts de chèques, terminaux électroniques).

À cela, il faut ajouter un service client réactif, parmi les plus efficaces dans ce classement des meilleures banques professionnelles.

Pour autant, il faut garder en tête qu’Anytime n’est pas un établissement bancaire à proprement parler. Par conséquent, l’enseigne n’offre pas toutes les fonctionnalités d'une banque traditionnelle ou d’une néobanque, à l’image des prêts ou des services de conseil.

C’est pourquoi elle s’adresse en priorité aux clients qui n’ont pas de gros besoins – comme les PME/TPE et les indépendants.

Banque professionnelle en ligne innovante, Manager.one propose des services simplifiés et modernes conçus pour faciliter le quotidien des PME, des ETI et des grandes entreprises.

Au programme : compte bancaire professionnel, carte gratuite (sans plafonds), dépôt du capital en ligne, outils de gestion en temps réel (pour payer les salariés ou exporter des données vers des logiciels comptables) et gestion collaborative.

Des services qui ont en commun de faciliter le quotidien des entrepreneurs et de leur faire gagner en flexibilité – d’autant que toutes les démarches se font en ligne, en quelques clics.

Manager.one se distingue par ses efforts de transparence : les clients bénéficient d’un forfait mensuel unique à 29,99 € qui intègre tous les services, garanti sans frais cachés. Cette offre est sans engagement, ce qui permet de la tester sans contrainte.

Même si l’enseigne ne propose pas de prêts ou de services financiers, elle fait donc partie des meilleures banques professionnelles et constitue une excellente solution pour les PME qui cherchent des prestations à prix réduit.

Enseigne bien connue des particuliers, Le Crédit Agricole propose également des services bancaires à destination des professionnels.

Ceux-ci incluent des comptes adaptés, des solutions de paiement et d’encaissement, des options de financement et des services de conseil.

Chaque taille d’entreprise bénéficie d’une offre dédiée, comme EKO Pro pour les entrepreneurs individuels (y compris au régime micro), avec des tarifs qui varient en fonction du type de structure et de la localisation géographique.

En tant que banque professionnelle, Le Crédit Agricole a développé une gamme de services complémentaires – assurances, produits d’épargne et prêts – et s’appuie sur son fort maillage territorial (5 000 agences) pour offrir un accompagnement de proximité.

L’enseigne a également renforcé ses services numériques en créant un compte 100 % en ligne, Propulse by CA.

La célèbre banque mutualiste, réputée pour son modèle économique (ses clients sont également des sociétaires), a étendu son offre aux professionnels.

Ainsi, le compte professionnel Eurocompte Pro s’adresse à toutes les entreprises et aux indépendants, quel que soit leur statut ou leur secteur d’activité – commerçants, artisans ou libéraux.

L’offre intègre un compte courant, une carte bancaire, un chéquier, des virements SEPA, un terminal de paiement et un accès à la banque à distance.

En complément, Le Crédit Mutuel propose des assurances professionnelles, des solutions de trésorerie et des outils de gestion.

Gage de sécurité, le modèle de cette banque professionnelle garantit une certaine stabilité financière et l’implication forte des agences au sein des communautés locales.

À ce titre, les associations sont aussi les bienvenues : elles profitent ainsi du réseau territorial renforcé du Crédit Mutuel.

Parmi les meilleures banques professionnelles du marché, AXA Banque a la particularité de s’adresser spécifiquement aux micro-entrepreneurs.

Ceux-ci ont en effet l’obligation d’ouvrir un compte dédié aux revenus de leur activité (au-dessus d’un chiffre d’affaires de 10 000 € réalisé deux années d’affilée) afin de séparer les dépenses professionnelles des dépenses personnelles – ce qui, au passage, facilite leur gestion financière quotidienne. 

Dans son offre, AXA inclut une carte bancaire, un chéquier et des virements SEPA illimités. De plus, le compte est gratuit (sous un seuil de flux financiers) et génère des frais réduits.

