La LifeTime Value (LTV) est un indicateur de performance très important pour les entreprises. Découvrez de quoi il s’agit et comment le calculer.

Qu'est-ce que la LTV (LifeTime Value) ? Définition & Calcul

Comment se porte votre entreprise ? 🤓

Pour répondre à cette question essentielle, vous pouvez compter sur des dizaines d’indicateurs de performance à suivre de près, à interpréter, et surtout : à exploiter efficacement.

Taux de croissance du chiffre d’affaires, marge bénéficiaire nette et brute, taux de conversion, coût par acquisition… Ces KPIs divers et variés vous aident à évaluer la santé de votre activité et à vous assurer de rester sur le bon chemin – celui de la croissance.

Parmi les indicateurs les plus importants à ne pas perdre de vue figure la customer lifetime value, la « valeur à vie du client ».

Autrement dit : ce que votre client vous apporte tout au long de la relation commerciale.

Quel que soit le secteur d’activité, ce KPI fondamental vous permet d’évaluer votre succès auprès de vos clients en tenant compte de leur fidélité et de leurs préférences : ce qu’ils aiment parmi vos produits/services, les raisons qui les poussent à continuer d’acheter chez vous, etc.

Dans cet article, vous découvrirez : ce qu’est la lifetime value (LTV) d’un client, en quoi elle est indispensable, comment la calculer et quels leviers actionner pour l’améliorer.

Avec toutes ces informations, vous aurez toutes les cartes en main pour augmenter la rentabilité de votre entreprise.

Qu’est-ce que la lifetime value d’un client ?

La lifetime value, ou customer lifetime value, est un indicateur de performance utilisé par les entreprises pour apprécier leur santé commerciale.

Ce KPI représente le bénéfice net global qu’un client est susceptible de générer pendant toute la durée de sa relation avec l’organisation.

En substance, la « valeur à vie du client » est donc une manière de mesurer la valeur potentielle d’un individu sur plusieurs années, et dans le même temps, de juger de la qualité de votre approche commerciale.

Car, en effet, si un client continue d’acheter auprès de votre entreprise au fil du temps, c’est que votre stratégie donne des fruits !

(Source : retently.com)

Concrètement, que prend en compte la lifetime value (LTV) ? L’achat initial réalisé par le client, bien sûr, mais aussi tous les achats successifs au gré de sa relation avec l’entreprise.

Par exemple, la valeur à vie d’un amateur de café intègre l’acquisition de la machine auprès de la marque, les achats récurrents de café moulu, en grains ou sous forme de capsules, ainsi que les acquisitions annexes (produits pour entretenir la machine, tasses et mugs, petits chocolats pour déguster avec le café, etc.), voire la mise à niveau de sa cafetière après plusieurs années.

Chaque centime injecté dans l’entreprise vient alimenter sa valeur à vie.

Mais à quoi peut bien servir cette information ? C’est assez simple, en réalité : entre autres données intéressantes, la customer lifetime value vous permet d’évaluer le montant pertinent à investir pour maintenir la relation avec le client, en fonction du seuil de rentabilité projeté.

Reprenons l’exemple du consommateur de café. Si vous estimez sa lifetime value à 5 000 €, cela vous donne une idée du plafond de ressources à allouer à la fidélisation de cet individu : s’il vous faut dépenser plus de 5 000 €, cette relation ne sera tout simplement pas rentable.

En simultané, vous vous faites une idée de ce qu’il vous en coûtera si vous perdez ce client à tel ou tel stade de votre relation.

La lifetime value est généralement utilisée en association avec d’autres indicateurs de performance, comme les ventes réalisées, le coût d’acquisition client, le taux de rétention ou encore le point mort (un KPI qui définit le moment où l’entreprise équilibre ses coûts et ses gains, donc devient rentable).

La combinaison de ces informations aide à améliorer la stratégie et à optimiser les gains.

Pourquoi la customer lifetime value est-elle importante ?

Nous avons déjà effleuré ce qui se cache derrière la lifetime value (LTV), mais il vaut la peine de creuser la question de son intérêt pour l’entreprise.

Car, comme tout indicateur de performance, celui-ci se doit de servir les intérêts de l’organisation.

Le point le plus important est sans aucun doute le suivant : une bonne compréhension de la « valeur à vie du client » vous aide à prendre des décisions commerciales éclairées, basées sur des informations concrètes et sur des données d’une précision extrême.

De fait, tous les aspects (ou presque) de la gestion commerciale d’une organisation sont influencés par la LTV. Dès lors que vous l’utilisez pour évaluer différents segments de clientèle, cet indicateur vous livre des renseignements sur…

Le montant qu’un client moyen est susceptible d’injecter dans votre entreprise au fil des années.

L’investissement à prévoir pour acquérir de nouveaux clients et établir une relation commerciale rentable sur le long terme.

Les produits ou services recherchés par les clients à forte valeur, et ceux qui affichent le meilleur taux de rentabilité.

Les raisons pour lesquelles vos clients fidèles apprécient vos produits ou vos services, et plus globalement votre marque.

Les types de clients qui génèrent la plus grande partie des ventes.

Le déroulement du parcours d’achat type et les étapes où vous avez tendance à perdre des clients.

Autrement dit, un bon usage de la customer lifetime value vous fournit un certain nombre de leviers pour maximiser vos profits et votre rentabilité.

Cela, grâce à un KPI qui livre de précieuses indications à toutes les étapes de la relation commerciale.

Vous avez besoin d’une démonstration plus concrète ? Voici plusieurs domaines bien particuliers dans lesquels la « valeur à vie du client » peut avoir un impact significatif :

La hiérarchisation des clients les plus précieux, ce qui vous permet de focaliser vos efforts marketing sur la rétention de ces clients à forte valeur ajoutée, aux dépens des segments les moins rentables. En effet, la fidélisation n’a de sens que si les individus que vous choyez contribuent à la rentabilité de votre business !

L’élaboration de nouvelles stratégies commerciales et marketing pour stimuler les clients rentables et les inciter à poursuivre leurs achats, mais aussi pour favoriser l’acquisition de prospects prometteurs faisant partie du même segment.

L’identification des opportunités de cross-selling et d’upselling, ces moments précis où vos clients sont prêts à acheter des produits/services complémentaires ou à opérer une montée en gamme.

La budgétisation, c’est-à-dire votre capacité à établir des prévisions financières plus précises en tenant compte des enseignements de la lifetime value. En substance, il s’agit de déterminer quels investissements marketing sont pertinents pour quels segments de clientèle.

La planification à long terme, en identifiant les sources de revenus à venir et en estimant le potentiel de croissance des différents segments de clientèle.

Vous comprenez mieux, maintenant, pourquoi cet indicateur revêt tant d’importance et pour quelles raisons il doit être surveillé de très près par les entreprises.

Mais au fait, comment calcule-t-on cette lifetime value ?

De ce qui précède, vous avez retenu que la customer lifetime value correspond au revenu total qu’un client est susceptible de vous rapporter tout au long de sa relation avec votre entreprise.

L’enjeu étant de stimuler le désir d’achat des clients fidèles, ce qui revient infiniment moins cher que de déployer des efforts pour acquérir de nouveaux leads.

D’accord, mais sur quelles données doit-on s’appuyer pour calculer cette LTV ? En réalité, il existe différentes méthodes pour ce faire.

Même la plus simple – que nous présentons ici – nécessite de recueillir au préalable plusieurs informations :

La durée de vie du client, à savoir : le temps que dure sa relation commerciale avec votre entreprise. Pour cela, vous avez besoin du taux de rétention, qui se calcule en divisant le nombre de clients restants sur une période donnée par le nombre de clients total sur la même période (nombre de clients restants / nombre de clients total). À partir de cette donnée, la durée de vie est calculée ainsi : 1 / (1 - taux de rétention).

À noter que l’intervalle de temps choisi pour calculer la durée de vie du client dépend du secteur d’activité.

À titre d’exemple, dans le domaine de l’immobilier ou de l’automobile, il est préférable de mesurer cette durée en années, compte tenu de la faible fréquence d’achat : on n’achète pas tous les jours une nouvelle maison ou une nouvelle voiture.

En revanche, un marchand de café a plutôt intérêt à la mesurer en mois.

La fréquence d’achat, c’est-à-dire le nombre d’achats réalisés par le client pendant sa durée de vie. On la calcule ainsi : nombre de commandes / nombre de clients.

Le montant du panier moyen, comprendre : la moyenne des achats réalisés par le client. Pour ce faire, il faut diviser le chiffre d’affaires réalisé avec ce client par le nombre de commandes effectuées (chiffre d'affaires / nombre de commandes).

Une fois ces éléments en votre possession, vous pouvez calculer la lifetime value de la façon suivante :

LTV = durée de vie du client x fréquence d’achat x panier moye

Il est temps de prendre un exemple avec des chiffres précis.

La durée de vie du client. Taux de rétention : 500 clients fidèles sur 1 000 clients en tout, ce qui fait un taux de 0,5. La durée de vie moyenne est donc de 2 (1/(1-0,5).

La fréquence d’achat. On a 2 000 commandes pour 1 000 clients, ce qui fait une fréquence de 2 (2 000/1 000).

