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Qu’est-ce qu’un NFT ?

Qu’est-ce qu’un NFT ?

Andréa Bensaid, Eskimoz CEO
Andréa Bensaid
19/08/25
NFT

Le sigle NFT vous est sans doute familier 🐼

Quelques années en arrière, les ventes records d’œuvres d’art sous la forme de jetons non fongibles, pour des sommes vertigineuses (le NFT Everydays: The First 5000 Days s’est vendu pour 69,3 millions de dollars), ont attiré l’attention du grand public sur cette technologie innovante.

Mais pas pour longtemps : l’explosion de la bulle spéculative fin 2021, associée à une saturation du marché, s’est traduite par un déclin rapide de la popularité de ces actifs numériques, puis par une dépréciation spectaculaire de leur valeur.

Qu’en est-il aujourd’hui ? Est-il toujours intéressant d’investir dans les Non-Fungible Tokens – et si oui, comment s’y prendre ? Mais avant toute chose, qu’est-ce qu’un NFT et comment fonctionne ce type d’actif ? Quels risques doivent être pris en compte par les investisseurs ?

Nous vous proposons d’explorer dans le détail l’univers complexe des jetons non fongibles afin de déterminer s’il vaut la peine d’y placer vos économies.

Qu’est-ce qu’un NFT ?

Commençons par une définition du NFT, ce Non-Fungible Token si mystérieux.

Sur le principe, un jeton non fongible désigne un actif numérique qui ne peut pas être remplacé par une chose de même nature, ni même divisé.

En effet, en droit civil et commercial, on considère comme non fongibles des biens ou des actifs qui sont uniques ou spécifiquement identifiables, à l’instar d’œuvres d’art, de biens immobiliers ou de biens ayant une valeur historique ou sentimentale.

À l’inverse, un billet de banque est typiquement un bien fongible : il peut être remplacé par n’importe quel autre billet de même valeur.

Dans l’écosystème numérique, le NFT prend la forme d’un certificat de propriété rattaché à une ressource non physique (une image, un texte, une musique, un son…).

Chaque jeton a la particularité de n’être substituable par aucun autre, en étant identifié de manière unique sur une blockchain – oui, à la manière d’une cryptomonnaie comme le Bitcoin (qui, lui, est fongible : il peut être remplacé par un autre actif identique, sans que son usage en soit affecté).

Ainsi, chaque token est représenté par un numéro d’identification sur la blockchain, qui l’associe à son propriétaire légitime : le processus de création des NFT (minting) nécessite une adresse de wallet pour attribuer la propriété, celle-ci pouvant être transférée via une opération de vente.

Vous aurez compris que la non-fongibilité d’un actif témoigne de son unicité, c’est-à-dire de ce qui le caractérise comme étant sans pareil, « inimitable », par exemple une œuvre de création artistique.

Ainsi, un morceau de musique est non fongible parce qu’il n’a aucun équivalent, bien que le fichier son lui-même puisse être copié à l’infini (voilà pourquoi cette unicité est uniquement symbolique lorsqu’elle s’applique à une ressource numérique, facilement reproductible).

Le premier artiste à avoir publié une œuvre sur la blockchain en 2014, Kevin McCoy, entendait justement trouver un moyen de permettre aux créateurs digitaux d’être récompensés pour leur travail.

De fait, la possibilité de retracer la propriété (en plus de prouver l’originalité) fait de la blockchain un outil efficace de défense des droits d’auteur.

Cela, car chaque jeton non fongible est lié à son créateur pour toujours, celui-ci étant inscrit de manière immuable dans son code.

Autrement dit, avec un NFT, le copyright est intégré dans l’œuvre elle-même. Les créateurs peuvent ainsi générer des revenus à partir de leur(s) création(s).

À retenir

Le NFT est le titre de propriété numérique d’un jeton non fongible. Il peut être acheté et vendu, mais pas copié ni divisé.