La force de cette banque professionnelle réside dans sa capacité à mêler services pertinents et tarifs avantageux pour les petits entrepreneurs.

En contrepartie, ce modèle présente des limites : une offre inadaptée aux entreprises de plus grande taille, et des services moins étendus que ceux proposés par les établissements traditionnels.

Le compte professionnel de la Société Générale s’adresse à toutes les entreprises, y compris les associations.

L’offre comprend une large gamme de cartes bancaires Visa Business, un terminal de paiement, des outils digitaux de facturation et de suivi des comptes, des solutions financières (épargne, financement et assurances) et un conseiller qui prodigue un accompagnement dédié. 

Par ailleurs, son implantation locale importante lui permet d’offrir une assistance de proximité.

La contrepartie ? Des frais importants pour certains services (tenue de compte et commissions de mouvement) et des offres parfois complexes, qui rendent la comparaison des coûts difficile.

En somme, en tant que banque professionnelle, la Société Générale est plutôt réservée à des entreprises qui souhaitent bénéficier de services solides et s’adosser à une structure robuste – notamment pour une question de confiance.

Armée de ses valeurs fortes (solidarité, environnement, inclusion, responsabilité…), La Banque Postale s’engage aux côtés des professionnels et des entrepreneurs en réaffirmant sa volonté d’œuvrer en faveur d’une transition juste vers une économie plus respectueuse – des autres, de la planète et des conditions de travail.

Elle propose plusieurs formules de comptes professionnels avec des tarifs variables, qui incluent des cartes bancaires, des chéquiers et des virements SEPA illimités, mais aussi l’accès à l’application Business sécurisée.

En supplément, les options de financement de La Banque Postale permettent aux entrepreneurs de développer leur activité et de financer leurs projets d’innovation sans jamais renoncer à leurs convictions profondes.

Comme les meilleures banques professionnelles, elle propose encore des assurances et une gestion optimisée de la trésorerie.

Mais elle compte également sur son vaste réseau d’agences et de bureaux de poste pour garantir une accessibilité optimale et un accompagnement de proximité.

La banque en ligne adossée au groupe BNP Paribas focalise ses efforts sur les indépendants (entrepreneurs individuels et micro-entrepreneurs).

Pour eux, elle a mis sur pied une offre dédiée, Hello bank ! Pro, pensée pour simplifier le quotidien des professionnels et rendre leur gestion financière quotidienne moins stressante, notamment via une application mobile intuitive.

Le tout pour un tarif attractif (11,5 € TTC par mois), ce qui en fait l’une des banques professionnelles les plus compétitives du marché.

Néobanque française dédiée aux indépendants et aux petites entreprises, Shine s’est progressivement imposée en raison de son approche innovante qui combine compte professionnel en ligne et outils de gestion administrative – ceux-ci intègrent la facturation, l’édition de devis et le calcul automatique des cotisations.

Parmi les services complémentaires proposés par cette banque professionnelle : une assurance contre les mauvais payeurs qui couvre jusqu’à 90 % du montant de la créance.

Mais attention aux frais bancaires sur les opérations courantes !

En tant que banque professionnelle, N26 s’adresse spécifiquement aux micro-entrepreneurs.

Ceux-ci peuvent bénéficier de l’une des trois offres adaptées à leurs besoins : N26 Business (gratuite) qui comprend un compte, la gestion des encaissements et une carte de débit au nom de la personne physique. N26 Business Smart qui propose des fonctionnalités supplémentaires (à partir de 4,90 € par mois).

Et N26 Business Métal qui intègre une carte premium avec un cashback de 0,5 % sur les achats. L’absence d’engagement permet aux entrepreneurs de tester les services en toute liberté.

La néobanque française Qonto se spécialise dans les comptes en ligne pour les professionnels et propose des solutions innovantes, adaptées aux besoins des entreprises (PME/TPE), des entrepreneurs indépendants et des associations.