Le panier moyen. Le chiffre d’affaires réalisé par le client est de 15 000 €, un montant que l’on divise par 100 commandes. Le panier moyen est de 150 € (15 000/100).

La lifetime value est égale à 600 € (2x2x150).

Dans votre entreprise, un client génère 600 € de chiffre d’affaires en moyenne tout au long de sa relation commerciale.

D’autres informations peuvent venir enrichir la LTV. En particulier, vous pouvez calculer le rapport entre la lifetime value et le coût d’acquisition du client, afin d’estimer le montant nécessaire à sa fidélisation (LTV/CAC).

D’autres paramètres sont susceptibles d’être ajoutés à cette équation, comme la marge brute ou les parrainages : cela vous permet d’avoir une vision plus complète de la rentabilité du client moyen.

Enfin, notez qu’il est possible de recourir à d’autres méthodes pour calculer la customer lifetime value dans le but d’obtenir des résultats plus nuancés. Voici quelques exemples d’approches alternatives :

La lifetime value historique utilise les données tirées des ventes passées afin de calculer le revenu moyen généré par le client sur une période donnée.

La LTV prévisionnelle s’appuie sur des modèles statistiques pour prédire la valeur à vie future d’un client, en fonction de son comportement passé et d’un certain nombre de critères (notamment démographiques). C’est évidemment une approche incontournable pour établir des prévisions budgétaires sur le long terme.

L’analyse des cohortes a pour but de segmenter la clientèle selon la période d’acquisition, par exemple : tel mois ou tel trimestre. Cela permet de comprendre comment la valeur à vie des clients évolue pour diverses périodes d’achat, ce qui donne des indications précieuses sur les conditions du marché et sur l’efficacité des stratégies marketing. L’analyse RFM en est une variante qui tient compte de trois facteurs : la date du dernier achat, la fréquence des achats et le montant des achats cumulés.

La lifetime value basée sur la rétention s’adosse à plusieurs données : le nombre d’achats répétés, le panier moyen et le taux de rétention.

En pratique, rien ne vous empêche de choisir l’une ou l’autre de ces méthodes, ou plusieurs à la fois, pour l’ensemble de vos clients ou pour certaines cohortes triées sur le volet.

Vous aurez compris que la LTV est un indicateur d’une grande souplesse qui peut s’adapter à différents besoins, secteurs d’activité et marchés.

Il ne vous reste plus qu’à opter pour le mode de calcul qui répond à vos attentes.

Comment augmenter la valeur à vie d’un client ?

Maintenant que vous êtes incollable sur la lifetime value, intéressons-nous aux leviers d’amélioration de cet indicateur si précieux.

Vous ne serez pas surpris(e) de constater que ces leviers sont très nombreux, et pour cause : parce que la LTV influe sur la quasi-totalité des aspects de la gestion commerciale, il existe forcément une multitude d’approches pour l’optimiser.

Sans prétendre pouvoir faire preuve d’exhaustivité, nous vous proposons plusieurs techniques éprouvées.

La customer lifetime value est associée à plusieurs autres indicateurs de performance, mais le plus pertinent d’entre eux est sans doute le taux de rétention.

Car, pour augmenter la « valeur à vie » du client, encore faut-il être capable de garder ce dernier dans votre giron pendant un maximum de temps.

Par conséquent, l’amélioration de la LTV passe par une meilleure satisfaction client et par des actions qui ciblent spécifiquement la fidélisation.

L’idée étant d’inciter les clients existants à répéter leurs achats, suivant une fréquence propre à votre secteur d’activité, en vous appuyant notamment sur l’efficacité de votre service client, sur la qualité de vos produits/services et sur une communication sans faille.

D’autres techniques tendent à favoriser une bonne expérience client. En e-commerce, par exemple, le simple fait de faciliter le retour des articles peut se traduire par une hausse significative des achats répétés, vos clients n’ayant plus peur de se tromper.

S’ils ont la certitude de pouvoir retourner la marchandise avec facilité, plus rien ne les empêche d’acquérir un article qu’ils n’auraient pas osé prendre dans d’autres circonstances.

Investir dans les stratégies de cross-selling et d’upselling

Les techniques de vente incitative et de vente croisée sont au cœur de l’amélioration de la lifetime value, tout simplement parce qu’elles ont pour objectif d’inciter le client à dépenser davantage, sans jamais perdre de vue le contexte de ses achats ainsi que ses préférences personnelles.

Ces deux méthodes sont parfaitement complémentaires :

Le cross-selling consiste à proposer l’achat d’articles connexes, notamment lors de la consultation de la fiche produit ou au moment de la conclusion de la transaction. Des suggestions simples comme « Les clients qui ont acheté ceci ont aussi acheté cela » s’avèrent particulièrement efficaces.

L’upselling vise à inciter le client à changer de gamme, par exemple : acheter le nouveau modèle de machine à café ou souscrire un abonnement plus cher au même service.

La fidélisation des clients ne résulte pas du hasard : elle doit être stimulée. En d’autres termes, vous devez mettre en place des campagnes visant exclusivement à garder vos clients existants, à entretenir leur enthousiasme et à booster leur engagement, tout au long de leur relation avec votre entreprise.

Les outils pour y parvenir sont nombreux :

Création d’un programme de fidélité qui encourage les achats répétés avec des récompenses et des offres promotionnelles.

Lancement d’offres exclusives pour les clients fidèles.

Création d’événements spécifiquement réservés aux clients d’une certaine catégorie (par exemple, les clients « Gold »), comme des ventes privées.

Diffusion de contenus à forte valeur ajoutée qui vous permettent de rester en contact avec les clients, même lorsqu’ils n’achètent rien.

Mise en place d’un programme de récompenses, avec des cadeaux à la clé lorsque vos clients achètent, publient des avis ou parlent de votre marque autour d’eux.

Mettre en place des modèles par abonnement

Cette méthode ne s’applique pas à toutes les entreprises.

Mais si vous avez la possibilité de l’utiliser dans votre secteur d’activité, alors dites-vous bien que vous disposez d’un puissant levier d’amélioration de la customer lifetime value.

Ce levier, c’est le modèle économique par abonnement. Ce type de modèle a l’avantage de garantir à l’entreprise une source récurrente de revenus, et donc de générer une LTV plus élevée qu’une organisation qui se contente de vendre ponctuellement.

De fait, si votre client vous verse 50 € tous les mois pendant 12 mois (soit 600 € en tout), vous aurez gagné plus d’argent qu’avec un achat ponctuel de 500 €.

Surtout, vous pourrez compter sur un client fidélisé qui a toutes les chances de poursuivre son abonnement et de continuer à payer avec une régularité de métronome.

C’est le modèle économique choisi par la grande majorité des outils SaaS (comme les logiciels de comptabilité), qui s’appuient sur le cumul de petites sommes récurrentes plutôt que de privilégier les dépenses ponctuelles plus importantes.

Mais pas seulement : on retrouve cette logique dans d’autres domaines d’activité, à l’exemple des agences immobilières qui s’adossent à la gestion locative pour générer un revenu récurrent et garder les bailleurs dans leur ligne de mire, ou des concessionnaires qui pratiquent le leasing automobile (la location d’un véhicule avec option d’achat à la clé).

Enfin, une autre façon d’améliorer la lifetime value consiste à optimiser le coût d’acquisition du client : moins il coûte cher à acquérir, et plus il sera rentable sur le long terme.

Cette approche suppose d’identifier les canaux d’acquisition les plus efficients, c’est-à-dire ceux qui génèrent les clients à forte valeur pour des coûts moindres, afin de focaliser vos efforts sur leur utilisation.

Ensuite, il faut également optimiser les taux de conversion et automatiser les processus marketing afin de réaliser des économies.

Le scénario idéal ? Un client qui n’a pas coûté cher à acquérir, qui vous reste fidèle pendant 10 ans, et qui achète un nouvel article avec régularité.

En parallèle, il est intéressant de repérer les canaux et les stratégies qui performent le moins.

À titre d’exemple, si vous constatez que vos efforts sur les réseaux sociaux ne paient pas, ou qu’ils vous apportent uniquement des ventes ponctuelles, c’est que vous avez intérêt à réorienter vos ressources vers des leviers plus porteurs.

En tenant compte de tout ce qui a été écrit dans cet article, vous pouvez constater que la customer lifetime value joue un rôle déterminant dans votre stratégie commerciale et dans votre approche de la fidélisation des clients.

Dès lors que vous savez ce qu’un client peut vous rapporter au fil du temps, vous avez tout intérêt à le fidéliser et à mettre en place des actions pour améliorer sa satisfaction et augmenter son panier moyen.

Le secret ? Concentrez-vous sur les prospects susceptibles de devenir des clients loyaux, d’acheter vos produits/services aussi souvent que possible (et pour aussi longtemps qu’il est souhaitable), et de se transformer en ambassadeurs de votre marque.

Ainsi, vous aurez fait de la lifetime value un levier stratégique absolument incontournable !



Recevez mes derniers podcasts directement dans votre boîte mail.

Qu'est-ce que la LifeTime Value (LTV) et comment la calculer ?

Quel podcast entrepreneur et entrepreneuriat écouter à vos heures perdues ? Découvrez notre sélection avec entre autres LITTLE BIG THINGS.