Ce point de départ artistique s’est étendu par la suite à d’autres catégories d’actifs. Ainsi, un NFT peut être…

  • Un collectible (œuvre d’art, morceau de musique, création littéraire, etc.).
  • Un objet in-game, comprendre : dans un jeu vidéo (par exemple, un élément d’équipement comme une arme ou une armure).
  • Un bien immobilier virtuel dans un monde en ligne ou dans le métavers.
  • Un utilitaire qui rend service à son détenteur (par exemple : l’accès à des biens physiques ou à des prestations).

Une preuve d’identité qui ne nécessite aucune autorité centrale de vérification.

NFT

(Source : climb.fr)

Comment est fixée la valeur d’un NFT ?

En matière de NFT, la notion de valeur peut prendre plusieurs acceptions en fonction de la catégorie à laquelle le jeton appartient.

Ainsi, un Non-Fungible Token peut avoir une valeur artistique lorsqu’il est associé à une œuvre unique, valorisée indépendamment de son format numérique, de la même façon qu’un tableau ou une sculpture.

Dans ce cas de figure, la valeur du NFT dépend de l’évolution du marché de l’art, c’est-à-dire de l’état de l’offre et de la demande pour cette œuvre spécifique.

Le prix est alors déterminé par la somme qu’un acheteur est prêt à investir dans l’objet en question.

D’autres catégories appellent d’autres critères de valeur. Par exemple, celle d’un objet in-game dépend de sa rareté et de l’intérêt que lui portent les joueurs, tandis que celle d’un NFT utilitaire repose sur l’usage qu’il est possible d’en faire.

Au sein d’un monde en ligne, un jeton non fongible lié à une propriété virtuelle verra sa valeur osciller en fonction de la spéculation qui entoure les espaces digitaux.

En tout état de cause, il n’existe pas une stratégie unique pour fixer le prix d’un jeton non fongible. Le créateur du NFT peut opter pour différentes méthodes :

  • La vente au prix d’inscription sur une place de marché.
  • Le prix que l’acheteur est prêt à débourser.
  • Le prix déterminé par des enchères publiques ou privées.
  • L’utilité du NFT pour accéder à des biens ou des services.
  • Une variation de la valeur du bien physique que l’image numérique reproduit (pour une œuvre d’art graphique).

Néanmoins, comme sur tout marché, il n’y a pas de règle fixe pour déterminer la valeur d’un NFT.

Certaines œuvres se sont ainsi échangées pour des sommes astronomiques : 91,8 millions de dollars pour The Merge by Pak, 69,3 millions pour Everydays: the First 5 000 Days by Beeple, 52,7 millions de dollars pour Clock by Pak.

Mais cette médaille a un revers : la collection Bored Ape Yacht Club (composée de 10 000 singes numériques uniques), qui a attiré l’attention de nombreuses célébrités, a vu sa valeur chuter fortement à la suite du krach du marché des cryptomonnaies en 2022.

À titre d’exemple, un NFT Bored Ape acquis par le chanteur Justin Bieber pour 1,3 million de dollars valait, un an et demi plus tard, seulement 55 000 dollars.

À quoi servent les NFT ?

Maintenant que vous comprenez mieux à quoi correspond un Non-Fungible Token, la question de son utilité se pose.

À quoi sert donc un NFT ? Que peut-on faire avec ? Vous ne serez pas surpris d’apprendre que, là encore, l’utilité d’un jeton non fongible dépend de sa nature, et donc de la catégorie à laquelle il appartient.

À ce stade, il faut avoir en tête que les NFT sont des sortes de certificats d’authenticité numérique : des contrats intelligents (smart contracts) reposant sur des règles définies par le code informatique.

Celles-ci peuvent avoir pour effet de limiter le nombre des exemplaires mis en vente, par exemple pour une série à tirage réduit, d’autoriser une réédition, ou encore de prévoir un système de rétribution de l’auteur original lors de chaque transaction.

En tout état de cause, l’utilité du NFT est directement liée au certificat qui l’associe à son propriétaire.