Plusieurs formules sont mises en avant : Basic pour les freelances, Essential pour les TPE et Smart pour les créateurs d’entreprise.

L’avantage de cette banque professionnelle ? L’ouverture et la gestion des comptes s’effectuent intégralement en ligne, par le biais d’une application mobile.

Les petites entreprises et les indépendants sont également la cible privilégiée de Finom (qui accepte aussi les sociétés), une néobanque européenne créée en 2019.

Toutes les démarches se font en ligne – y compris l’ouverture du compte en quelques minutes – et l’enseigne propose des services associés avec plafonds ajustables, outils de facturation et fonctionnalités dédiées à la gestion des flux financiers.

Parmi les meilleures banques professionnelles en activité sur Internet, Finom ambitionne de renforcer l’autonomie des entrepreneurs via des prestations simples et pratiques.

Encore une néobanque professionnelle, cette fois associée au groupe Crédit Agricole et spécialisée dans les entreprises de petite taille (PME/TPE et indépendants).

Parmi les services dont les professionnels peuvent bénéficier en plus des prestations traditionnelles : les déclarations Urssaf automatisées, la comptabilité simplifiée, la création de devis et de factures en un clic, le dépôt de capital en ligne, et des assurances adaptées.

Le tout pour des tarifs particulièrement attractifs, ce qui fait de Blank l’une des meilleures néobanques professionnelles.

La néobanque Indy propose aux indépendants un compte professionnel 100 % gratuit et digitalisé. La plateforme est intuitive, les conseillers sont disponibles, les offres transparentes, et les services conformes aux normes fiscales.

Les entrepreneurs peuvent gérer leurs finances, faire leur comptabilité, générer des factures et des devis, et effectuer leurs déclarations depuis une même application.

Bref, plus qu’une banque professionnelle, Indy est un compagnon de route indispensable pour les indépendants.

Revolut est une banque professionnelle mobile conçue pour les PME et les indépendants qui effectuent des opérations à l’international.

L’application permet de régler des achats et de recevoir des paiements partout dans le monde, sans frais ni commission de mouvement.

Elle offre aussi la possibilité d’ouvrir des comptes dans plus de 30 devises différentes et donne accès à des outils de gestion des flux financiers et de facturation.

Avec une activité locale et moins de 5 employés, le service est même gratuit.

La banque Wallester Business fournit aux professionnels une large variété de solutions de paiement (cartes physiques ou virtuelles, cartes de paie pour les collaborateurs) ainsi que des outils divers (pour la gestion des dépenses, l’analyse et le reporting).

De plus, une API permet d’intégrer cette banque professionnelle à votre logiciel comptable… et le tout est gratuit pour les indépendants.

Sans doute la moins connue dans cette liste des meilleures banques professionnelles, Wallester mérite le coup d’œil.

Terminons avec une banque professionnelle plus classique qui met l’accent sur un compte en ligne 100 % dédié aux entreprises.

Celles-ci bénéficient d’une large gamme de services : prélèvements automatiques et manuels, solutions de financement, garantie bancaire, moyens de paiement, placements, dépôt de capital et accompagnement par un conseiller dédié.

L’avantage ? L’offre est adossée à une institution bancaire solide qui dispose d’une licence. En outre, elle s’adresse à tous les types d’entreprises : TPE, PME, artisans, commerçants et professionnels libéraux.

Avoir un compte en banque professionnel, est-ce obligatoire ?

Faut-il absolument ouvrir un compte auprès d’une banque professionnelle ? La réponse n’est pas aussi évidente qu’on pourrait le croire, car cette obligation ne concerne pas tous les entrepreneurs.

Il faut distinguer deux situations :

Les sociétés à capital social (comme la SARL, la SAS, la SA, l’EURL, la SASU) ont l’obligation légale d’ouvrir un compte bancaire professionnel pour y déposer le capital et pour séparer leurs activités financières.