Podcast Entrepreneur : les 7 meilleurs à écouter en 2026 !

Chaque année, en France, 550 000 nouvelles entreprises voient le jour.

La dynamique entrepreneuriale pousse plus que jamais la nouvelle génération (celle des moins de 30 ans) à se lancer dans l’aventure.

Mais attention : entreprendre, c’est aussi emprunter un chemin parsemé d’embûches, de doutes et d’incertitudes. Les réussites plus éclatantes y côtoient les échecs les plus retentissants. 

Néanmoins, l’entrepreneur d’aujourd’hui bénéfice d’un levier dont ses aînés ne disposaient pas : Internet.

La Toile fourmille de podcasts dans lesquels les chefs d’entreprise et les coachs spécialisés partagent leur(s) expérience(s) et livrent des conseils avisés. 

Ce format connaît tant de succès qu’il devient difficile de faire le tri parmi les centaines d’émissions existantes – un chiffre en augmentation constante.

Dans cet article, nous vous aidons à trouver le meilleur podcast pour entrepreneur afin de découvrir toutes les facettes du business et comprendre la recette du succès.

Pourquoi écouter des émissions sur (et pour) les entrepreneurs ?

L’entrepreneuriat n’est pas un long fleuve tranquille, loin de là. Les challenges sont nombreux et les obstacles souvent difficiles à surmonter.

Tout en assumant leurs responsabilités quotidiennes, les entrepreneurs doivent aussi progresser, développer leurs compétences, se former, bref : devenir meilleurs pour que leur business continue de croître, de prospérer et de rayonner. 

Mais les formations officielles coûtent cher, prennent du temps et manquent parfois de concret. Et il n’est pas donné à tout le monde d’aller à la rencontre des CEO et autres PDG pour obtenir des conseils et profiter de leur expérience.

Même si l’essor du web a grandement simplifié la prise de contact, il n’est pas dit qu’un message envoyé à Martin Bouygues, Jean-Paul Agon ou Bernard Arnault donne des résultats !

Il se trouve que le podcast sur l'entrepreneuriat offre une alternative intéressante.

Les émissions consacrées au monde de l’entreprise, qui fleurissent ces dernières années, donnent l’opportunité aux entrepreneurs (actuels et futurs) d’aller chercher la précieuse information à la source, en écoutant les dirigeants raconter leur parcours, évoquer leurs échecs et mettre en avant leurs réussites.

De nombreux podcasts donnent ainsi la parole à ces hommes et ces femmes qui symbolisent le succès et qui, du haut de leur expérience, ont tant de choses à nous apprendre. 

C’est ce que propose un podcast pour les entrepreneurs comme LITTLE BIG THINGS ou une émission comme « Serials Entrepreneurs » (voir la liste plus bas) : chaque épisode est l’occasion de découvrir un secteur d’activité, une personnalité, un parcours parsemé d’obstacles… et de s’instruire sans modération.

Écouter un podcast sur l'entrepreneuriat, c’est une façon de relever les pratiques qui fonctionnent, d’approfondir sa connaissance de cet univers, de découvrir comment « eux » ont fait pour en arriver là, de progresser soi-même pour développer son entreprise (ou pour se décider à sauter le pas).

C’est aussi une manière de rompre avec la solitude qui est celle de l’entrepreneur – ce capitaine isolé à la tête de son équipage – et de se rendre compte que d’autres, avant nous, ont vécu les mêmes doutes, les mêmes peurs, et les mêmes galères.

C’est d’autant plus simple qu’un podcast sur l'entrepreneuriat peut être écouté n’importe où, dans n’importe quelle circonstance, tout en faisant autre chose : dans le train ou dans l’avion qui vous emmène à un rendez-vous avec des investisseurs, durant votre session quotidienne de sport, en sirotant votre café brûlant du matin, etc.

Il ne reste plus qu’à choisir les émissions les plus pertinentes pour découvrir et progresser !


Quel podcast pour les entrepreneurs écouter ?

Le podcast pour entrepreneur constitue un genre en soi, riche d’un grand nombre de représentants.

Sélectionner son émission, c’est d’abord faire le point sur les formats existants : la plupart des podcasts font le choix de donner la parole à des hommes et des femmes qui ont réussi dans leur domaine et qui acceptent de faire profiter le tout-venant de leur expérience.

Sans surprise, ce format (interview, entretien, one-to-one – optez pour le terme qui a votre préférence) est donc sur-représenté dans notre liste, qui fait la part belle aux émissions les plus pointues dans ce domaine.

Mais en cherchant bien, on peut également trouver des conseils de coachs spécialisés dans l’entrepreneuriat.


Commençons par un podcast business spécialisé dans les secteurs du digital et de la tech, supervisé par un expert du web – Andréa Bensaid, CEO d’Eskimoz.

Chaque épisode de « LITTLE BIG THINGS » est l’occasion de s’entretenir avec le représentant d’un acteur du marché. 

Des entrepreneurs, investisseurs ou coachs qui n’évoluent pas nécessairement dans le domaine du digital, mais qui emploient les leviers du web pour faire grandir leur business, ou qui travaillent spécifiquement avec des acteurs de la tech.

Le format est long (un épisode dure en moyenne 2 heures), mais c’est ce qu’il faut pour laisser le temps aux intervenants – comme Nicolas Dufourcq, Anthony Bourbon, Owen Simonin ou Yomi Denzel – d’expliciter leur parcours et de mettre en avant leurs petites révolutions personnelles. 

La bonne nouvelle, c’est qu’on ne s’ennuie jamais pendant ce podcast d'entrepreneur !


Quels sont les secrets de la réussite pour un entrepreneur ? Chaque épisode de Génération « Do It Yourself » tâche d’apporter une réponse à cette question ô combien complexe, sous la houlette de Matthieu Stefani – CEO de l’agence CosaVostra. 

Ce podcast entrepreneurial décortique le succès de ceux et celles qui se sont lancés dans la grande aventure du business et qui, à force d’efforts et d’investissement personnel, on atteint les sommets qu’ils s’étaient fixés.

Ici, on nous propose d’entrer dans leur quotidien, de découvrir leur histoire, de comprendre leur mode de pensée, d’explorer leurs outils. 

De Jean-Pierre Chessé (Bleu Capital) à Nicolas de Tavernost (M6), en passant par Camille Callen (Noholita) ou Patrick Mouratoglou (entraîneur de tennis, ancien coach de Serena Williams), Matthieu Stefani fait défiler devant son micro un casting aussi riche que varié, mais toujours authentique.


« S’ils l’ont fait, pourquoi pas vous ? » Tel est la promesse faite par ce podcast entrepreneur qui se propose de démystifier le monde des « patrons » et des « donneurs d’ordre ». 

Ce rendez-vous hebdomadaire prend la forme d’une conversation informelle avec des personnes inspirantes, des entrepreneurs bien sûr, mais aussi des artistes, des sportifs ou des personnalités de l’écosystème médiatique. 

Yacine Sqalli nous invite à entrer « dans la tête d’un CEO » pour y découvrir les problématiques auxquelles ces hommes et ces femmes ont été confrontées au fil de leur cheminement jusqu’au sommet. Au programme, des noms aussi variés que Nathaniel Malca (chirurgien esthétique), François de Fitte (Popchef), Rachel Delacour (Sweep) ou Eric Sèle (Shadow).


Voilà un podcast sur l'entrepreneuriat qui entend mettre en valeur la richesse et la diversité de l’écosystème business en France. Son fondateur, François Allet, est parti d’un constat : les médias parlent sans cesse des mêmes sociétés, des mêmes entreprises, des mêmes personnalités – de façon toujours abstraite. Mais quid des hommes et des femmes qui se cachent derrière ces noms ? 

Et surtout, pourquoi ne pas montrer la grande variété du paysage entrepreneurial hexagonal en invitant des gens qui s’expriment trop peu souvent, et qui ont pourtant tant de choses à nous dire ? 

Avec le temps, « Serial Entrepreneurs » est devenu l’un des podcasts du genre les plus populaires, avec 300 000 écoutes toutes plateformes confondues et une centaine d’épisodes qui sont autant de conversations intimes avec des personnes aussi inspirantes les unes que les autres – Anthony Bourdon, Romain Lanéry, Dominique Busso, Juliette Quef ou Chrysoline de Gastines. 


Voilà LA question que l’on aimerait tous et toutes pouvoir poser au dirigeant qui nous inspire : « comment t’as fait ? ». Julien Hatton a décidé de prendre les choses en main et d’aller la poser à ceux et celles qui font rayonner leur entreprise, dans un podcast entrepreneur qui brille par son approche pédagogique et sa volonté d’expliquer concrètement le comment, le pourquoi, le qui. 

En 10 ans, plusieurs dizaines de profils audacieux, atypiques et non linéaires se sont succédé au micro pour raconter leur expérience, décrire le chemin emprunté, et aider les auditeurs à faire grandir leur propre structure.

Pour donner du corps à sa vision, Julien Hatton choisit de miser sur des personnalités discrètes plutôt que sur des célébrités, ce qui contribue à réduire la distance qui nous sépare d’elles.