Ainsi, une œuvre d’art au format NFT est détenue par une personne qui, au moment de l’acheter, en devient le propriétaire légitime, la vente étant inscrite dans la blockchain, exactement de la même manière que s’il possédait cette œuvre dans un format physique.

Il peut alors choisir de la conserver indéfiniment ou de la revendre, au même titre que n’importe quel placement financier basé sur la détention d’un actif.

Le cas des NFT utilitaires est quelque peu différent. Ici, l’utilité est en lien avec le service ou le bien auquel le jeton donne droit.

Par exemple, un NFT peut servir de certificat pour l’acquisition d’un bien immobilier, pour obtenir une photo de profil sur un réseau social, pour acheter des objets dans un jeu vidéo ou dans le métavers, pour accéder à des services concrets (comme une séance de massage), etc.

Enfin, du côté des créateurs, les NFT revêtent des avantages considérables.

Par leur biais, les artistes s’assurent d’être rémunérés pour leur travail au gré des transactions réalisées, et validées sur la blockchain.

Ils peuvent aussi insérer des conditions concernant les futurs échanges de leurs jetons non fongibles, comme l’obtention d’un pourcentage sur les bénéfices en cas de plus-value lors d’une revente.

Quant aux entreprises, elles ont la possibilité de créer et de vendre des produits numériques uniques et d’incorporer ces actifs dans leurs transactions.

Comment fonctionnent les Non-Fungible Tokens ?

Dans les faits, le fonctionnement des NFT se rapproche de celui des cryptomonnaies. Pour cette raison, toute création, vente ou achat de tokens suppose de détenir un portefeuille numérique adapté.

Explorons maintenant les différences facettes du fonctionnement d’un jeton non fongible.

Les métadonnées

Concrètement, la particularité d’un jeton non fongible réside dans les métadonnées qui lui sont attribuées. Celles-ci sont stockées dans un smart contract inscrit dans la blockchain.

Dans le cas d’un collectible, les métadonnées englobent l’image et ses propriétés : couleur du fond, détails de l’œuvre, etc.

Pour un NFT de la série Bored Ape, par exemple, les propriétés disponibles ont trait à la couleur d’arrière-plan, aux vêtements portés par le singe, à ses yeux, à la teinte de son pelage, au type de couvre-chef et à la forme de la bouche.

NFT

Le stockage

En matière de stockage, un NFT est émis sur une blockchain et associé à un portefeuille numérique (wallet). Techniquement, il peut s’agir de n’importe quelle blockchain (Bitcoin, Ethereum, Solana, Polygon, etc.).

Ce processus est appelé « mint » pour désigner la transformation d’un fichier digital en crypto actif unique. Ce fichier, une fois « minté », donc stocké dans la base de données décentralisée, ne peut plus être édité ni modifié.

Les métadonnées, quant à elles, peuvent être hébergées sur la chaîne de blocs (on-chain), donc directement dans un smart contract, ou en dehors (off-chain), sur des serveurs centralisés ou décentralisés suivant les cas.

La vente ou l’achat d’un NFT

Pour mettre sur le marché un jeton non fongible, il faut d’abord le créer. Ce processus passe par l’utilisation d’une plateforme spécialisée servant à créer le NFT et à le publier, afin de le rendre disponible (comme OpenSea ou Magic Eden).

Pour ce faire, vous devez connecter à la plateforme en question votre propre wallet, celui-ci servant à payer les frais de transaction en cryptomonnaies engendrés par l’inscription du certificat d’authenticité sur la blockchain, mais aussi à recevoir la somme due en cas d’achat du jeton par un tiers.

De la même manière, les opérations de vente et d’achat se déroulent sur une plateforme dédiée qui peut être centralisée ou décentralisée : en complément d’OpenSea et de Magic Eden, il est possible de passer par Binance NFT, par Crypto.com NFT ou par Rarible.

Chaque marketplace permet d’acquérir des jetons inscrits sur des blockchains spécifiques, mais certaines sont devenues multi-usage avec le temps.