Les entrepreneurs individuels et les micro-entrepreneurs peuvent utiliser leur compte personnel pour héberger les revenus issus de leur activité. Néanmoins, lorsque leur chiffre d’affaires excède 10 000 € pendant deux années consécutives, ils ont l’obligation d’avoir un compte dédié à l’activité.

Toutefois, il est recommandé aux indépendants de disposer d’un compte réservé aux revenus professionnels, quel que soit le montant de leurs revenus.

Cela permet de faire la différence entre les transactions professionnelles et personnelles, et donc de réduire le risque d’erreur lors des déclarations à l’Urssaf et aux impôts.

Combien coûte une banque professionnelle ?

Le coût d’une banque professionnelle dépend des services proposés et de sa notoriété. À titre d’exemple, les offres pro démarrent à partir de 6 € au Crédit Agricole, de 21 € chez BNP Paribas, et montent jusqu’à 40 € à la Société Générale.

Les prix sont donc très différents d’un établissement à l’autre, y compris au sein de cette liste des meilleures banques professionnelles.

Conséquemment, il est important de bien comparer les offres bancaires et, surtout, de se focaliser sur les services qui répondent réellement aux besoins de l’entreprise.

Par ailleurs, le coût du compte professionnel ne fait pas tout : il faut aussi prêter attention aux frais appliqués dans diverses situations, ceux-ci pouvant faire grimper la facture au-delà du raisonnable.

Par exemple : les frais d’ouverture et de tenue de compte, le coût de l’abonnement mensuel à une application ou à un terminal de paiement, le prix de la carte de paiement physique, les tarifs des virements, etc.

Comment choisir la meilleure banque professionnelle ?

Pour choisir efficacement la banque professionnelle adaptée à votre activité, voici une liste des critères à considérer en priorité :

L’étendue des services proposés, en faisant la distinction entre les services essentiels (ouverture d’un compte professionnel, édition d’une carte physique, mise à disposition d’outils de facturation et de gestion, possibilité de déposer le capital…) et les services complémentaires (produits d’épargne et de placement, prêts professionnels, etc.).

Les besoins de votre entreprise, par exemple si vous souhaitez avoir accès à des solutions d’épargne ou à des moyens de financement, à des garanties, à des services de paiement vers l’étranger, etc. Pensez aussi à évaluer vos besoins en matière de volume, selon le nombre d’opérations que vous effectuez chaque mois (virements réalisés, chèques encaissés, etc.).

Les moyens de règlement et d’encaissement mis à votre disposition.

Le type de banque, selon qu’il s’agit d’un établissement traditionnel ou en ligne (adossé à une grande enseigne) ou d’une néobanque (100 % digitale). Vous pouvez, par exemple, préférer avoir accès à des agences physiques et bénéficier d’une relation personnalisée avec votre conseiller. Ou vous pouvez considérer que c’est secondaire !

Le statut juridique de votre entreprise : certaines des meilleures banques professionnelles sont spécialisées dans les TPE/PME et d’autres dans les indépendants, tandis que d’autres encore s’adressent à toutes les structures (y compris les associations).

Prenez le temps de bien comparer les établissements et les offres avant de sélectionner la banque professionnelle qui vous accompagnera dans votre aventure entrepreneuriale !



Une bonne présence en ligne vous permet non seulement d'augmenter votre trafic organique, mais également de gagner en autorité dans votre marché.

Comment gagner en visibilité sur Google ?

Vous qui venez de créer votre site, vous aspirez désormais à améliorer votre visibilité sur le web à l'aide d'une agence SEO, plus particulièrement sur Google.

Et vous avez bien raison 😊

Une bonne présence en ligne vous permet non seulement d'augmenter votre trafic organique, mais également de gagner en autorité dans votre domaine d'activité.

Aujourd'hui, on vous parle des avantages d'une bonne stratégie SEO, et on vous explique comment gagner en visibilité sur Google en 2025 !