Toutes les émissions dédiées au business ne reposent pas sur le principe de l’interview. Un autre type de podcast entrepreneur, certes moins fréquent mais tout aussi intéressant, met en scène des coachs spécialisés qui guident les auditeurs dans leur parcours entrepreneurial au gré de retours d’expérience et de recommandations. 

C’est ce que propose Alice Bartoli dans son émission « J’peux pas, j’ai business » : un podcast qui aborde les stratégies commerciales, donne des astuces et propose des plans d’action concrets pour les entrepreneurs d’aujourd’hui et de demain. 

Les sujets traités se caractérisent par leur pragmatisme : développer son business, booster son chiffre d’affaires, trouver des clients sans prospecter, vivre de sa passion, devenir libre financièrement… Des thématiques qui parleront à tous ceux et celles qui voudraient se lancer ou qui ont déjà franchi le pas.


Dans le même genre, « Bien dans ta Boîte » est dédié aux entrepreneurs qui ambitionnent de transformer leur quotidien et de dépasser leurs propres limites.

Dans ce podcast d'entrepreneurs inspirants, Laura Besson partage son expérience de coach – son émission reprend le nom de la société qu’elle a fondée pour accompagner les entrepreneurs et booster leur bien-être en s’appuyant sur la psychologie positive. 

Chaque épisode aborde des questions pratiques (proposer des tarifs solidaires, les bonnes habitudes pour travailler efficacement à la maison, établir une routine en période de rush…) et des sujets plutôt mindset (apprendre à gérer son temps, persévérer ou lâcher l’affaire, les valeurs comme pilier d’un business…).

Laura Besson propose également un format « dans la tête de… » qui décrypte les croyances entrepreneuriales des invités.

Faites votre choix de podcast entrepreneur parmi cette sélection, et n’hésitez pas à varier les plaisirs : « LITTLE BIG THINGS », « Bien dans ta Boîte », « Comment t’as fait ? »... Dans le monde du podcast business, il y en a pour tous les goûts et pour tous les profils d’entrepreneurs !



Podcast Entrepreneur : des émissions pour nourrir votre fibre de créateur d’entreprise !

Online Asset propose d’investir collectivement dans des sites web rentables, sans gérer la technique. Un modèle inédit pour les investisseurs classiques.

Online Asset : la plateforme pour investir facilement !

Online Asset propose un modèle d'investissement assez particulier, qui a piqué notre curiosité : l'acquisition collective de sites internet générant déjà des revenus.

Pour un investisseur habitué aux marchés traditionnels, cette approche est inédite, mais elle fait sens car les sites web sont effectivement des entreprises (très) rentables sur certaines niches.

La plateforme permet donc d'accéder à des actifs numériques rentables sans avoir à gérer soi-même les aspects techniques, mais voyons concrètement ce que cela implique.

Le modèle économique d'Online Asset décrypté

La plateforme fonctionne sur un principe de mutualisation des investissements.

On reconnaît donc le principe des clubs d'investissement immobilier, mais appliqué au numérique.

Online Asset acquiert des sites web existants et déjà établis dans leurs secteurs respectifs : blogs monétisés, boutiques e-commerce, plateformes de services en ligne, etc.

Tous génèrent déjà des revenus récurrents. L'originalité réside dans le fait que les investisseurs deviennent co-propriétaires de ces actifs numériques.

Contrairement à un fonds de placement classique où l'on détient des parts, ici on possède une fraction réelle de l'entreprise numérique.

Cette nuance est importante vis-à-vis du droit, car elle implique des droits de propriété directs sur l'actif.

Les fondateurs répondent aux noms de Théophile Eliet et de Constant Elper. Les deux revendiquent plus de 70 transactions avant la création officielle de la plateforme.

Ce track record mérite attention : dans l'univers des actifs numériques, l'expérience compte particulièrement, car évaluer ce type de biens nécessite une expertise très spécifique (analyse du trafic organique, pérennité des sources de revenus, risques techniques, etc.).

Mécanismes d'investissement et structure des frais

Le processus d'investissement suit plusieurs étapes. D'abord, l'équipe d'Online Asset source et analyse des sites internet à vendre.

Les critères d'évaluation incluent : l'historique des revenus, la qualité du trafic, le positionnement SEO, le potentiel d'optimisation, et quelques risques identifiés.

Une particularité intéressante tient au fait que les fondateurs co-investissent systématiquement leur capital personnel dans chaque opération.

Cette pratique, courante dans le private equity, a le mérite d'aligner les intérêts entre gestionnaires et investisseurs.

Concernant la structure de frais, Online Asset applique un modèle de "carried interest" (intéressement aux plus-values) avec un hurdle rate de 15%.

En termes simples : aucun frais de gestion n'est prélevé tant que le rendement annuel n'atteint pas 15%.

Au-delà, la plateforme prend une commission sur la surperformance. Ce modèle favorise la recherche de rendements élevés... plutôt que la simple accumulation d'actifs sous gestion.

Typologie des actifs et rendements potentiels

Comme on peut s'y attendre, il y a une grande diversité de sites réunis par Online Asset dans son pool de placements.

On y trouve des sites de contenu monétisés par publicité et affiliation (blogs thématiques, sites d'actualités de niche), des boutiques e-commerce avec leurs stocks et fournisseurs établis, et des plateformes SaaS générant des revenus récurrents par abonnement.

Chacun présente logiquement un profil risque/rendement particulier. Par exemple, un blog financier établi depuis plusieurs années offre une certaine stabilité de revenus, en dépit d'une croissance limitée.

À l'autre bout du spectre, une boutique e-commerce peut présenter davantage de volatilité dans les encaissements, mais avec plus d'opportunités d'optimisation.

La plateforme communique sur le fait que les rendements historiques sont supérieurs aux placements traditionnels.

C'est normal, et cela s'explique aisément par la nature même de ces actifs : ils nécessitent une gestion active et comportent des risques comme la dépendance aux algorithmes Google, l'évolution des habitudes de consommation en ligne, etc.

Pour un investisseur considérant Online Asset, plusieurs éléments méritent une analyse approfondie.

La liquidité constitue un premier point : contrairement aux marchés boursiers, revendre ses parts dans un site internet peut prendre du temps. La plateforme doit organiser la sortie, trouver des repreneurs ou procéder à la revente globale de l'actif.

La transparence sur les performances réelles des sites acquis représente aussi un autre aspect clé.

Les investisseurs potentiels voudront découvrir les conseils d'Online Asset et examiner des cas concrets, comme l'évolution des revenus post-acquisition bien sûr, mais aussi les optimisations réalisées, les retours sur investissement effectifs.



Un template de site web est un gabarit formé d’éléments prédéfinis qui facilite la création d’une page web. Découvrez son utilité et 12 exemples.

Qu'est-ce qu'un Template de site web ? 12 Exemples !

Le processus de création d’un site web n’est jamais anodin : il faut choisir le type de site adapté, trouver le nom de domaine approprié, définir l’architecture voulue, intégrer les mentions réglementaires…

Mais aussi (et c’est essentiel) créer chaque page en respectant un certain formalisme en fonction du contenu que l’on souhaite y intégrer.

Or, rien de mieux, pour cela, que de s’appuyer sur un template de site web plutôt que de partir de zéro.

Recourir à un template pour construire un site, cela en revient en quelque sorte à disposer d’un plan préconçu par un architecte pour bâtir une maison : tous les éléments sont déjà en place, sachant qu’il est toujours possible de modifier des points spécifiques et de personnaliser le résultat.

Il s’agit donc d’un excellent point de départ – surtout qu’il existe autant de modèles différents que de types de pages (homepage, fiche produit, page de contact et bien d’autres), ce qui facilite encore plus le travail de création.

Qu’est-ce qu’un template de site web, précisément ? Quelle est son utilité ?

Dans cet article, nous vous proposons de découvrir ce spécimen indispensable au développement web, avec 12 exemples de pages à la clé.

Qu’est-ce qu’un template de site web ?

Un template de site web désigne un gabarit utilisé pour construire une page à partir d’éléments statiques prédisposés, mais modifiables en fonction des besoins (fond, couleurs, images, texte, polices d’écriture, etc.).

Un template est donc un gabarit qui permet de visualiser et de personnaliser en toute facilité les pages d’un site internet sans compétences graphiques, simplement en changeant les éléments désirés.

C’est donc un outil fondamental dans le domaine du développement web : au lieu de partir d’une page blanche, le designer ou le webmaster s’appuie sur un modèle existant et peut se focaliser sur le contenu et les fonctionnalités.

Le degré de personnalisation dépend du template de site web concerné.

Certains modèles limitent les possibilités, au profit d’une prise en main simplifiée : l’utilisateur se contente de charger ses propres éléments (textes, images et logo) en conservant le template de base.

D’autres, cependant, offrent des options de personnalisation presque illimitées avec la possibilité de tout modifier, ou presque : arrière-plan, couleurs, menus, polices, disposition des éléments statiques, etc.

Souvent confondus, le template de site web et le thème renvoient pourtant à des notions différentes.

Alors que le template désigne le gabarit d’une page spécifique, le thème, lui, correspond à l’aspect visuel global d’un site – l’ensemble des éléments graphiques qui le composent.

Il n’y a donc qu’un seul thème pour un site internet donné, tandis qu’il y a plusieurs templates, chacun étant associé à un type de page spécifique.