Une fois connecté à la plateforme, vous pouvez consulter les NFT proposés, formuler des offres d’achat, placer des enchères, ou encore acheter des jetons directement si vous souhaitez investir votre argent dans des actifs numériques.

Vous pouvez aussi vendre vos propres tokens en fixant un prix à votre convenance ou en soumettant votre création à des enchères. (Notez que les plateformes prélèvent des commissions sur chaque transaction, par exemple : 2,5 % pour OpenSea).

Attention !

Avant d’investir dans un NFT, prenez le temps de bien vous informer au sujet de la plateforme d’investissement : est-elle fiable et agréée par l’AMF ? Comment est-elle financée ? Sur quelle blockchain est-elle basée ? À combien s’élèvent les frais de transaction ?

Quels sont les risques associés aux jetons non fongibles ?

Vous l’aurez sans doute deviné au gré des exemples donnés plus haut (dont celui des Bored Apes et de leur perte abyssale de valeur en si peu de temps), mais les NFT sont des actifs numériques présentant des risques notables qu’il faut absolument avoir en tête avant de se décider à investir – ou à se lancer dans la vente de jetons. On peut distinguer cinq risques majeurs à connaître.

Une grande volatilité

Les risques associés aux NFT sont similaires à ceux que l’on associe aux cryptomonnaies, en particulier : leur volatilité élevée.

Il n’est pas rare d’assister à une hausse rapide d’un jeton non fongible, avant d’assister à sa dégringolade dans les mois qui suivent… ce qui peut se traduire par une perte importante en capital si vous avez investi une belle somme d’argent dans l’achat de NFT.

Pire encore : le risque de volatilité est double, la valeur des cryptomonnaies utilisées pour acheter les NFT pouvant, elle aussi, subir des fluctuations significatives – car elles sont tout aussi volatiles que les jetons.

Enfin, l’acquisition de NFT nouvellement lancés sur le marché, en particulier lorsqu’il s’agit d’une collection attendue, s’inscrit dans un processus marqué par une forte concurrence.

En vertu du mécanisme d’offre et de demande, la valeur d’un jeton peut donc rapidement monter… sans aucune garantie que cette ferveur soit pérenne, et que l’actif acquis ait la même valeur dans les semaines, mois ou années qui suivent.

Un processus d’achat complexe

Alors que la plupart des actifs financiers peuvent être acquis assez aisément en passant par des portefeuilles d’actions ou des plans d’épargne adaptés, l’achat de NFT nécessite de suivre un processus complexe.

On peut identifier trois niveaux de complexité :

  1. L’obligation de passer par une plateforme dédiée aux échanges de NFT et de connecter un wallet préalablement créé.
  2. La nécessité de réaliser les transactions en cryptomonnaies uniquement, ce qui suppose d’alimenter votre compte en amont.
  3. La forte concurrentialité sur le marché des NFT, qui se traduit par un grand nombre d’acheteurs potentiels pour un même jeton. Ces acheteurs sont parfois des professionnels qui s’appuient sur des bots pour passer des ordres de transaction plus rapides – ce qui vous met forcément à leur merci.

Autrement dit, l’investissement dans les NFT suppose d’avoir une connaissance aiguë des mécanismes qui sous-tendent le fonctionnement de ces actifs, mais aussi du marché sur lequel ils s’échangent.

Des frais de transaction parfois élevés

Comme pour les devises numériques, vous êtes contraint de passer par des plateformes spécialisées pour échanger des NFT.

Or, ces services prélèvent des frais sur chaque transaction qui peuvent s’avérer relativement élevés… y compris, dans certains cas, lorsque les transactions ne sont pas réalisées !

Une fiscalité floue

Un autre risque est lié à la qualification juridique et fiscale des NFT. Sur ce point, il subsiste une sorte de « flou » qui met les investisseurs dans une situation délicate relativement à la fiscalité de leurs gains.