Si vous lisez ces lignes, vous avez déjà une idée de l'intérêt d'un bon SEO.

Mais savez-vous vraiment tout ce qu'une stratégie bien pensée peut faire pour vous ?

D'abord, en travaillant votre SEO avec les bons leviers, vous améliorez votre référencement naturel, c'est-à-dire votre visibilité sur les moteurs de recherche.

Votre site gagne des places dans les résultats de recherche Google, ou SERP (Search Engine Results Page), sur les termes qui touchent à votre activité.

En gagnant une meilleure visibilité sur internet, vous stimulez votre trafic organique, c'est-à-dire, le nombre de visites sur vos pages.

Si votre SEO est bien pensé, vous attirez de surcroît un trafic qualifié : vos visiteurs correspondent à votre audience cible.

Votre notoriété dans votre domaine d'expertise est ainsi boostée !

Et pour peu que vos contenus soient qualitatifs et fournissent les bonnes informations, un lien de confiance et de fidélité pourra être créé avec votre audience.

Travailler votre SEO efficacement vous assure aussi un bon retour sur investissement, puisque vos conversions augmentent en même temps que votre trafic organique.

Un investissement financier assez bas en SEO peut vous rapporter gros !

Le tout est d'être patient et d'employer la bonne stratégie, ou bien de faire appel à des pros du référencement comme frequence-web.com !

4 conseils SEO pour améliorer votre visibilité sur Google 

Bon, assez de théorie, passons à la pratique : quels outils mobiliser pour gagner en visibilité sur Google ?

Voici 4 conseils piliers pour booster votre référencement !

Première technique pour être visible sur Google : miser sur le référencement géolocalisé, aussi appelé SEO local. 

Le principe est simple : il s'agit de penser sa stratégie SEO de façon à être visible sur une zone géographique spécifique.

Vous vous positionnez ainsi en tant que professionnel de référence dans votre ville ou votre département.

Vos clients potentiels, ceux qui résident près de chez vous et ont des besoins ou une demande correspondante, seront plus à même de vous retrouver.

Pour optimiser son référencement local, on travaille sur les requêtes-clés adéquates.

Par exemple, si vous êtes une thérapeute en sophrologie basée à Nîmes, votre stratégie sera orientée autour de mots-clés tels que « sophrologie nîmes » ou « sophrologue à nîmes ».

Pour travailler votre SEO local, il vous faudra également créer et optimiser votre compte Google My Business. Ceci favorisera un bon référencement par Google dans votre zone d'achalandage.

Sur votre fiche, vos clients pourront retrouver des informations utiles telles que vos horaires et votre adresse : toujours mieux pour votre visibilité et votre réputation en ligne.

L'objectif ici ? Faire partie, un jour, du Google Local Pack, le top 3 des résultats de recherche locale dans votre domaine d'activité ! 

Second levier à actionner pour être visible sur le web et gagner des positions dans le SERP de Google : choisir les mots-clés judicieux !

Les termes, formules et questions qui feront monter votre SEO en flèche doivent répondre à plusieurs critères : 

Cohérence et cohésion avec votre site : vos mots-clés généraux doivent être en harmonie avec votre domaine d'activité, mais aussi avec vos contenus déjà en ligne.

Réponse efficace à l'intention de recherche : derrière chaque terme, formule ou question, l'internaute a un objectif, que l'on appelle intention de recherche. Avant de sélectionner un mot-clé, demandez-vous s'il répond à l'intention de recherche de votre audience cible (recherche d'information, recherche d'un produit ou d'un service, ou réponse précise à une question).

Faible concurrence et bon volume de recherches : pour espérer bien vous positionner sur un mot-clé, vous devez vous assurer que ce dernier n'a pas un score de concurrence trop élevé, ainsi qu'un relativement bon volume de recherches. Pour ce faire, n'hésitez pas à travailler les mots-clés longue traîne, c'est-à-dire les mots-clés de plus de trois mots qui correspondent à une recherche spécifique.