Par ailleurs, en choisissant un thème, celui-ci vient généralement avec ses propres templates pour les pages principales.

Quels sont les différents types de templates de site web ?

Dans la mesure où un template de site web est un gabarit destiné à une page individuelle, il en existe donc une multitude afin de s’adapter aux besoins variés des webmasters et des développeurs.

De fait, vous n’allez pas forcément recourir aux mêmes modèles pour un site vitrine, une plateforme e-commerce, un portfolio ou un blog.

Et même au sein d’un même site internet, il est nécessaire de créer différents types de pages en fonction de l’objectif particulier de chacune d’elles.

Voici une liste des templates les plus courants.

Comme son nom l’indique très bien, un site « one page » est constitué d’une seule et unique page qui regroupe l’ensemble des informations importantes que l’entreprise souhaite communiquer au public. 

Ces informations sont accessibles en scrollant, ce qui signifie qu’il n’y a pas de menu sur lequel cliquer.

Ce type de site, particulièrement épuré, est idéal pour faire la promotion d’un nouveau produit ou service, ou simplement pour transmettre des informations ou mettre en avant une actualité. (Lorsqu’il est dédié à un professionnel, par exemple un prestataire de services, ce type de page n’est pas sans rappeler un CV.)

Ce faisant, un template « one page » est un modèle conçu spécialement pour bâtir ce type de site en une seule page.

On y trouve généralement les éléments suivants : un titre clair, une introduction brève, des paragraphes courts, des bullet points et des visuels (images, graphiques, vidéos…).

Le plus souvent, la page comprend également un formulaire à remplir ou un CTA qui renvoie vers une autre ressource.

C’est le template de site web le plus commun, parce qu’il correspond à la page principale : la fameuse homepage.

À savoir : le tout premier écran sur lequel l’internaute arrive lorsqu’il tape l’URL du site.

Pour cette raison, cette page regroupe les informations essentielles au sujet de l’organisation, ainsi que l’ensemble des éléments permettant la navigation : menu(s), liens vers les autres pages, footer contenant les mentions légales, coordonnées de contact, etc.

Autre template de site web essentiel, celui-ci est destiné à la construction d’une landing page.

Cette « page d’atterrissage » joue un rôle bien précis dans l’économie digitale : elle a pour but de convertir des visiteurs en leads qualifiés.

Pour cette raison, la landing page s’adresse à une cible bien précise et sa structure suit une logique bien particulière, puisqu’il s’agit d’orienter l’internaute vers une action spécifique.

Par exemple, on veut inciter ce dernier à cliquer sur un CTA, à remplir un formulaire ou à télécharger un contenu.

Cette proposition de valeur unique se reflète dans le template de site web dédié à la landing page, qui se caractérise par sa simplicité : un arrière-plan, un visuel, un peu de texte et un bouton ou un formulaire, et un titre accrocheur conçu pour attirer l’attention et convaincre.

Certains templates sont spécialement conçus pour s’adapter à un site e-commerce, et notamment pour créer des fiches produits efficaces.

Un template de site web pour boutique en ligne a ainsi la particularité d’offrir des fonctionnalités adaptées : description du produit, visuel de haute qualité, bouton d’ajout au panier, listes déroulantes pour choisir la taille ou la couleur du modèle, détails concernant la livraison et la politique de retour, etc.

Là encore, il s’agit d’une page déterminante au sein d’un site internet, puisqu’elle permet au visiteur de prendre contact avec l’entreprise.

Le template de site web « contact » fournit à l’internaute toutes les informations nécessaires pour joindre un interlocuteur sur différents canaux, et peut aussi intégrer un formulaire personnalisé.

La particularité de cette page réside dans sa simplicité visuelle : concise, elle contient uniquement les données dont le visiteur a besoin.

Terminons cette liste des différents types de gabarits en évoquant un template de site web extrêmement courant, utilisé par une grande majorité des entreprises et des professionnels, mais aussi par les particuliers : le modèle de blog.

Cette rubrique – le blog – permet de montrer son expertise et de gagner en crédibilité en proposant des contenus variés, tout en améliorant le référencement SEO du site.

En général, ce type de template s’applique à l’ensemble du blog : chaque article affiche ensuite les mêmes éléments (visuel, texte, section dédiée aux commentaires, boutons de partage sur les réseaux sociaux, etc.).

Templates statiques VS templates dynamiques

Il ne s’agit pas d’un type de page en soi, mais d’une spécificité d’affichage. En effet, un template de site web peut être statique ou dynamique. De quoi s’agit-il exactement ?

Un gabarit statique ne change pas : les éléments restent en place, sauf si vous choisissez de les modifier manuellement. C’est la solution idéale pour un site vitrine, une page informative ou un portfolio.

Un gabarit dynamique est adaptable : il change en fonction des données affichées, comme l’ajout de nouveaux produits, l’évolution du prix ou la mise à jour du stock. Ce type de template de site web convient à une fiche produit ou à toute page destinée à évoluer fréquemment.

Pourquoi utiliser un template de site web ?

Le principal intérêt d’un template de site web réside dans sa simplicité d’utilisation. Ce gabarit est prêt à l’emploi, ce qui facilite le processus de construction de la page et permet de gagner beaucoup de temps, étant donné qu’il n’est pas nécessaire de tout bâtir de zéro.

C’est aussi l’assurance d’obtenir un rendu professionnel et qualitatif sans passer par l’écriture de code informatique, et sans risquer de commettre des erreurs dans la mise en place d’une page de toute pièce.

Par ailleurs, les options de personnalisation permettent d’adapter chaque page à vos besoins précis, y compris en utilisant les feuilles de style (CSS).

Autre avantage : la cohérence de l’ensemble des pages du même type. En recourant à un template de site web, vous avez la garantie que toutes les pages de la catégorie souhaitée seront absolument identiques sur la forme (sauf modifications ponctuelles réalisées par vos soins).

À titre d’exemple, vous pourrez compter sur des fiches produits similaires pour l’ensemble de votre catalogue (ou pour une catégorie donnée) : même arrière-plan, mêmes dimensions pour les visuels, mêmes boutons, etc.

Un autre intérêt est d’ordre financier. L’utilisation d’un template contribue à réduire grandement les coûts de développement. Combiné avec un CMS, il devient très facile de créer un site web complet en quelques clics et sans jamais mettre la main dans le code.

Bien sûr, cette solution convient avant tout aux sites « simples » et généralistes. Si vous avez besoin d’une plateforme plus complexe, un développement sur mesure peut s’avérer plus approprié.

Enfin, il existe un bénéfice complémentaire non négligeable : un template de site web est d’ores et déjà calibré pour le référencement naturel.

Cela concerne la technique en premier lieu, puisqu’un template SEO-friendly est à la fois compatible avec les mobiles (le gabarit est fait pour s’adapter automatiquement à la taille des différents écrans) et optimisé pour que la vitesse de chargement des éléments soit optimale.

À ce titre, mieux vaut privilégier les templates légers et rapides. (Notez que vous pouvez vérifier la qualité technique de vos pages grâce à des outils SEO adaptés.)

Quelles sont les limites d’un gabarit de page web ?

Malgré ces avantages, il est important de garder à l’esprit les limites inhérentes à tout template de site web. On peut en citer deux principales :

L’uniformisation. Même s’il existe un très grand nombre de gabarits différents, il n’est pas impossible que vous ayez choisi le même qu’un concurrent (ou inversement). C’est notamment le cas si vous optez pour un template de site web proposé par une plateforme populaire, comme Canva ou Wix, et qu’il appartient à une catégorie bien particulière. Le risque est donc celui de l’uniformisation : vous gagnez en rapidité et en praticité ce que vous perdez en originalité graphique.

Les restrictions techniques. Indépendamment des possibilités de personnalisation qu’il offre, un template de site web impose nécessairement des restrictions techniques (sauf à tout modifier dans le code, ce qui présente peu d’intérêt). En choisissant un gabarit, vous devez vous adapter à un cadre prédéfini et à une structure spécifique qu’il n’est pas toujours possible de changer.

Où trouver un template de site web (et combien ça coûte) ?

Le recours à un template de site web est une pratique universellement reconnue. Même si vous faites appel à un prestataire pour créer votre site internet, il y a de fortes chances pour que celui-ci s’appuie sur un thème existant et sur des gabarits prédéfinis.

Autrement dit, tout le monde est susceptible de se tourner vers ce type de modèle.

Conséquemment, il est naturel que l’on en trouve absolument partout. De nombreux catalogues en ligne proposent des thèmes de sites et des templates de pages.

Il suffit généralement d’accéder à un moteur de recherche et de taper le nom de votre CMS + « template de page web » pour avoir accès à une liste bien fournie.

À titre d’exemple, la requête « WordPress + template page web » sur Google affiche des résultats pour wordpress.com, capitainewap.io, wpchannel.com, themeforest.net, wpmarmite.com, etc.

Quant au prix, il varie du tout au tout. Certains templates sont gratuits (et souvent basiques), d’autres nécessitent de payer un prix fixe (mais ils offrent plus de possibilités de personnalisation).