Pourquoi ? Parce que le NFT ne dépend ni du régime des cryptomonnaies (étant non fongible), ni à celui des actifs incorporels ou des œuvres d’art.

Le seul point fixe est le suivant : en tant que contribuable, vous êtes tenu de déclarer à l’administration fiscale les revenus tirés de la vente des jetons non fongibles.

À ce jour, les cessions de NFT relèvent du régime des plus-values sur actifs numériques (PVAN), avec un taux global d’imposition de 30 % (prélèvement forfaitaire unique).

Par ailleurs, les échanges bénéficient d’un sursis d’imposition : vous êtes exonéré en cas de plus-value inférieure à 5 000€ sur l’année.

Néanmoins, ces dispositions sont susceptibles de changer à tout moment au gré des impératifs politiques et économiques, et de la place occupée par les actifs numériques dans le paysage financier. C’est donc une incertitude à prendre avec beaucoup de pincettes fiscales.

Le risque de fraude

Autre point essentiel : les NFT ne sont pas épargnés par les fraudeurs. Les leviers de falsification sont multiples.

Par exemple, des utilisateurs malveillants peuvent faire monter la valeur d’un NFT en recourant à la méthode du wash trading, qui consiste à manipuler le marché pour faire croire aux investisseurs qu’un jeton spécifique connaît une forte demande et qu’il est susceptible de prendre beaucoup de valeur.

Mais cette valorisation est factice et, par la suite, le jeton en question ne vaut presque rien.

Par ailleurs, comme dans le domaine du crowdfunding, les projets de financement reposant sur des NFT n’ont aucune obligation d’aboutir.

En pratique, cela veut dire qu’un porteur de projet peut solliciter des fonds auprès des investisseurs… puis disparaître dans la nature sans avoir lancé son jeton non fongible, avec l’argent de ses victimes en poche.

Ce cas de figure est favorisé par le fait que ces personnes résident très souvent dans des pays où le cadre juridique des actifs numériques ne s’applique pas.

Bref, avant tout projet d’investissement dans les Non-Fungible Tokens, il est essentiel de bien vérifier où vous mettez les pieds.

Prêtez une attention particulière à la réputation des plateformes par lesquelles vous passez, ainsi qu’aux campagnes publicitaires parfois trompeuses – on les reconnaît aisément au fait qu’elles promettent des bénéfices astronomiques !

En somme, les NFT s’adressent surtout aux investisseurs qui aiment prendre des risques, où qui misent des sommes d’argent qu’ils accepteraient de perdre en cas de chute brutale de la valeur des actifs.

Ce type d’investissement se caractérise par sa volatilité, sa complexité, son flou juridique et le potentiel élevé de fraude.

Le risque d’investir dans un jeton non fongible qui ne trouvera pas d’acheteur, et donc de perdre beaucoup d’argent, est bien réel.

Une alternative consiste à se focaliser sur des plateformes qui promeuvent ou développent les NFT, sans pour autant investir directement dans des jetons.

C’est le cas d’Ethereum qui capte 95 % de l’écosystème des Non-Fungible Tokens. Ainsi, si les NFT se développent, le protocole sous-jacent devra logiquement gagner en valeur. C’est une approche à la fois plus prudente et plus globale.

Ces NFT, depuis leur apparition, sont parfois décrits comme une véritable révolution dans le monde des actifs numériques, des échanges en ligne et du marché de l’art – notamment parce qu’ils reposent sur la technologie de la blockchain qui, elle, bouscule réellement le système.

Voilà pourquoi nombre de personnalités publiques ont pris position en sa faveur, jusqu’à investir elles-mêmes dans des jetons non fongibles.

Mais cette technologie a aussi ses détracteurs, qui pointent du doigt les multiples problématiques d’un type d’actif qui n’est ni tangible, ni sécurisé, et qui a l’inconvénient d’avoir une forte empreinte écologique.

Il est donc important de prendre tous ces points en considération avant de vous lancer dans l’achat ou dans la vente de Non-Fungible Tokens !

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