Troisième point pour une optimisation efficiente de votre site : créer du contenu de qualité !

À l'ère des articles de blog générés en masse par intelligence artificielle, les algorithmes favorisent de plus en plus les contenus qualitatifs.

C'est-à-dire, des textes riches, bien pensés, bien écrits et capables d'apporter une vraie valeur ajoutée à l'internaute.

Si l'intelligence artificielle peut être un bon coéquipier, elle n'est pas capable de comprendre, ni de s'adresser correctement à l'être humain derrière l'écran.

Pour concevoir un contenu de qualité, il faut donc mettre l'accent sur l'originalité, l'empathie, l'humour... Bref, tout ce qui vous distingue d'une machine !

Insufflez cette humanité dans chaque texte, tout en essayant de répondre efficacement à l'intention de recherche de votre internaute, et le tour est joué.

Quatrième et dernier pilier pour améliorer votre présence en ligne : nourrir votre écosystème, composé de vos réseaux sociaux.

Instagram, TikTok, Facebook ou Youtube, toutes ces plateformes peuvent vous aider à accroître votre visibilité et améliorer votre e-réputation.

Ces différents canaux permettent en effet de varier les façons de communiquer avec votre audience et de créer de l'engagement.

Elles vous assurent aussi une plus grande proximité avec votre public. Chaque plateforme ayant sa propre appli, vous vous trouvez désormais à portée de pouce !

Besoin d'un peu d'inspiration sur le sujet ? Écoutez donc le témoignage et les conseils de Yomi Denzel, qui a su canaliser le pouvoir de Youtube pour faire grandir sa marque. Une entreprise couronnée de succès !

Voilà, vous savez désormais comment gagner en visibilité sur Google ! Et pour vous aider dans votre démarche, n'hésitez pas à consulter une agence spécialisée en référencement naturel.



Qu’est-ce que le Crowdfunding et comment ça marche ? Découvrez ce qu’il faut savoir avant de lancer votre campagne de crowdfunding.

Qu'est-ce que le Crowdfunding ?

Vous avez un projet entrepreneurial, environnemental, culturel, commercial ou solidaire ? Vous cherchez à lever des fonds pour donner l’impulsion de départ à votre idée ou pour la développer ? 💰

Grâce à Internet, il est désormais possible de solliciter directement le grand public en dehors des circuits financiers institutionnels : c’est ce que l’on appelle le crowdfunding.

Littéralement, le « financement par la foule ».

Les projets soumis aux internautes peuvent être portés par des entreprises, des associations ou des particuliers, dans tous les domaines possibles et imaginables.

Le crowdfunding sert à financer des entreprises au stade de la création ou en phase de croissance, des œuvres culturelles (films, jeux vidéo, livres, albums de musique, spectacles), des projets immobiliers, des inventions, des applications mobiles, des projets humanitaires – et, techniquement, un peu tout et n’importe quoi.

Car, en effet, le financement participatif s’adresse à tous et à toutes (professionnels, entrepreneurs, particuliers, associations, collectivités, etc.), qu’il s’agisse de tester un projet auprès du marché, de se constituer une communauté de futurs clients, ou de générer un effet de levier afin de débloquer d’autres financements.

Prêt(e) à vous lancer ? Voici tout ce qu’il faut savoir au sujet du crowdfunding.

Qu’est-ce que le crowdfunding (et comment ça fonctionne) ?

Le terme de « financement participatif » (ou « communautaire ») désigne l’ensemble des processus d’échanges de fonds gérés en direct entre les individus qui injectent de l’argent et les entités ou les personnes qui les reçoivent, sans l’intermédiation des acteurs traditionnels comme les banques ou les investisseurs privés.

En pratique, le porteur de projet présente son idée sur une plateforme en ligne afin d’attirer l’attention des internautes.