Vous pouvez également confier à un prestataire la mission de créer un template de site web sur mesure : c’est une solution à privilégier si votre plateforme a besoin de fonctionnalités spécifiques que l’on ne trouve pas dans les gabarits destinés au grand public.

Le coût de développement pour un template à partir de zéro démarre à 2 000 €.

Nous vous proposons de découvrir 12 exemples de templates de sites web qui nous semblent particulièrement réussis, à la fois dans leur design et dans les fonctionnalités qu’ils offrent.

Comment utiliser un template de site web (et le personnaliser) ?

Si vous êtes confronté(e) à un template de site web pour la première fois, vous vous demandez peut-être quoi faire avec.

Concrètement, comment utilise-t-on un gabarit ? Quelles sont les bonnes pratiques à connaître ? Voici un guide très simple pour vous aider à démarrer.

Choisissez un template adapté à votre secteur d’activité et aux besoins de votre entreprise (ou de votre projet) : one page, blog, boutique en ligne, portfolio, site d’entreprise... Comme indiqué plus haut, il existe un template de site web pour chaque usage. Notez qu’il vous est possible, plus simplement, de choisir un thème global et d’utiliser les gabarits prédéfinis pour chaque page, sans chercher plus loin.

Prévisualisez et testez la mise en page, surtout pour vérifier que la structure proposée correspond à vos besoins en matière de contenu et d’expérience utilisateur.

Personnalisez les éléments visuels du gabarit : remplacez les images, modifiez les couleurs (arrière-plan et éléments cliquables), choisissez des polices d’écriture qui vous plaisent, etc. Dans la plupart des templates évolués, vous pouvez aussi ajuster les sections, les colonnes et les lignes.

Ajoutez vos propres contenus textuels, en utilisant les éléments prédéfinis du gabarit pour mettre en valeur les messages que vous souhaitez faire passer.

Ajustez la navigation et les fonctionnalités en fonction du parcours utilisateur que vous cherchez à mettre en place. Vous pouvez ajouter des menus, des éléments visuels, des formulaires, des boutons CTA, des liens, etc.

Une fois votre page prête, nous vous recommandons de mener des tests A/B (des tests comparatifs qui permettent d’évaluer l’efficacité de deux versions d’un même contenu) afin d’identifier le modèle qui répond le mieux à vos besoins.

Ces tests peuvent être réalisés en modifiant des points déterminants, notamment l’emplacement et le message des boutons d’appel à l’action.

Et au besoin, n’hésitez pas à vous faire accompagner par un développeur web ou par une agence de design spécialisée !



Qu’est-ce qu’un template de site web ? Découvrez l’utilité des gabarits prêts à l’emploi et 12 exemples !

Quel podcast startup écouter quand on se lance dans l’aventure de l’entrepreneuriat ou qu’on a l’ambition de booster la croissance de sa startup ?

Podcast Startup : les meilleures émissions à écouter !

On entend souvent dire que 9 startups sur 10 sont vouées à l’échec, que 10 % d’entre elles mettront la clé sous la porte dès leur première année d’existence. 

Si l’univers de la startup semble impitoyable, il n’y a pourtant pas de fatalité : un.e entrepreneur.euse qui se lance a autant de chances que n’importe qui d’autre de rencontrer le succès avec son projet… à condition de disposer des clés de la réussite. 

C’est là que les podcasts entrent en jeu : l’écoute attentive des émissions consacrées à l’entrepreneuriat, et plus spécifiquement au monde des startups, permet aux futurs dirigeants, comme à ceux qui ont déjà créé leur entreprise, d’apprendre de leurs pairs, de prendre du recul, et de trouver l’inspiration auprès de ceux et celles qui sont passé.es par là. 

Parce que les bons conseils n’ont pas de prix, nous avons opéré une sélection parmi les émissions qui cartonnent – LITTLE BIG THINGS, Growth Makers, Génération Do It Yourself – afin de vous aider à trouver LE podcast Startup qui fera décoller votre business.

La startup : quelles sont ses particularités ?

Dans un précédent article, nous avons présenté les meilleurs podcasts traitant de l’entrepreneuriat. Alors, pourquoi proposer une autre liste consacrée au monde des startups ?

La réponse est très simple : parce que la startup n’est pas une entreprise comme les autres. Et parce qu’un podcast dédié aux startups s’inscrit dans une approche bien différente.

La startup, cette « entreprise qui démarre » (si l’on traduit littéralement le terme anglais), désigne une entreprise à fort potentiel de croissance, mais dont le business model s’appuie en grande partie sur une forme de spéculation concernant sa valeur future.

D’une certaine façon, la startup est une entreprise en devenir, un modèle qui doit encore faire ses preuves avant de s’ancrer définitivement dans son marché.

En allant plus loin, on peut identifier plusieurs différences fondamentales entre une entreprise traditionnelle et une startup :

L’entreprise fonctionne en exécutant et en optimisant un business model ayant fait ses preuves, dont elle tire des revenus suffisants pour supporter ses coûts, rémunérer ses équipes (et ses actionnaires, le cas échéant) et générer un bénéfice.

La startup n’a pas de business model fixe : elle l’établit et l’affine au fil du temps, à mesure qu’elle teste son marché. Elle n’a donc pas de rentabilité immédiate. Son fonctionnement est itératif : au sein d’une startup, on progresse en essayant des choses, en échouant, puis en se relevant pour avancer toujours plus loin. Ce n’est qu’une fois son business model fixé que le projet devient réalisable à grande échelle. À ce moment-là, la startup devient autre chose : une « scale-up », une entreprise en pleine croissance – ce qui signifie que le « modèle startup » est, par essence, temporaire.

Les startups se caractérisent aussi par leur appétence pour les innovations et les nouvelles technologies. Ces sociétés évoluent très souvent dans les domaines du digital, de l’environnement, de la santé, de la biotechnologie, de la finance. Elles ont la plupart du temps (mais pas toujours) pour objet de chambouler un secteur ou de remettre en cause des modèles traditionnels. De fait, la notion est généralement associée à l’expérimentation et à l’innovation : il s’agit de lancer une nouvelle activité ou un nouveau produit sur un marché émergeant, avec des risques élevés (ou difficiles à évaluer dans le meilleur des cas).

Enfin, le financement des startups passe le plus souvent par des levées de fonds.


À cela, on peut ajouter que la startup est aussi un esprit, une philosophie, une façon bien particulière de concevoir le monde de l’entreprise et de considérer le marché.

C’est ce qui rend d’autant plus utile l’écoute d’un podcast startup : il s’agit de comprendre cet état d’esprit, d’en explorer les concepts et les principes, afin de pouvoir soi-même adopter cette vision des choses – et se donner les moyens de faire réussir son projet.


Pourquoi écouter un podcast pour startup ?

Pour un.e entrepreneur.euse, le podcast spécialisé pour les startups est plus qu’un complément d’information : c’est une véritable boussole en territoire hostile.

Il faut bien comprendre une chose, c’est que la création d’une entreprise n’a rien d’un long fleuve tranquille.

C’est même tout l’inverse – il faut s’attendre à rencontrer des obstacles, à subir des intempéries et à naviguer sur des rapides. 

L’entrepreneuriat nécessite d’avoir de la résilience, de se doter d’objectifs clairs, de savoir précisément ce que l’on veut, mais aussi d’accumuler de la connaissance et de se nourrir des expériences d’autrui.

C’est encore plus vrai lorsqu’il s’agit du modèle startup, bien plus risqué que celui de l’entreprise classique.

Nous rappelions, en introduction, des statistiques sinistres relatives au taux d’échec des startups. Or, c’est à ses débuts qu’un tel projet s’avère le plus vulnérable.

En tant que fondateur, vous devez, en phase de démarrage, administrer de front l’ensemble des aspects stratégiques et opérationnels du business : gestion des équipes, établissement du modèle économique, signatures des contrats, échanges avec les investisseurs et autres parties prenantes…

Plus important encore : il faut intégrer d’emblée l’éventualité d’un échec, que les raisons de celui-ci soient exogènes (marché immature, contexte économique défavorable) ou qu’elles soient intrinsèquement liées à la startup (ressources insuffisantes, collaborateurs mal choisis, business model inadapté, efforts commerciaux infructueux, etc.).

L’écoute d’un podcast pour startup ne va certes pas tout changer au destin de l’entreprise. Néanmoins, ces émissions font souvent intervenir des personnalités de l’écosystème startup qui ont beaucoup de choses à apprendre aux nouveaux arrivants, en particulier au sujet des premières étapes de la vie de la structure, lorsqu’elle est extrêmement vulnérable.

À titre d’exemple, l’épisode de l’émission LITTLE BIG THINGS consacré à la startup Bitstack nous enseigne comment son fondateur, Alexandre Roubaud, s’est servi d’un contexte économique difficile (hausse exponentielle de l’inflation, tentatives de régulation plus rigoureuse des cryptomonnaies) comme tremplin pour lancer son idée innovante sur un marché encore inexistant – l’épargne crypto.

Ainsi, un podcast dédié au monde de la startup est susceptible de nous apporter…

Une vision plus large de l’écosystème startup et de ses réalités.

Un éclairage sur les parcours de ceux et celles qui ont réussi leur pari (et qui ont transformé leur startup en scale-up, puis en société).

Des conseils avisés en guise de formation accélérée.

De bonnes pratiques à appliquer concrètement au quotidien pour créer et faire évoluer sa startup.

Enfin, le fait d’écouter un podcast pour les startups est un bon moyen pour se créer un réseau et trouver d’autres personnes qui partagent les mêmes passions, valeurs, envies – et qui ont pris le même chemin, celui de l’entrepreneuriat.

En effet, les communautés autour de ces podcasts sont souvent dynamiques et actives, notamment sur les réseaux sociaux.


Quel podcast consacré aux startups écouter ?

Il ne reste plus qu’à répondre à la question initiale : quel podcast consacré aux startups mérite votre attention ? Quelle émission devez-vous écouter pour apprendre, nourrir votre esprit, développer votre connaissance de cet écosystème, et bénéficier de conseils à appliquer à votre propre projet ?

Voici une petite sélection des contenus qui nous semblent dignes d’intérêt dans ce domaine.

LITTLE BIG THINGS. Dans son podcast business, Andréa Bensaid offre aux acteurs du digital et de la tech un espace d’expression inédit qui leur permet de partager leur expérience et de décrire leur parcours par le menu. Lui-même CEO d’Eskimoz (dont les débuts ne sont pas sans rappeler ceux d’une startup, justement), Andréa Bensaid pousse ses invités dans leurs retranchements et n’hésite pas à les challenger pour en extraire les meilleurs conseils possibles à destination des futurs dirigeants. Un podcast startup à écouter sans limite (et en prenant son temps, car les épisodes sont aussi longs que riches).

Startup Talk. Propulsé par Schoolab (studio d’innovation qui propose des incubateurs et des accélérateurs), ce podcast startup s’intéresse à un moment bien particulier de la vie d’une jeune entreprise : ses 100 premiers jours. Les invité.es racontent sans tabou les étapes initiales de la création de leur startup, lors d’interventions qui alternent entre conseils pratiques et anecdotes rocambolesques – de quoi apprendre en quelques heures à monter son business et à développer son projet dans les meilleures conditions.

Tech 45’. Dans ce podcast startup hebdomadaire, Sébastien Couasnon échange avec un.e entrepreneur.euse de la French Tech pendant 45 minutes menées à tambour battant. L’émission rappelle combien la fondation d’une startup confine à l’aventure : il faut gérer le quotidien (compliqué) tout en affrontant les crises successives. La particularité de ce podcast startup ? Pas de montage, pour un maximum de transparence.

Start to Scale. Lancé en 2022, ce podcast startup animé par Eric Seclet et propulsé par Tribes invite au micro les têtes pensantes derrière les scale-ups françaises à succès. L’objectif ? Aider les startups naissantes à grandir en abordant des sujets aussi divers que les valeurs, la culture d’entreprise, la création d’une roadmap, la prospection, etc. Au programme : des retours d’expérience concrets, des bonnes pratiques et des astuces, dans un format court, actionnable à 100 %. Pas étonnant que ce soit d’ores et déjà une référence, au même titre qu’une autre jeune émission (LITTLE BIG THINGS).

Growth Makers. Orienté vers un public de startupers, l’émission animée par Gabriel Gourovitch fait le choix de se focaliser sur un sujet bien spécifique : l’accélération de la croissance. Les invité.es évoquent leur parcours (parfois atypique) et décryptent au micro leur processus créatif, leurs stratégies marketing, leurs modèles économiques, et plus globalement partagent les techniques qui leur ont permis de faire grandir leur business et d’atteindre leurs objectifs. La promesse de ce podcast startup ? Faire en sorte que les auditeurs.trices bénéficient de leviers actionnables pour augmenter leur volume de prospects après chaque épisode. 

Un bon podcast startup est avant tout un podcast qui laisse s’exprimer les personnalités marquantes du monde de l’entrepreneuriat, qui apporte conseils et bonnes pratiques, et qui donne à ceux et celles qui l’écoutent des leviers concrets à actionner au quotidien pour créer, développer ou transformer leur business.

Et vous, quelles émissions écoutez-vous ?



Podcast startup : quelle émission écouter pour développer sa startup ?

Vous êtes à la recherche d’une agence de design à Paris ? Découvrez notre top 10 des meilleures agences et boostez votre performance.

TOP 10 des meilleures agences de Design à Paris !

Vous souhaitez développer votre projet web, changer votre logo ou revoir tous les éléments graphiques de votre site internet ?

En tant que spécialiste de la conception graphique, une agence de design vous assure un meilleur accompagnement.

Elle rassemble de nombreuses compétences et offre une expertise complète à ses clients.

Voici un aperçu du top 10 des meilleures agences de design à Paris. 

Fondée en 2011, l’agence Bruno est votre choix numéro 1. Ses équipes effectuent en amont une recherche de verbatim et de mots-clés qui définissent votre marque. Ils procèdent ensuite à la création d’un moodboard pour vous aider à définir les grandes lignes esthétiques de votre projet.

Loin des méthodologies alambiquées et peu fructueuses, leur processus créatif inclut :  

Le recours à des méthodes d’UX design (expérience utilisateur) et d’UI design (interface utilisateur) avancées pour vous assurer une interface web qui concorde avec votre image de marque ;

La conception d’illustrations qui renforcent votre identité visuelle. 

L’agence Bruno vous offre un large panel de livrables : design system, iconographie, UI kit ou sources design. Elle ne se contente pas de présenter le fonctionnement ou l’utilité de vos produits/services. Elle leur ajoute une dimension interactive grâce aux animations. Le but ? Donner vie à votre identité graphique.  

Située à Paris, en plein cœur du Marais, Wolfox est une agence UX/UI spécialisée dans la création de produits et applications. Ses équipes sont connues pour leur expertise en design interactif. Ils s’appuient sur une méthodologie du design thinking pour concrétiser vos projets. Pour déterminer les besoins de vos utilisateurs : 

Ils effectuent d’abord des sondages et interviews.

Ensuite, ils sculptent vos parcours utilisateurs pour vous assurer un meilleur ciblage. 

Leurs maîtres-mots ? Une expérience utilisateur simple, efficace et des designs esthétiquement plaisants. Boutons de navigation, animations ou typographies, aucun élément graphique n’est laissé au hasard. 

Graphéine figure également parmi les références du secteur. Cette agence de design digital et de graphisme est spécialisée en design de marques. Forte d’une équipe experte et expérimentée, elle vous accompagne dans tous vos projets : refonte de logos, mise en place de stratégie de marque ou encore la création de votre identité visuelle.

Dotée d’une expérience de plus de 20 ans, elle vous offre un large panel de services, notamment :  

La création d’interfaces utilisateurs conviviales ;

La création de cartes de visite, affiches ou site web.

Usabilis accompagne ses clients depuis 2002. Son expérience, créativité et expertise lui ont permis de se positionner parmi les meilleurs acteurs du secteur.

Ses méthodes de design thinking lui permettent de proposer à vos utilisateurs des solutions authentiques, adaptées et cohérentes.

En ce qui concerne le design system, ses équipes créent toute une librairie de composants graphiques dans Figma. Ensuite, ils mettent en place les processus d’utilisateur et forment vos équipes à la prise en main de votre design system. 

Si de nombreuses agences sous-traitent leurs projets, Adveris dispose de toutes les ressources en interne pour mener à bien votre projet. Elle capitalise sur son expérience auprès de plus de 300 clients.  

Les équipes de son pôle conseil et planning effectuent une analyse des codes graphiques de votre secteur et de l’ADN de votre marque.  

Ensuite, un chef de projet est attribué à votre projet et supervise son déroulement.  

Que ce soit pour la définition de vos personas, la refonte de l’arborescence de votre site ou la mise en place d’une nouvelle charte graphique, l’équipe artistique d’Adveris vous accompagne à chaque étape.  

Adveris dispose également d’une équipe de développeurs fronts et back. Ainsi, une fois le design de votre site internet validé, ces derniers peuvent procéder à sa refonte. 

Feel and click est l’une des meilleures agences de design et performance UX/ SEO. Tous leurs projets commencent par une phase d’analyse. Ses équipes de concepteurs UX et experts SEO consolident votre contenu et analysent les comportements et habitudes de consommation de vos utilisateurs. Ils mettent en place un plan d’action stratégique pour tous vos projets.

Leurs services incluent :  

La  conception de plateformes sur-mesure : les équipes de Feel and click mettent en place des plateformes ergonomiques, intuitives et faciles à utiliser. 

La conception de sites web : le maquettage, l’encodage du design, ou les parcours utilisateurs, rien n’est laissé au hasard pour vous garantir un site web qui convertit !  

Le maître-mot de Narrative est de vous offrir une identité graphique fidèle à vos valeurs et à votre image de marque. Ses équipes étudient minutieusement vos codes identitaires pour vous assurer un projet pertinent et cohérent.

Ses services incluent :  

La conception d’interfaces digitales intuitives

Le suivi de fabrication de vos produits et ouvrages  

Basée à Paris, June accompagne les marques de tous les secteurs, quelle que soit leur taille : start-ups, collectivités et grandes entreprises. Spécialisée en design graphique, l’agence développe des solutions de communication visuelle imprimées et digitales.