Ainsi, le crowdfunding permet de financer tout ou partie d’un projet – ce levier est généralement actionné en complément d’autres modes de financement, comme les emprunts bancaires et les aides publiques – mais aussi de bâtir autour de celui-ci une communauté active et engagée, parfois pendant de longues années.

À titre d’exemple, le jeu vidéo Star Citizen a récolté 750 millions de dollars depuis le début de sa campagne participative sur Kickstarter en 2012 !

Quant aux contributeurs, ce sont principalement des particuliers qui agissent dans une démarche philanthropique ou dans le but d’en tirer un revenu.

Ils s’informent sur le projet en lisant une description détaillée sur une plateforme digitale, le plus souvent rédigée en utilisant les leviers du storytelling (afin d’établir un lien émotionnel avec eux), et choisissent d’injecter les fonds nécessaires sous la forme de dons, de prêts ou d’investissements.

En 2023, les plateformes de financement participatif ont récolté plus de 2 milliards d’euros.

Malgré un recul de 11 % par rapport à l’année précédente, ces chiffres ont tout de même été multipliés par 12 depuis 2015.

L’argent collecté a servi à financer 157 535 projets portés par des particuliers, des acteurs de l’économie sociale et solidaire, des petites et moyennes entreprises (TPE, PME et ETI) et des startups. (Voir image ci-dessous.)

(Source : Baromètre 2023 du crowdfunding en France.)

Quelles sont les différentes formes de crowdfunding ?

Si le terme de crowdfunding englobe les échanges de fonds en général, il existe toutefois différentes manières de participer financièrement à un projet.

Les contributeurs peuvent faire des dons (avec ou sans contrepartie), consentir des prêts (avec ou sans intérêts) ou investir en contrepartie de titres financiers non cotés.

Par le biais du crowdfunding, un porteur de projet peut collecter de l’argent sous forme de dons versés par les contributeurs.

Ces montants ne sont donc pas destinés à être remboursés. En revanche, ils peuvent donner lieu à l’attribution de contreparties matérielles ou symboliques.

Par exemple : un exemplaire du produit fini (le don est alors considéré comme un « préachat »), des goodies (t-shirt, mug, etc.), des mentions (le nom du contributeur apparaissant dans l’œuvre terminée ou dans les locaux de l’entreprise) ou encore des invitations à un événement (par exemple, l’avant-première du film financé).

Les contreparties sont importantes parce qu’elles aident à impliquer plus intensément les donateurs, qui passent de simples contributeurs au statut de membres privilégiés.

Dans de nombreux cas, ces récompenses sont proportionnelles, sur le mode « plus vous donnez, et plus vous recevez ».

Ce qui encourage les internautes à injecter plus d’argent afin d’obtenir de meilleures compensations.

Notez que la loi ne fixe aucun plafond pour les dons en argent consentis par les contributeurs. Toutefois, de leur côté, les porteurs de projet ne peuvent pas collecter plus de 5 millions d’euros en dons sur une période de 12 mois.

En 2023, le don moyen observé était de 40€ sans contrepartie, et de 68€ avec contrepartie (Baromètre du crowdfunding).

Les sommes d’argent récoltées sous forme de prêts font partie de ce que l’on appelle le « crowdlending ».

En tant qu’emprunteur, le porteur de projet conclut avec chaque prêteur un contrat dédié, par écrit ou en version électronique (à condition qu’il s’agisse d’un support durable : email ou compte personnel sécurisé).

Selon qu’ils sont consentis avec ou sans intérêts, ces prêts de crowdfunding donnent lieu à des règles distinctes :

Les prêts sans intérêts sont limités à 5 000 € par projet et par prêteur. Un porteur de projet peut emprunter jusqu’à 1 million d’€.

Les prêts avec intérêts sont limités 2 000 € par projet et par prêteur, sans excéder 7 ans. Un porteur de projet peut emprunter jusqu’à 5 millions d’€, et la plateforme de crowdfunding doit obligatoirement avoir le statut de prestataire de service de financement participatif (PSFP), un agrément délivré par l’Autorité des Marchés Financiers (AMF).