June vous propose trois types de services :

La conception de supports : brochure, stand, catalogue, plaquette, etc.

La conception de sites web et communication digitale : suivi de votre projet web, conception de design d’interface, UX design ou structuration de vos contenus digitaux ;

Création et shooting : conception de logotype, pictogramme, illustration ainsi que la réalisation de motion design.

Dirigée par des experts de 3D et du design graphique, Yoom-up met son expertise au service des entreprises depuis 2001.

Ses équipes vous accompagnent dans :  

Le recueil de vos données : cette étape consiste à analyser les données de votre marque, vos produits ou services ainsi que les attentes de vos clients ;  

La conception de maquettes : l’agence procède ensuite à la réalisation de maquettes et vous propose des typographies et logotypes adaptés à vos attentes ; 

Déclinaison des supports : les équipes de l’agence prennent compte vos valeurs et principes et déclinent vos supports en fonction de votre nouvelle charge graphique. 

Fondée en 1991, Luciole est une agence experte en identité visuelle et en communication. Toutes les approches de l’agence sont conçues pour s’adapter à votre image de marque, besoins ou contraintes. Ses équipes prennent en compte :  

Votre grille typographique et lignes de force ;

Leur processus consiste à rendre visibles et désirables tous les messages que vous souhaitez communiquer. En se focalisation sur vos objectifs, ses équipes analysent les comportements et attentes de vos utilisateurs pour vous assurer un rendu authentique et pertinent.

Vous avez besoin d’être accompagné(e) pour la conception de vos supports graphiques ou des composantes visuelles de votre marque ?

Ce sont des prestations prises en charge par une agence de design : une entité spécialisée dans la création d’éléments visuels à la fois créatifs et cohérents, mais aussi dans la conception d’une image de marque forte et mémorable.

Ce faisant, il n’est pas rare qu’une agence de design s’entoure de professionnels du marketing, car il existe des liens logiques entre la création de visuels solides et les stratégies de communication auprès des audiences – y compris les stratégies de branding.

Par ailleurs, les agences de design sont susceptibles de proposer des services très variés : conception d’éléments visuels (comme des logos ou des chartes graphiques), développement de sites web, conception de supports publicitaires ou d’emballages, etc.

Certaines sont plutôt généralistes et s’attachent à couvrir un grand nombre de pratiques liées au design ; d’autres se spécialisent dans un type de prestation ou, le plus souvent, dans un secteur d’activité dont elles maîtrisent parfaitement les enjeux.

Il s’agit donc, pour une entreprise qui souhaite faire appel à une agence de design à Paris, de choisir avec beaucoup de soin son interlocuteur en fonction de ces paramètres.

Quels sont les services proposés par une agence de design à Paris ?

En pratique, une agence de design peut prendre en charge différentes prestations, dont la nature est susceptible de varier en fonction de son approche et du type de clientèle auquel elle s’adresse. Les services proposés peuvent ainsi tourner autour de plusieurs axes, dont voici les principaux :

La création d’une identité visuelle : une démarche incontournable pour donner de l’entreprise ou de la marque une image attractive et différenciante auprès du grand public. Ce processus s’accompagne de l’élaboration d’une bibliothèque de composants (dans laquelle les designers pourront puiser à leur guise) et de « guides de style » à utiliser lors de la conception des différents éléments graphiques de la marque. On parle plus communément de « Design System ».

La conception de composantes graphiques propres à la marque (logo, charte graphique et bibliothèque iconographique) qui contribuent à refléter l’univers de celle-ci, ainsi que ses valeurs et les messages qu’elle souhaite véhiculer. Ces composantes permettent également aux prospects et clients de reconnaître la marque d’un coup d’œil.

La mise au point de supports de communication print ou digitaux (cartes de visite, dépliants, brochures, affiches, emballages, stands, plaquettes, templates de posts sociaux, annonces publicitaires en ligne…).

Le développement d’un site web qui reprend les codes graphiques de la marque, tout en y intégrant toutes les fonctionnalités nécessaires à l’activité, et en insistant sur la qualité de l’expérience utilisateur (UX Design et UI Design). À ce titre, une agence de design peut définir des parcours utilisateurs pertinents à partir des données collectées auprès des audiences cibles, afin de faciliter la navigation des internautes et de les aider à trouver les informations recherchées.

La création de contenus adaptés à l’image de marque et destinés à la communication interne ou externe, par exemple : des vidéos corporate ou des illustrations.

Pourquoi travailler avec une agence de design ?

Le fait de collaborer avec une agence de design permet à une entreprise de bénéficier d’un accompagnement professionnel pour l’élaboration de ses éléments graphiques.

Il peut s’agir de concevoir un univers graphique à partir de zéro ou de rafraîchir des composantes existantes : dans les deux cas, l’agence met à la disposition de son client une équipe de designers, chapeautée par un chef de projet, qui prend en charge une succession de tâches en fonction du cahier des charges fourni en amont.

Avec un triple avantage :

La dynamique de création est boostée par l’intervention d’acteurs extérieurs à l’entreprise (et donc neutres), capables d’injecter des idées nouvelles et bienvenues. Cela permet d’ouvrir des horizons nouveaux et de considérer des voies de communication inédites.

La marque bénéficie des compétences et de l’expérience d’une équipe accoutumée à prendre en charge de tels projets. Les designers s’appuient sur leur connaissance du secteur d’activité, issue notamment de leurs collaborations précédentes avec d’autres clients du même domaine. Ils emploient également des outils novateurs et des techniques en vogue. Par ailleurs, l’entreprise a ainsi accès à de nombreux métiers : graphiste, infographiste, webdesigner, illustrateur, maquettiste, directeur artistique… Le tout concentré au sein d’une seule agence. Et si celle-ci ne dispose pas des compétences dédiées en interne, elle peut travailler avec un membre de son réseau professionnel.

L’investissement est ponctuel et ne nécessite pas de créer une équipe en interne, ce qui rend l’ensemble du projet bien plus souple. Chaque fois qu’elle en ressent le besoin, l’entreprise peut faire appel à la même agence pour prendre en charge d’autres projets : l’entité connaît déjà son contexte et ses contraintes, ce qui simplifie grandement les choses.

Néanmoins, il faut bien comprendre qu’une agence de design reste un partenaire, et que l’entreprise cliente doit s’inscrire pleinement dans la démarche créative.

Après tout, elle est la mieux placée pour savoir ce qu’elle veut ! Il s’agit donc bien d’une collaboration à part entière, qui suppose une entente approfondie entre le client et l’agence.

Quel budget prévoir pour faire appel à une agence de design ?

Le calcul du budget à prévoir pour collaborer avec une agence extérieure n’est jamais simple. En grande partie, la difficulté découle des différences tarifaires majeures qui existent entre les acteurs du marché, en fonction de leur notoriété et de la qualité des prestations.

C’est encore plus vrai si vous choisissez de faire appel à une agence de design à Paris, l’écosystème économique de la capitale ayant tendance à faire grimper les prix.

Comme pour toute discipline, il faut avoir en tête que les agences de haut niveau sont celles qui coûtent le plus cher.

Cela, parce qu’elles ont l’habitude de réaliser des prestations pour des clients importants qui disposent de budgets élevés, et parce qu’elles disposent d’équipes extrêmement compétentes qu’elles mettent au service des entreprises pour des durées potentiellement longues – ce qui consomme beaucoup de ressources.

En parallèle, il est possible de travailler avec des agences de plus petite taille, ou moins connues, ou encore avec des designers indépendants – auquel cas le budget sera plus faible, avec des résultats plus variables.

Enfin, il faut faire la distinction entre une agence de design généraliste et une agence spécialisée dans un domaine d’activité spécifique, cette dernière affichant des tarifs plus élevés en raison de son expérience plus pointue.

Enfin, il faut tenir compte du fait que les prestations peuvent varier du tout au tout, selon les besoins exprimés par l’entreprise.

Le coût ne sera pas le même pour une simple création de logo et pour l’élaboration d’un « Design System » intégral.

Par exemple, une agence de design à Paris prendra entre 2 000 et 30 000 € pour la conception d’un logo et d’une charte graphique, tandis qu’un freelance oscillera entre 1 000 et 6 000 € pour le même type de service.

Mais un projet graphique complet, qui intègre la création des éléments graphiques et des supports de communication, peut monter jusqu’à 100 000€.

La première question à vous poser est donc celle-ci : quel budget votre entreprise peut-elle consacrer à son projet de création graphique ? C’est un point essentiel à déterminer avant de vous mettre à la recherche d’une agence de design à Paris ou ailleurs.

Comment choisir son agence de design à Paris ?

Le choix de la bonne agence de design à Paris suppose de tenir compte de deux familles de paramètres : les compétences de l’agence d’une part, et le contexte de votre projet d’autre part.

Il est important de ne pas ignorer ces deux dimensions dans le cadre de votre recherche.

Pour ce qui est de l’agence de design, il convient de vérifier plusieurs points déterminants :

L’expérience de l’agence dans votre domaine d’activité, à savoir : sa connaissance de votre secteur, de vos clients et des enjeux de votre marché. À quel point est-elle spécialisée dans ce domaine ? A-t-elle travaillé avec beaucoup d’entreprises issues de la même industrie ?