Notez que les sommes prêtées sont généralement libérées une fois la campagne de crowdfunding terminée.

Un autre mode de participation pour les contributeurs passe par la souscription de titres : on parle aussi de « crowdequity ».

En contrepartie de la somme d’argent versée, l’investisseur reçoit des titres émis par la société et en devient actionnaire.

Sous ce statut, il bénéficie d’un droit d’information et de participation aux assemblées générales. Il reçoit également des dividendes et peut espérer une plus-value au moment de la cession des titres.

Évidemment, ce type de crowdfunding est réservé au financement des projets entrepreneuriaux, et notamment des projets à caractère innovant.

Le montant des souscriptions par contributeur n’est pas plafonné. Le porteur de projet, quant à lui, doit se limiter à un maximum de 8 millions d’euros sur 12 mois. Selon le Baromètre du crowdfunding, le montant moyen collecté par ce biais oscille entre 40 000 et 500 000€.

En outre, les investisseurs sont éligibles à la réduction d’impôt dite « Madelin » qui s’applique aux personnes physiques souscrivant en numéraire au capital d’une société, à hauteur de 18 % des versements effectués.

Là encore, la plateforme doit disposer de l’agrément de prestataire de service de financement participatif.

Quelles sont les principales plateformes de financement participatif ?

Si n’importe quel projet (ou presque) peut être soumis aux contributeurs par le biais du financement participatif, il faut avoir en tête que de nombreuses plateformes ont leurs spécialités.

Pour vous aider à y voir plus clair, voici une liste non exhaustive des plateformes de crowdfunding qui agissent sur le territoire français, avec des détails quant aux types de projets pris en charge.

AkuoCoop permet aux particuliers et aux entreprises d’investir dans des centrales de production d’énergie verte. Le site est géré par Akuo Energy, premier producteur indépendant d’énergie distribuée et renouvelable en France. (Type de financement : prêts et investissements.)

Dartagnans s’engage dans le domaine de la préservation et de la valorisation du patrimoine. Depuis 2018, le groupe se concentre sur la sauvegarde des châteaux par le biais d’achats collectifs. (Type de financement : dons.)

Fundimmo est une plateforme de crowdfunding dédiée à l’immobilier, fondée par des professionnels du secteur, grâce à laquelle les particuliers peuvent investir dans des projets clés en main à partir de 1 000 €. (Type de financement : prêts.)

Happy Capital se focalise sur la souscription de titres financiers, pour tous les secteurs d’activité et à tous les stades de la vie des entreprises. (Type de financement : investissements.)

Investbook propose aux particuliers d’investir en direct dans des PME françaises. Elle est agréée par l’AMF en tant que conseiller en investissements participatifs (CIP). (Type de financement : prêts.)

KissKissBankBank est l’un des pionniers du crowdfunding et affiche quelque 30 000 projets culturels financés à ce jour. Généraliste, elle soutient des initiatives originales et innovantes sur l’ensemble du territoire français. (Type de financement : dons.)

Les Entreprêteurs offrent une gamme très complète de solutions d’investissement via des prêts, des obligations et des actions. La plateforme englobe toutes sortes d’activités, comme l’immobilier, les actifs écoresponsables, l’économie locale ou la défiscalisation éthique et solidaire. (Type de financement : prêts et investissements.)

Comment devenir riche ? Les clés pour construire sa fortune (avec des conseils réalistes)

Quelle forme juridique choisir pour son entreprise ?

Qu’est-ce que le crowdfunding ? Les clés pour tout comprendre à ce mode de financement !

Comment gagner en visibilité sur Google ?

Comment réaliser une bonne étude de marché ? Tous nos conseils !

Comment devenir riche ? Les clés pour construire sa fortune (avec des conseils réalistes)

TOP 20 des meilleures banques professionnelles !